jeudi 18 novembre 2010

Liste des rues de Reims : T

- Tabarly, square Éric (créé en 1996) Navigateur, officier de marine (24/02/1931-13/06/1998) Surnommé » le Sphinx de Bénodet » détenteur de plusieurs records en mer sur la série des voiliers Pen Duick. Il était capitaine de frégate, décédé en mer prés de l’Angleterre au cours d’un entraînement.

- Tabor, rue de – Voir Tambour, rue de

- Tabour, rue de – voir Tambour, rue de

- Tahure, rue de (créée en 1971) Village à l’est de Reims, détruit en 1915. En souvenir, son nom a été accolé à celui de Sommepy.

- Taissy, rue de - (baptisée en 1887) Commune près de Reims, appelé aussi Tessy dans de vieux écrits. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom précédent.
-1-A- Papeterie, chemin de la

- Tait, cour Pierre -Origine inconnue. Était-ce un habitant du quartier ?

- Taittinger, cours Jean -
.
- Taittinger, esplanade Jean

- Taittinger, boulevard Jean Marie Pierre Antoine (Nommée en 01/2008) Maire de Reims, ancien ministre (25/01/1923-1959/1977- ) La portion de l’autoroute A4 qui traverse Reims et sera déclassée en 2011 suite à la création d’une déviation prendra son nom .

- Taittinger, rue Pierre Charles (créée en 1968) Homme politique (04/10/1887-22/01/1965) Il fonda la maison de champagne du même nom en rachetant la maison de champagne Forest-Fournaux dont les bâtiments sont situés au-dessus des caves de l’ancienne abbaye de Saint-Nicaise. Il a légué à la ville sa propriété de l’île de Ré devenue colonie de vacances.

- Talleyrand, fontaine – Voir Boucheries, fontaine des

- Talleyrand, passage (créé en 1922) Ou galerie Talleyrand. Passage privé commercial qui fait suite à la galerie d’Erlon. Au N° 4 en 1950, le magasin "au petit Poucet" puériculture.

- Talleyrand, rue Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord - (baptisée en 1841) Nom attribué à l'ensemble de la voie. En 1875, elle allait de la rue Noël à la rue de Vesle. Évêque de Trajanopolis (improbable ville d'Asie Mineure seulement citée par Ptolémée à 4 endroits différents de la Turquie à l'Irak et dont le siège épiscopal n'a eut qu'une demi-douzaine de détenteurs) puis Archevêque de Reims (16/10/1736-02/10/1821) Il créa la Caisse des Incendiés et le Mont de Piété. Il est enterré à Paris mais son cœur a été déposé dans le tombeau de Saint-Remi. La première braderie de Reims eut lieu dans cette rue et sur la place d'Erlon le 25/04/1927. Après la piscine on peut encore voir l'hôtel Georget du 19ème siècle avec d'imposantes cariatides. En 1905, au coin de la rue de l’Étape, on voyait le magasin "Au Petit Paris" remplacé en 1930 par le magasin "Monoprix " puis après la 2ème guerre mondiale par un magasin d'électroménager et actuellement une enseigne sportive. Au N° 16, en 1914, un portail Renaissance actuellement dans la cour de l'hôtel Le Vergeur. En 1929, au N° 40 puis au N° 6, on voyait le siège du "journal du nord est" Au N° 40 l'imprimerie de " l'indépendant rémois" .
-0- Vicus Judaeorum
5 voies précédentes ayant porté plusieurs noms regroupés successifs ou concomitants.
-1-A- Vieille Couture, rue de la - (ou ci-dessous) (baptisée au 13ème siècle) Elle allait de la rue Noël à la rue de l’Etape
-1-B- Vieille Coulture, rue de la -d’après Tarbé.
-1-C- Premiers Bains, rue des - (baptisée au 15ème siècle) Elle allait de la rue Noël à la rue de l’Etape. Un établissement de bains y aurait existé.
-2-A-Viez Coulture des Bains, lieu-dit (connue en 1328)
-2-B-Vieille Couture des Bains, rue de la -Elle allait de la rue Noêl à la rue de l’Etape.
-3-A- Gueux, rue de - (ou des Gueux) (baptisée au 16ème siècle) Elle allait de la rue Noël à la rue de l’Etape. Origine : Des Hollandais établis à Reims au 16ème siècle et qui s ‘appelaient entre eux les « Gueux » Ou rappel du nom du village de Gueux. Cette dernière explication est privilégiée par Tarbé mais serait plus appropriée à la rue du même nom antécédent de l’avenue De Gaulle. En 04/1778 on trouvait l'auberge " Au Panier Fleuri"au N° 540. En 02/1793, on voyait l'auberge de la "Ville de Vervins"
-3-B- Vieille Couture, rue de la (de nouveau) Elle allait de la rue de l’Etape à la rue de Vesle.
-4-A- Couture aux Meules, rue de la (plan de 1665) Elle était située entre la rue de Vesle et la rue de l’Etape actuelles. (ou ci-dessous)
-4-B-Coulture aux Meulles, rue de la
-4-C-Cousture des Meulles, rue de la -d'après le plan Colin de 1665
-4-D-Meules, rue des (ou ci-dessous)
-4-E-Meulles, rue des (baptisée en 1627)
-4-F-Grandes Meules, rue des
-Les 4 noms ci-dessus font référence au lieu de stockage du foin par les cultivateurs sous la protection des remparts.
-5- A-Comédie, rue de la - (baptisée en 1778) Elle a été dénommée après la construction dans cette rue du 2ème théâtre de Reims. Elle était située entre la rue de Vesle et la rue des Élus, le bout vers la rue de Vesle était constitué d’une ruelle sans nom et tortueuse qui a été démolie en 1785 suite à la demande de Talleyrand car trop étroite.
-5-B- Talleyrand , rue -baptisée en 1816. Pour cette partie démolie et élargie. Puis la rue dans sa totalité a pris ce nom. Le 28/08/1888 l'ancien théâtre fut abattu et un nouveau bâtiment fut construit, inauguré le 20/10/1889 pour abriter l'école régionale des arts industriels.

