jeudi 18 novembre 2010

Liste des rues de Reims : G

- Gabelle, impasse de la - connue en 1780. Elle donnait rue de la Gabelle.

- Gabelle, rue de la -(renommée au 19ème siècle.) Baptisée du nom d’un impôt sur le sel établi vers 1330. On y vendait le sel aux détaillants. La rue donnait rue d’Avenay. C’est actuellement la voie la plus étroite de Reims : 1,40m sur la rue Cérès, et de largeur normale vers la rue Eugène Desteuque. Les 2 parties sont séparées par une placette sans nom. En 1864, elle allait de la rue Cérès à la rue Sainte Marguerite.
3 noms précédents successifs.
-1-A- Ecarquille-Con, rue (connue au 17ème siècle) La rue était très étroite et avec un ruisseau au milieu. Dans l’impossibilité de passer sur le côté, les robes étant très larges, les dames devaient passer avec une jambe de chaque côté du ruisseau d’après Schwingruber. Les autres auteurs, très prudes ont escamoté ce nom.
-1-B- Gabelle , rue de la -baptisée en 1765. En 1780, on a procédé à un alignement de ses maisons.
-1-C- Etroite, rue (baptisée en 1794) Elle faisait 1 m de large.

- Gaberthon, rond point Maurice, Jean (créé en 1998) Président de l’Association des Décorés du Travail ( 02/06/1920-02/09/1995)

- Gabès, rue de (créée entre 1914 et 1922) Ville de Tunisie.

- Gabin, rue Jean Alexis Gabin Moncorgé, dit- (créée en 1977) Acteur, artiste de music-hall et d’opérette avant de faire carrière au cinéma (17/05/1904-15/11/1976) Gabin était le nom de scène de son père. En 1924-1925, il fit son service militaire dans la marine. En 1941, il s’est exilé à Hollywood. En 1943, il rejoignit les FNFL (Forces Navales Françaises Libres ) comme second maître. Mort de leucémie.

- Galésia, porte – Voir Vesle, porte de

- Galilée, rue (Galileo Galilei, dit) (créée en 1971) Savant italien (25/02/1564-08/01/1642) Astronome, constructeur de lunettes astronomiques. Adepte des théories de Copernic sur l’héliocentrisme. Il était devenu aveugle 2 ans avant sa mort. Entre la rue Galilée et l’allée Eddington, il existe une allée sans nom et sans existence administrative faussement appelée aussi allée Eddington.

- Gallieni, rue du Maréchal Joseph Simon (créée en 1965)(24/04/1849-27/05/1916) origine italienne, naturalisé. Il a établi un protectorat sur le Mali, gouverneur général du Soudan, gouverneur général de Madagascar. Pendant la première guerre mondiale, il a été gouverneur militaire de Paris. Il a eu l’idée des taxis de la Marne pour transporter rapidement une division de renfort sur le front avec 4000 taxis. Mort suite à une intervention chirurgicale.

- Galloteau, rue Nicolas Galloteau Chappron (créée en 1894) Marchand drapier, maire à 3 reprises( 22/04/1738-1793/1798-08/05/1810) Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901. Chappron était le nom de sa femme.

- Galois, allée Évariste -Voie piétonne (créée en 1967) Mathématicien (25/10/1811-31/05/1832) Expulsé de l’ École Normale pour un article virulent contre le directeur de l ‘école. En 01/1831 il a été arrêté pour un toast contre Louis Philippe, 1 mois de prison. Il était devenu artilleur de la Garde Nationale qui fut dissoute. Le 14/07/1831, arrêté pour port d’uniforme illégal, 6 mois de prison. Duel avec Dacheu d’Imberville, blessé, atteint de péritonite, il est décédé. Il a publié ses travaux sur la résolution de la Théorie de Galois, et le Corps de Galois. Une impasse sans nom prend dans cette allée.

- Galoise, porte – Voir Vesle, porte de

- Gama, boulevard Vasco de ( ou Da Gama) (créé en 1966) Navigateur portugais, chef militaire ( vers 1469-24/12/1524) Il conduisit des expéditions vers les Indes en 1497 et 1502. Il fut en semi-retraite pendant 20 ans puis nommé Vice-Roi des Indes en 1524. Décédé aux Indes.