- Tambour, rue de -Origine : le tambour de ville, aussi crieur public habitait dans cette rue ( d'après Tarbé) ou présence d’une sculpture, figure de pierre jouant du tambour : Une des 4 figures de la Maison des Musiciens du 13ème siècle occupée en 1553 par l'apothicaire Raulin-Sauret puis en 1900 par la droguerie E.Pilla.. Ces 4 statues étaient exposées entre les 2 guerres au Musée des Monuments Français à Paris ) puis rapatriées à Reims au Musée Saint-Remi. En 1900, les statues furent sur le point d’être achetées aux USA. Une souscription publique permit de les garder. La maison des musiciens était la première maison privée de la ville. En 1685, à l'entrée de la rue on pouvait voir une sur laquelle avaient lieu les ventes publiques et la maison dite "de la Pierre aux Changes" ancien auditoire de l'Archevêché . En 09/1772, on trouvait une maison dite du " Cocq" au N° 1328 ( numérotation de 1766). En 03/1790, on voyit l'auberge de la Cloche et l'auberge de la Tête d'Or. Dans cette rue, on pouvait aussi voir avant 1914 le "Palais Royal" à cause de son enseigne. On peut encore voir l'hôtel des Comtes de Champagne (appellation impropre, les comtes de Champagne siégeant à Troyes.) il s'agissait précédemment de l'hôtel Chastelain du 13ème siècle. La 1ère église des Réformés (protestants) a fonctionné de 1833 à 1841 au numéro 2 de la rue.
ANECDOTE : lors du sacre de Charles X en 1825, le cortège a emprunté cette rue fort étroite. Pour éviter que les bannières et étendards ne s'accrochent aux maisons, on avait abattu avec des perches les ornements des façades; les statues des musiciens ont été mutilées.
2 rues précédentes avec des noms concomitants ou successifs regroupés.
-1-A- Monniers, rue des - (Ou ci-dessous) (connue en 1260)
-1-B- Mouniers, rue des
-1-C- Monnoyeurs rue des -. (ou ci-dessous) (baptisée au 13ème siècle) Des changeurs.y étaient installés en 1666.
-1-D- Monoyers, rue des - Ou des "Monoyens" d'après Jadart (ou erreur typographique à l'impression du livre ?)
-2-A- Tabor, rue (ou ci-dessous)
-2-B- Tabour, rue de (plan Cellier de 1618)
-2-C- Tambourg, rue de . - sur le plan de 1757 qui indique qu'y passe la route d'Allemagne en Flandres.

- Tanger, impasse de - (créée en 1929) Déclassée du domaine public en 12/2008.

- Tanger, rue de -Enclave espagnole au Maroc. La voie a été déclassée du domaine public en 12/2008.

- Tank, rue du – Voir Fanart, rue

- Tannerie, rue de la – Voir Lelièvre, rue Irénée

- Tanneurs, rue des – Voir Lelièvre, rue Irénée

- Tapissiers, impasse des - (créée en 1961)- pratiquement au même endroit que la voie ci-dessous. Elle donne dans la rue Carnot suite à une opération immobilière sur un terrain vague entre cette rue et la place du Forum. Elle reprend l’emplacement de l’impasse ci-dessous. Le plan IGN indique à tort « impasse des Tapisseries »

- Tapissiers, impasse des (créée au 17ème siècle – disparue) -pratiquement au même endroit que la voie ci-dessus. Elle ouvrait au 8 rue des Tapissiers. (actuellement rue Carnot)
Une voie précédente
-1-A- Gros Rubis, impasse du (créée en 1711)

- Tapissiers, rue des– voir Carnot, rue

- Tarbé, rue Louis Hardouin Prosper - (baptisée en 1903) Procureur du Roi, Historien (24/08/1809-13/01/1871) Il a beaucoup écrit sur Reims. En particulier, une « Histoire des Rues de Reims «
2 noms précédents
-1-A- Trianon, rue de -Elle était située prés d’un jardin du même nom. Elle donnait rue de Courcelles.
-1-B- Trianon prolongée, rue de

- Targavant, rue – voir Saint-Symphorien, rue

- Tarvagant, rue – Voir Saint-Symphorien, rue

- Techoueyres, rue du Docteur Émile (baptisée en 1973) Médecin militaire au 132ème RI, conseiller municipal (15/12/1878-06/10/1954) Il créa un système d’assainissement de l’eau « la verdunisation « , car elle a été essayée à Verdun puis Reims fut la première ville équipée. D'autres villes du nord de la France ont bénéficié de ce système.
Un nom précédent.
-1-A-Wilson, Boulevard du Président

- Teinturiers, rue des (créée en 2008) Souvenir de l’usine Holden dans la Zac Dauphinot. Et en général de tous les métiers du peignage important à Reims au 19ème siècle. Elle donne dans la Promenade du Peignage et la rue Charles Fandre.

- Tell, rue Guillaume – Voir Capucins, rue des

- Tellière, rue de – voir Telliers, rue des

- Telliers, rue des - (connue en 1265 ) Origine : boutiques de marchands toiliers. Le nom vient de l’ancien verbe teiller : décortiquer les écorces.
A NOTER : Suite au souhait de Henri III qui voulait des nappes empesées, c’est à Reims que l’on fabriqua les nappes en linge damassé. C’est aussi à Reims que l’on fabriqua les premières serviettes en toile. La rue a été créée sur l’emplacement de l’enceinte gauloise et des remparts du 4ème siècle. En 1662, on y voyait la maison dite "de l'Hermitage" d'après les archives de l'archevêché. En 1770 on a procédé à un alignement des maisons de cette rue. En 1791,l'église de Saint Pierre le Vieil ouvrait aux 2/6 de la rue. En 01/1793, on y voyait le "bureau des Orfèvres". La rue donnait sur la place de la Corbeille d’Or et en 1864, de la rue Noël à la rue du Cadran Saint Pierre. On y a trouvé des traces de voie romaine lors de fouilles en 1615 (ou ci-dessous)
Autres noms concomitants.
-1-A-Theliers, rue des (connue au 16ème siècle)
-1-A-Tellière, rue de -.

- Temple, boulevard du – Voir Lundy, boulevard

- Temple, fontaine du (construite en 1745) Érigée sur une place sans nom. A l’emplacement du temple détruit. Le Temple était un lieu de franchise, les délinquants y trouvaient asile.

- Temple, impasse du - (créée en 1876 - disparue depuis)
Elle donnait dans le boulevard du Temple.

- Temple, lieu-dit Le - Voir Trois Fontaines, chemin des

- Temple, rue du - (baptisée en 1886) Rappel de la Commanderie du Temple de 1170 qui avait été construite en complément de l’église de la Trinité de 1048 qui fut donnée à l'ordre du Temple. Les biens de la Commanderie ont été proposés à la vente en totalité en 06/1784 (Journal de Champagne) La rue sera piétonne en 2012 dans la restructuration du quartier des halles.
Regroupement de plusieurs rues précédentes avec plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A- Cana, rue (ou ci-dessous) ( ou rue de Canna) Origine inconnue. Était-ce un habitant
-1-B- Cannat, rue (ou ci-dessous)
-1-C- Cannart, rue -Elle allait de la rue de Mars à la rue Albert Réville.
-1-D- Coussy, rue de (baptisée en 1795) ou Couci. En 1776, elle donnait dans la rue du Temple. En 05/1774, on y voyait au numéro 1131 (numérotation de 1766) une maison dite "de Saint Thierry " d'après les Affiches de Reims.
-1-E- Cocarde Nationale, rue de la (baptisée en 1794)
-1-F-Temple, carrefour du
-2-A- Cana, place (ou ci-dessous) (D’après le plan Cellier de 1618)
-2-B- Cannat, place (ou ci-dessous)
-2-C- Cannart, place
-2-D- Martyrs de la Liberté, rue des - (baptisée en 1794)
-3-A- Sellette, rue de la
-4-A- Temple, rue du -Elle allait de la rue Albert Réville à la rue Linguet. En 1864, de la rue de l'Echauderie à la rue de Coucy.
-5-A-Vérité, rue de la - (baptisée en 1794)
-6-A- Écus, rue des -Elle allait de la rue Linguet à la place Léon Bourgeois.
-6-B- Justice, rue de la - (baptisée en 1794) Elle menait aux 3 Piliers, lieu d’exécution.
-6-C- Écus, rue des - nom repris
-7-A- Coucy, rue de – (baptisée en 1841)
Un plan de 1776 donne déjà cette orthographe et indique que la rue, est prolongée par la rue du Temple.Vieille famille rémoise, connue en 1328, voir Robert de Coucy. La rue était connue en 1769 (plan) ; elle faisait un angle avec la rue de l’Ecossois. Origine ; elle passait derrière l’Hôtel de la Monnaie .
-7-B- Coucy Prolongée rue de (baptisée en 1886)Prolongement de la rue du Temple.

- Temple, tour du (construite au 14ème siècle. Disparue depuis) c'était la 18ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle.

- Temple de l’Etre Suprême, place du – Voir Luçon, place du Cardinal

- Templiers, rue des - (baptisée en 1866) Pavée en 1867 et remise à la ville par ses 3 bâtisseurs en 1873. Elle a traversé aussi l’emplacement du jardin Besnard. En 1875, elle allait du boulevard du Temple à la rue Savoye. Les Templiers de Reims avaient une propriété près de là.
Un lieu précédent.
-1-A- Besnard, jardin - privé, guinguette créée en 1840 sur les terrains de la commanderie des Templiers par Victor Besnard, restaurateur et capitaine des Pompiers. D'abord sous tente, une salle fut construite en 1857. Cet espace disparut en 1861. Les charpentes ont servi à l'édification du Bal Français dans le bas de la rue Fléchambault.

- Tendresse Maternelle, rue de la – Voir Anjou, rue d’

- Ternaux, rue Louis Guillaume, baron (créée en 1925) Manufacturier (07/10/1763-02/04/1833) Il acclimata la chèvre du Tibet en France.

- Terra, rue – Voir Herrick, place Myron T.

- Terra, rue du – Voir Herrick, place Myron T.

- Terra Comunis, lieu-dit – Voir Herrick, place Myron T.

- Terrain destiné à l’Hôtel du Commerce – Voir Royale, place

- Terras, lieu-dit Le – Voir Herrick, place Myron T

.- Terre Commune, lieu-dit – Voir Herrick, place Myron T

.- Terre Commune, rue de – Voir Herrick, place Myron T. Même voie que ci-dessous

- Terre Commune, lieu-dit et rue – Voir Vesle, rue de Même voie que ci-dessus

- Terre de Saint Maurice, lieu-dit (disparu)

- Terre de Saint Remi, lieu-dit (disparu)

- Terre de Tirelire, lieu-dit – Voir Tirelire, rue de la

- Terre entre les Fourches, lieu-dit- Voir 3 Piliers, rue des

- Terrier Noir, rue du - (créée en 1663 - disparue depuis)

- Terrière, chemin de la – Voir Wilson, boulevard du Président
.
- Terrières, lieu-dit Clos des
Il existait en bordure de la rue Coquebert en 1898, près des caves du champagne Bicha
- 1-A- Terrières de Fléchambault, lieu dit Les - connues en 02/1792. On y voyait un moulin à vent dans la direction de Murigny..

.- Tervagant, rue – Voir Saint Symphorien, rue

- Têtes de Fer, Lieu-dit Les Vu sur le cadastre Napoléonien de 1819. Il était situé au sud-ouest de la porte Dieu-Lumière.

- Théâtre, carrefour du -Appellation non officielle.
Un nom précédent.
-1-A- Croix Saint-Victor, carrefour de la

- Thelliers, rue des – Voir Telliers, rue des

- Thiénot, rue André (créée en 1956) Notaire, adjoint au maire ( 21/12/1886-10/06/1954) résistant.

- Thiénot, allée Claude André (créée en 2000) Notaire (16/12/1917-18/10/1988)

- Thiérot, rue François Édouard - (baptisée en 1931) Architecte de la cathédrale pendant 50 ans. Né à Reims 1 rue de Clef (18/04/1823-07/03/1904) Il a aussi construit le château de Boursault entre Epernay et Dormans (Dit le château aux 365 fenêtres) Il est décédé d’un infarctus dans la cour du Palais Archiépiscopal.
2 noms précédents.
-1-A- Fosse-Dienne, impasse de la
-1-B- Fosse-Dienne, rue de la - Créée après le percement de l’impasse du même nom

- Thiers, chaussée – Voir Driant, rue du colonel

- Thiers, rue Adolphe - (rebaptisée en 1955) Homme d ‘état (15/04/1797-03/02/1877) Il dirigea la France pendant la guerre de 1870 et réprima la révolte de la Commune de Paris. Il était surnommé « le Libérateur du Territoire « ou « Foutriquet » par ses adversaires. Au N° 11, on voyait depuis 1850, le magasin "Quentinet" articles pour fumeurs.
4 noms précédents successifs
-1-A- Chemin de Fer, rue du - (baptisée en 1854)
-1-B- Gare, rue de la - (baptisée en 1854) La première maison a été construite en 1868. Le percement a été achevé en 1876 par la démolition de l’hôtel Ruinart de Brimont, place de l’Hôtel de Ville. A cette époque la rue allait du boulevard des Promenades à la place de la Corbeille d’Or.
- 1-C- Neuve de la gare, rue -nom provisoire en 1868 après prolongement.
-1-D- Thiers, rue -baptisée en 1878
-1-E- Sampaix, rue Lucien - (baptisée en 1946) La rue a été baptisée par ordre du gouvernement puis débaptisée pour reprendre le nom « Thiers » Le nom de « Sampaix » a été donné à une rue d’un nouveau quartier.

- Thil, chemin de – Voir Vaillant Couturier, rue

- Thil, rue de (créée en 1894) Elle a été baptisée à la demande des habitants du nom d’une commune près de Reims . Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Thil, rue Marcel - (baptisée en 1969 )Négociant en charbon, boxeur. Champion du monde de 1932 à 1936 (29/05/1904-14/08/1968) Décédé dans un accident de voiture.
Un nom précédent.
-1-A- Trois Fontaines, rue des -Nouvelle rue d’après l’annuaire Matot-Braine de 1878. Elle allait de la rue Géruzez à la rue du Mont d’Arênes.

- Thilloi, rue de – Voir Thillois, rue de

- Thillois, rue de (ou ci-dessous) (baptisée en 1765) Origine : Nom d’une commune près de Reims ou le nom d’une famille ou du vieux français « thil ou til » écorce dont on faisait les cordes de puits. On y voyait une maison de 1532 numérotée 133 suivant la numérotation de 1766 d'après les archives de l'archevêché, disparue à une date inconnue. A l'angle avec la rue Théodore Dubois, en 1925, on trouvait le magasin de chaussures "Dardennes". depuis les années 1930, le cinéma "Opéra" à la façade art déco remarquable mais à l'avenir incertain. En 1864, la rue allait de la rue de la Couture à la rue des Poissonniers.
3 noms précédents
-1-A- Tilloy, rue de - (connue en 1183)
-1-B- Tillois, rue de (connue en 1294)
-1-C- Thilloi, rue de (D’après le plan Legendre de 1765)

- Thiolettes, rue des (créée en 09/2007)
Un nom précédent.
-1-A- Thiolettes, lieu-dit des Petites -Situé à l’est de la caserne Jeanne D’Arc

- Thionville, rue de (baptisée en 1877) Commune de la Moselle. Le nom existait en 1876. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
Un nom précédent
-1-A- Devivaise, rue Origine : Famille rémoise du 19ème siècle.
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- Thomas, rue Albert - (baptisée en 1932) Homme politique socialiste (16/06/1878-08/05/1932) Économiste. Pendant la première guerre mondiale , il a organisé la production du charbon et des obus puis de tous les matériels d'armement. Il étudia beaucoup les rapports entre patrons et ouvriers. Il a été le premier directeur du Bureau International du Travail.
Regroupement de 3 voies précédentes, la 2ème ayant porté 2 noms concomitants.
-1-A- Petit Chemin,
-2-A- Cormontreuil, chemin de (ou ci-dessous) Empierré en 1862.
-2-B- Cormontreuil, chaussée de -Baptisée pour partie, voir avenue de Champagne
.-3-A- Bains, chaussée des - (baptisée au 19ème siècle)

- Thomas, rue du Docteur Jean Alfred Jules (créée en 1903) Médecin, député, (30/10/1826-28/01/1899) Otage des Allemands en 1870. En 1930, au N° 13 , on trouvait un temple Antoiniste. Créé par Louis Antoine, belge né en 1846 qui devint adepte du spiritisme en 1889. il diffusa sa "Révélation" en 1906. Première association créée "Les vignes du seigneur" en 1893 puis le temple antoiniste en 1910. Décédé (désincarné) le 25/06/1912. Il était appelé "Le Père". 32 temples en France en 1930.
Un nom précédent
-1-A- Saint-Thomas, rue (baptisée en 1876) En 1864, la rue (sans nom) partait du faubourg de Laon dans les champs. En 1876, la rue allait de la rue des Romains dans les champs.

- Thuileries, rue des – voir Chanteraine, rue

- Tilleuls, allée des (créée en 1970)
Un nom concomitant.
-1-A- Tilleuls, promenades des

- Tilleuls, avenue des – Voir Bazin, rue

- Tilleuls, rue des (La Neuvillette) (baptisée en 1962)
Un nom précédent.-1-A- Cimetière, chemin du
.
- Tillon, rue Germaine (baptisée le 06/07/2010)
Anthropologue (30/05/1907-19/04/2008) puis résistante de 1940 à 1943. Elle fut dénoncée par un prêtre, agent double allemand, le luxembourgeois Robert Alesch (condamné après guerre, il fut fusillé le 25/01/1949) Elle sera prisonnière à Compiègne puis au camp de concentration de Ravensbrück du 31/01/1944 au 02/02/1945. Libérée sur intervention suédoise, elle partit en Suède. de retour en France, elle repris son poste au CNRS puis mena de nombreuses missions en Algérie. La rue va de la rue Gay-Lussac à la rue Michel Sicre.

- Tillois, rue de – Voir Thillois, rue de

- Tilloy, rue de – voir Thillois, rue de

- Tinqueux, rue de - (baptisée en 1892) Ville de la communauté d’agglomération de Reims.
Un nom précédent. Au 18ème siècle, le village s'appelait Tainqueux.
-1-A- Muire, chemin de la -Baptisé du nom d’un ruisseau affluent de la Vesle au niveau de Tinqueux.

- Tir, rue du (créée en 1894) La société de tir de Reims y avait son stand. Ce stand de tir avait été créé en 1875 et servit pour le concours international de tir du 14 juin 1908. ( Voir aussi rue du Stand) . En 1913, le stand de tir a été déplacé à la Haubette et reçut les épreuves de tir des J.O. de 1924. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Tir au Pigeon, lieu-dit -Situé au 247 avenue Jean Jaurés

- Tire-Vit, rue – -voir Voltaire, rue

- Tirelire, impasse de la (créée en 1296) Elle était sans nom en 1765. Elle existe toujours et ouvre 16 rue de la Tirelire.

- Tirelire, rue de la - (baptisée en 1296) - On disait aussi Tire-lire en 07/1793 (journal de Champagne) Origine : enseigne ou chant des hirondelles : tireli-tireli (voir Clément Marot) Une statue de vierge se trouvait sur une maison, accompagnée d’un tronc pour les dons, appelé « Épargne-Maille »Ou est-ce le nom de la rue venant de la première explication qui aurait donné au propriétaire l’idée de la sculpture ? Laquelle de ces explications est la bonne ? Au 13ème siècle, la rue n'était pas protégée par un rempart. Au 13ème siècle, cette rue n'était pas protégée par un rempart. En 1769, opn a procédé à un alignement des maisons. En 12/1791, on y voyait une maisin dite de" la Cense de Sainte Claire" au numéro 960 et au numéro 964, une maison dite de "l'Hermitage" d'après le Journal de Rheims alors que les archives de l'archevêché la situe rue des Telliers ? En 1857, percement pour atteindre la rue de Talleyrand. Elle donnait dans la rue et la place de la Corbeille d’Or. On y a trouvé des traces d’enceinte gauloise. En 1864, elle allait de la rue du Petit Four au boulevard des Promenades. A la même époque, on y voyait une maison à l'enseigne de la Tirelire.
Un nom précédent.
-1-A- Terre de Tirelire, lieu-dit. Précédemment, il était appelé Allodium de Munitionibus (Pierre Varin)

- Tirelire, tour de la (construite au 14ème siècle. disparue depuis) c'était la 15ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle. Brissart-Binet lui attribue aussi le nom de Saint-pierre mais elle ferait alors double emploi avec une autre tour du même nom (voir à ce nom)

- Tissier, cour (ou ci-dessous) Baptisée du nom d’un habitant.
Un nom concomitant.
-1-A- Tissier, rue

- Tisseurs, rue des - (créée en 2008) En souvenir des métiers du peignage, important à Reims au 19ème siècle
.
- Tixier, rue Léon (créée en 1966) Adjoint au maire (02/10/1865-26/05/1962) Arrêté par la gestapo en 1944, libéré à cause de son grand âge.

- Tocqueville, rue Alexis Henri Charles Clerel , Vicomte de (créée en 1984) Homme politique, historien, écrivain (29/07/1805-16/04/1859) Il étudia les conséquences de la Révolution française. Théoricien du colonialisme, il fut un des premiers partisans de l’abolition de l’esclavage. La rue se termine en impasse.

- Tolstoï, rue Léon (Lev Nikolaïevitch), comte (créée en 1981) Écrivain russe (09/09/1828-20/11/1910) Dans sa jeunesse, il fut surnommé "Lëva Rëva : Léon le pleurnicheur du fait de sa grande sensibilité. Il combattit dans le Caucase contre des montagnards insurgés puis à Sébastopol. En 1892, il se convertit au catholicisme. L'église orthodoxe l'excommunia pour son roman "Résurrection ". Il a appris l’espéranto, il était végétarien. Il finit sa vie en vagabond. Mort d’une pneumonie. Le nom de la rue a été confirmé en 1987.

- Tondeurs, boulevard des -Précédemment c’était le chemin qu’empruntaient les bergers pour amener leurs moutons en ville ou le lieu où habitaient les tondeurs, ouvriers des manufactures. Le boulevard part de l’A26 et arrive route de Witry via le boulevard Marcellin Berthelot qui lui fait suite. D’après le plan Foldex, il est interrompu au niveau de la Neuvillette par la rue Frédéric Jacob et l’avenue Salvador Allende. D’après le plan de l’IGN, le boulevard ne démarre qu’au croisement avec la D966, la partie précédente étant la rue Frédéric Jacob, l’avenue Salvador Allende, et la rue des Tondeurs jusqu’à la D 966. Le boulevard est situé en partie sur Reims, Saint-Thierry, Saint-Brice, et Bétheny.

- Tondeurs, rue des -( La Neuvillette) (créée en 1970) La rue se termine en impasse. Elle part de la rue Bertrand Russel. (D’après le plan Foldex) Cette rue existe aussi sur le plan IGN qui indique un autre emplacement. Il y aurait donc 2 emplacements pour cette rue ? -Voie différente de ci-dessous
.
- Tondeurs, rue des - Connue au 14ème siècle d'aprés Jadart. Non trouvée sur un plan. Elle devait se situer prés de la rue des Tanneurs. Mais n'est-ce pas une déformation de ce dernier mot ?
Voie différente de ci-dessus
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- Tondeurs, square des

- Tonin le Pieux, rue – Voir Villers Franqueux, rue de

- Tonnelet, rue du – voir Petit Arsenal, rue Même voie que ci-dessous

- Tonnelet, rue du –Voir Legendre, rue Même voie que ci-dessus

- Toulouse, rue de (créée en 1930) Cette ville donna de l’argent pour la reconstruction de la ville après la première guerre mondiale .

- Toulouse-Lautrec, place Henri, Marie, Raymond de T-L- Monfa (créée en 1974) Artiste peintre (24/11/1864-09/09/1901) Issu d’une des plus vieilles familles de France. Du fait de la consanguinité de ses parents, il souffrit de pycnodisostose (fragilisation des os) il s’est cassé les 2 jambes à 15 ans, son développement a été retardé. Il eut également la syphilis et était alcoolique.

- Tour du Puits, place et rue de la – Voir Saint Nicaise, square

- Tourangeaux, allée des (créée en 1974)

- Tourillards, chemin dit des -Dans la zone de la Neuvillette.

- Tourne-Bonne-Eau, rue – voir Tournebonneau, rue

- Tourne-Bonneau, rue – Voir Tournebonneau, rue

- Tournebois, rue – Voir Tournebonneau, rue

- Tournebonel, rue – Voir Tournebonneau, rue

- Tournebonneau, rue -Origine : rue tortueuse Ou même origine que Tournebois : un puits était dans cette rue, muni d’un mécanisme en bois qu’il fallait tourner pour remonter les seaux d’eau (d’après Tarbé) Ou jeu de mot : on tourne et on a de la bonne eau. Jadart penche pour la première explication. La rue allait de la rue Saint-Bernard aux remparts (boulevard Dieu-Lumière) (ou ci-dessous)
5 noms concomitants
-1-A- Tournebouël, rue (connue en 1428)
-1-B- Tourneboyau, rue (connue en 1536) ou Tourne-Boyau en 1549.
-1-C- Tournebois, rue
-1-D- Tourne-Bonneau, rue de (D’après le plan de1765 mmais connue en 1543.
-1-E- Tourne-Bonne-Eau, rue
-1-F- Tournebonel, rue (D’après l’annuaire Matot-Braine de 1924) Peu vraisemblable, erreur d’écriture.

- Tourneboyau, rue – Voir Tournebonneau, rue

- Tourneboyau, tour (connue en 1536, disparue depuis) C'était la 26ème tour des remparts depuis la porte a Velle.
Un nom concomitant.
-1-A- Tournebouël, tour (connue en 1428)
-1-B- Tourneboyau, tour - (connue en 1536)

- Tourneboyau, rue - Voir Tournebonneau, rue

- Tournelle, rue de la – Voir Voltaire, rue

- Tournelle à Fuseliers, rue de la – Voir Voltaire, rue

- Tournelles, rue des - (nom repris au 19ème siècle) Même voie que ci-dessous Le nom pourrait provenir de tours restées de l’enceinte de la ville. Ou des artisans du bois qui tournaient les fuseaux (plus vraisemblable) En 1864, elle allait de la rue des Anglais à la rue des Fuseliers. En 1925, elle a été prolongée jusqu’à la rue Chanzy.
2 noms précédents
-1-A- Tournelles, rue des (connue en 1328 )
-1-B- Postérité, rue de la - (baptisée en 1794)

- Tournelles, rue des – Voir Voltaire, rue Même voie que ci-dessus

-Tournesson, rue - Vente en 01/01/1791 au titre des Biens Nationaux d'une maison dans cette rue.En 05/1798, les Affiches de Reims publient une nouvelle vente dans cette rue. 2 maisons numérotées 1994 et 1995 appartenaient au chapitre Saint Symphorien.

- Tournoison, rue – voir Belle Tour, rue

- Tourterelles, allée des (créée après 1936)

- Tourville, rue Anne Hilarion de Cotentin ( ou Costentin), Comte de (créée en 1966) Maréchal de France (24/11/1642-23/05/1701) Amiral. Il remporta les victoires de Béveziers et Barfleur contre les Anglais.

- Tout le Faut, demi-rond (construite au 14ème siècle , Disparue depuis) Ouvrage de défense. C'était la 33ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle.

- Tout N’y Faut, rue – voir Saint Jean Césaré, rue

- Tout y Faut, rue – Voir Réservoirs, rue des (ou du )

- Tranchées, rue des – voir Dormoy, rue Marx

- Tranchet, rue du – voir Dormoy, rue Marx

- Tranchets, rue des – Voir Dormoy, rue Marx

- Tranchoirs, rue des – Voir Diderot, rue

- Tranchois, rue des – Voir Diderot, rue

- Travers des Filles Dieu, rue du - (créée en 1619 - disparue depuis)

- Traverse, rue de la (créée entre 1914 et 1922) Voie différente de ci-dessous

-
Traverse, rue de la – Voir Auger, rue Eugène Voie différente de ci-dessus

-Traversière Saint-André, rue – Voir Mabillon, rue Voie différente de ci-dessous

- Traversière Saint-André, rue – Voir Atteignant, rue de l’. Voie différente de ci-dessus

- Trèfle, rue du - (créée en 1605 - disparue depuis)

- Treize Maisons, rue des – Voir Boulard, rue du général Même voie que ci-dessous

-
Treize Maisons, rue des – Voir Marlot, rue Dom Même voie que ci-dessus

- 30 Août 1944, place du - (baptisée en 1944) Date de la libération de Reims lors de la 2ème guerre mondiale par la 3ème armée américaine du général Patton. La 5ème division du général Irwin avait commencé son action le 29 août depuis le sud. Des unités du 2ème régiment d'infanterie et du 735ème bataillon de chars, guidés par des FFI sont entrés dans Reims vers 2 heures du matin par le pont Fléchambault resté intact grâce à l'action de la Résistance Française. Le gros des troupes allemandes avait quitté la ville dans la nuit du 29 au 30. Seules quelques escarmouches ont été signalées vers l’avenue d’Epernay. Toutefois l'ensemble de l'opération a causé la perte de 99 soldats américains et de 446 allemands.
3 noms précédents successifs ou concomitants.
-1-A- Jacquart, place -Baptisée du nom de l’inventeur du métier à tisser.
-1-B- Ruinart de Brimont, rue Jean Irénée Ruinart, Vicomte de Brimont. La rue a été baptisée avant 1876. Maire (30/11/1770-1821-1827-06/01/1850) Il créa la Caisse d’Epargne de Reims et le Mont de Piété. Membre fondateur de l’Académie Nationale de Reims. Famille connue depuis le 15ème siècle. (ou ci-dessous)
-1-C- Ruinart de Brimont, place

- Trésor, quarrel du (connu en 1328)

- Trésor, rue du - (créée en 1925) Voie différente de ci-dessous -Origine : le trésorier du Chapitre habitait dans la rue qui allait de la rue du Puits Taira à la cathédrale.. Elle était connue sous ce nom en 1765. Une maison appartenant au Chapitre depuis 1525 portait le numéro 2218 de la numérotation de 1766; disparue à une date inconnue (archives de l'archevêché) En 1910, on voyait aussi le pensionnat "Maintenon"
Un nom précédent.
-1-A- Chapitre, rue du (créée au 17ème siècle.) D’après le plan Colin. En bordure de cette voie, on pouvait voir la chapelle Saint-Nicolas accolée à l’ancien Hôtel-Dieu (voir place Myron T. Herrick)

- Trésor, rue du – voir Ferrand, rue Voie différente de ci-dessus

- Trésor, square du - (créé en 1925) L 'Office de Tourisme est construit sur les ruines du Trésor de la cathédrale, démoli pendant la première guerre mondiale.Cet Office déménage en 2011 boulevard du général Leclerc.

- Trêves, porte de - (11ème siècle - disparue depuis) Départ d’une voie romaine vers cette ville d’Allemagne en passant par Arlon en Belgique. Certains auteurs (tel Géruzez ou le testament de Saint Remi) la situent à la porte Cérès .
Autres noms.
-1-A- Trevirensum, porta
-1-B- Regalis, porta -Elle devait servir aux entrées triomphales.

- Trevirensum, porta – Voir Trêves, porte de

- Trianon, jardin du (baptisé en 1793) Disparu avec la construction de la voie ferrée en 1855. Sa porte d’entrée était toujours visible en 1897. Il avait été établi suivant le goût du 18ème siècle pour les jardins anglais.

- Trianon, rue de (créée en 1840) - Même voie que ci-dessous Lieu d’implantation d’un jardin de plaisance, « Le Trianon » sur le terrain du couvent des religieuses de Clairmarais qui devint un prieuré (d’hommes) en 1475 puis démoli à la Révolution. La rue a été macadamisée en 1862. En 1864, elle allait de la rue de Courcelles à la rue de Saint Brice.

- Trianon, rue de – Voir Tarbé, rue -Même voie que ci-dessus.

- Trianon Prolongée, rue de – voir Tarbé, rue

- Trieu-Kaisin, rue – Voir Witry, route de

- Triperies, rue des – Voir Warnier, rue Jules

- Tripes, cul de sac ou impasse aux – Voir Lundy, impasse

- Tripes, rue des – Voir Warnier, rue Jules

- Trippes, rue aux - Voir Warnier, rue Jules

- Trois Flambeaux, rue des - ( créée en 1672) (disparue depuis)

- Trois Fontaines, chemin des -3 sources jaillissaient dans les parages qui nourrissaient un ruisseau des 3 Fontaines sur Saint- Brice. Il est dénommé : ancien chemin d’après l’annuaire Matot-Braine en 1878. Il va de la rue de Cormicy à l’avenue de Laon. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
2 noms précédents
-1-A- Temple, lieu-dit Le - Situé près du ruisseau des 3 Fontaines
- 1-B- Pré du Puits, lieu-dit Le

- Trois Fontaine, cité des (créée en 1920) Appellation tombée en désuétude. Implantation d’habitations populaires.

- Trois Fontaines, place des

- Trois Fontaines, rue des - Voir Thil, rue Marce

l- Trois Gares, rue des -De nombreux raccordements ferroviaires existent dans le quartier du Port-Sec. Ces voies sont maintenant désaffectées. La rue va de la rue Camille Lenoir à la rue Léon Faucher. Elle se termine en impasse.

- Trois Marchands, rue des – Voir Carrouge, rue du

- Trois Meules, rue des (disparue) En 01/1780, on y voyait l'auberge du Lion D 'Or.

- Trois Museaux, tour des (ou ci-dessous ) (disparue en 1852) C'était la 25ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle. Elle a été baptisée par sa forme. Créée sur l’emplacement d’une porte murée au 15ème siècle. Appelée Porte Neuve. La caserne Colbert a été construite sur son emplacement.
3 noms précédents successifs ou concomitants
-1-A- Neuve, porte
-1-B- Augustins, tour (corps de garde des) (ou ci-dessous) Brissart-Binet donne ce nom à la tour de la Plomberie.
-1-C- Belle Garde, Tour

- Trois Piliers, rue des -Origine : Vestiges gallo-romains (dits « Palais de l’Empereur ») détruits au 19e siècle et qui servaient de gibet. Ou, d’après une autre source : gibet ordinaire (en bois), vers 1300. qui a remplacé une roue des supplices déplacée du Marché aux Draps. En 1876, la rue allait de la rue de Neufchâtel dans les champs. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
2 noms précédents.
-1-A- Terres entre les Fourches, lieu-dit les
-1- B- Les Fourches Caudines, lieu-dit Les
-1-C- Trois Piliers, lieu-dit les

- Trois Ponts, lieu-dit Les - Voir Vesle, porte de

- Trois Pucelles, rue des – Voir France, cours Anatole

- Trois Raisinets, rue des - (baptisée en 1828) En 1791, on pouvait lire dans les "Affiches de Reims" des ventes de maisons rue du Raisinet. Origine : enseigne : un cep de vigne avec 3 grappes de raisin (ou ci-dessous) En 1864, la rue allait de la rue Sainte-Marguerite à la rue des cordeliers. Dans cette rue était implantée la chapelle du Tiers Ordre qui a été démolie pendant la 1ère guerre mondiale.
8 noms précédents concomitants ou successifs.
-1-A- Trois Résinets, rue des (D’après le Plan de1769) Elle donnait dans la rue de Macon.
-1-B- Chèvre, rue de la (ou ci-dessous)
-1-C- Chièvre, rue de la -Déformation du précédent en langue romane. On trouve aussi « kièvre »
-2-A- Bœuf, rue Jean Le - (connue au 14e siècle.) Ou Jean le Buef, d’après Jadart -s’agit-il d’une erreur d’orthographe ?
-3-A- Saint-Pierre et Saint-Pol, rue (ou ci-dessous) 2 statues de ces saints ornaient une maison. Une église de ce nom s’y trouvait en 1217.
-3-B- Saint-Pierre et Saint-Paul, rue -Saint Paul dit de Tarse. Vrai nom Saül, changé (entre 5 et10 – entre 66 et 67 ap. JC))
-3-C- Stoïcisme, rue du (baptisée en 1794)
-3-D- Saint-Pierre et Saint Paul , rue - nom repris au 19ème siècle.

- Trois Résinets, rue des – Voir Trois Raisinets, rue des

- Trois Rivières, lieu-dit -Situé au bout du faubourg Fléchambault, près du moulin d’Huon. Il s’y trouvait des bains publics gérés depuis 1882 par la compagnie des Sauveteurs de Reims. A 500m se trouvait aussi des bains privés.

- Trois-Rois, rue des - (créée en 1453 - disparue depuis) En référence aux Rois Mages. La rue était située derrière Saint-Pierre le Vieil. Elle donnait rue de Macon.

- Trois Tournelles, rue des – Voir Voltaire, rue

- Tronquet, rue du (disparue) S ‘agit-il d’une altération de Trinquet ? Jeu à la mode au Moyen Age.

- Tronsson-Ducoudray, rue Guillaume Alexandre Tronsson– (baptisée en 1842) Reprend le nom Du Coudray de ses ancêtres. Avocat (18/11/1760-27/05/1798) Déporté en Guyane en 1797, il y est mort. La rue était située sur l’emplacement des remparts de l’an 500. On y a trouvé des traces de voie romaine. Creusement des égouts en 1865. En 1904, on trouvait une vespasienne à l'angle du théâtre et un kiosque à journaux au même endroit en 1950.
Noms précédents concomitants ou non.
-1-A- Vieil Marché, rue du -(ou ci-dessous) (connue en 1328)A la place du théâtre actuel.
-1-B-Vieux Marché, rue du
-1-C- Poissonnerie, rue de la (connue en 1328) Le premier marché de Reims s’y tenait. Il allait jusqu’à la Porte aux Ferrons.

- Tronsson-Lecomte, rue Jacques Quentin (créée en 1894) Maire (04/10/1749-1803/1809-09/05/1836) et député. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Trou d’Enfer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du

- Trou de Cut, rue du – Voir Courmeaux, rue Eugène

- Trou du Cul, rue du –Voir Courmeaux, rue Eugène

- Troussieux, rue Mathieu (créée en 1988) Syndicaliste (29/06/1893-23/05/1985)

- Trudaine, fontaine (construite en 18ème siècle.- Incendiée en 1771) Elle était située place de l’Hôtel de Ville actuelle à l’entrée de l’ex Orde Ruelle .

- Trudaine, rue Jean-Charles Philibert Trudaine de Montigny (nom repris au 19ème siècle ) Conseiller d’état. (19/01/1733-05/08/1777) d’après Seltzer. Mais ne s’agit-il pas plutôt de Daniel Charles Trudaine ( père) qui autorisa la construction de la place Royale à Reims. Il était connu aussi pour avoir organisé le réseau routier français et fait établir une cartographie de la France en 3000 plans. En 04/1803, on y voyait le caffé (sic) de l'Union.
2 voies précédentes.
-1-A- Fleur de Lys, impasse de la (disparue en 1929) Baptisée du nom d’un cabaret.
-1-B- Fleur de Lys, rue de la - (baptisée en 1772) Elle allait de la porte du cloître Notre Dame à la rue de la Grande Boucherie. En 1605, on y voyait un jeu de paume.
Éclatement vers les 2 rues ci-dessous d’après Tarbé .
-1-C- Raison, rue de la - (baptisée en 1794) En partie, voir rue Voltaire - Déesse révolutionnaire
-1-D- Fleur de Lys, rue de la - nom repris.
-2-A- Trudaine, rue -(baptisée en 1765)
-2-A- Brutus, rue Marcus Janus (baptisée en 1794) Sénateur et philosophe romain (85-42 avant JC) Ami et assassin de Néron. Un conventionnel de la Révolution s’appelait aussi Brutus.

- Truie qui File, rue de la – Voir Rogier, rue

- Tuileries, rue des (créée en 1972) Voie différente de ci-dessous Rappel de cette industrie établie dans le quartier.

- Tuileries, rue des – Voir Chanteraine, rue Voie différente de ci-dessus

- Tunis, rue de (créée entre 1914 et 1922) Capitale de la Tunisie.

- Turenne, rue Henri de la Tour d’Auvergne-Bouillon, Vicomte de (créée en 1976) Maréchal de France (11/09/1611-27/07/1675) Précurseur des batailles en hiver (Alsace) et l’attaque par surprise. (Napoléon s’en est inspiré) Tué par un boulet à Sasbach (Allemagne) Problème : le fameux boulet est exposé au Musée de l’Armée à Paris et au Musée Turenne à Sasbach ??-

Tyrol, allée du (créée en 1968)



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