- Gambetta, rue Léon. (Baptisée en 1883) Homme politique (02/04/1838-31/12/1882) Certains l’appelaient « Gambitta » D’origine italienne, naturalisé en 1849. Il a été plusieurs fois ministre. Il s’est distingué en 1870-1871 dans la défense de Paris. Il a lancé la nationalisation des chemins de fer et créé l’impôt sur le revenu et reconnu le droit syndical. Mort d’une septicémie suivie d’une appendicite. En 1888, se construisit au numéro 19, la première maison de Reims avec terrasse et jardin suspendu. Au N° 80 en 1905, on voyait le dancing " Les Folies Rémoises" On a découvert des traces de voie romaine dans la rue.
3 noms précédents successifs.
-1-A- Saint -Remi, route de
-1-B- Neuve, rue (connue en 1274) ( ou ci-dessous) En 1862, on pouvait lire "rue Neuve dite Gambetta" Baptisée rue Neuve en 1875 (Atlas National) La rue a été pavée en 1864 et dotée de trottoirs. C’était une suite de la rue Saint-Denis, d’après le plan de 1775. On y voyait une maison de 1560 numérotée 2979 suivant la numérotation de 1766, disparue depuis (archives de l'archevêché) En 03/1798, le convent de Sainte Claire sis dans cette rue était proposé à la vente au titre des biens nationaux. En 1864, la rue a été pavée et dotée de trottoirs. elle allait de la rue du Bourg Saint Denis à la place Suzanne. En 1864 également la première boucherie chevaline s'y est installée. Dans cette rue se situait les « Bains Boulogne » au n° 80 puis renumérotée au 51 Une cour donnant 25 rue Neuve était surnommée cour du crime en 1820 et disparue en 1864, suite à sa détestable réputation. J.B de la Salle a également habité dans cette rue. Le projet de ligne de chemin de fer entre Épernay et Reims en 1845 prévoyait le passage de la voie rue du Barbâtre, rue Neuve et la gare à la Couture. Toujours en 1864, on y voyait une maison à l'enseigne du "Coq à la poule".
-1-C- Neufve, rue (autre orthographe en 1596)

- Gambrinus, rue – Voir Dallier, rue

- Gand, rue Jean Nicolas Henri (baptisée en 1932) Manufacturier ( 1809-18/03/1873) Bienfaiteur. La rue se termine en impasse. Elle est déclassée du domaine public en 12/2008.
Un nom précédent.
-1-A- Poteau Rouge, rue du -Appellation non officielle. Elle fut débaptisée pour éviter une confusion avec une rue du même nom. On y trouvait un poteau de couleur qui délimitait la commune de Reims. Elle allait de la rue de Brimontel à la rue du Pot de vin.

- Gandon, rue Armande (créée en 1971) Militante communiste, résistante ( 11/08/1920- 22/04/1945- morte d'épuisement après avoir été libérée par les Russes)

- Gandon, allée Yves (créée en 1975) Poète, romancier, journaliste (1899-1975) En 1948, il a obtenu le grand prix du roman de l ‘ Académie Française.

- Garcia Lorca, rue Fédérico (créée en 1978) Écrivain espagnol, poète, peintre, pianiste, compositeur (05/06/1898-19/08/1936) dépressif en 1929- fusillé par les antirépublicains. Franco interdira totalement son œuvre. En octobre 2009, des fouilles ont commencé dans une fosse d'Alfacar près de Grenade ou reposeraient 6 fusillés. A la demande de la famille, le corps ne sera pas identifié ni exhumé, le lieu deviendrait un cimetière. Aux dernières nouvelles (15/12/2009) cette fosse se serait révélée vide.

- Gare, cour de la (Sncf- privée) (créée en 1853) Note : En 1866, il n’y avait encore aucune construction à l’ouest de la gare. En 1921, on pouvait voir, au sud de la cour, un baraquement provisoire affecté à l'agence de voyage Thomas Cook, preuve que la ville voulait revivre normalement après les ravages de la guerre. En 1873, les trains mettaient 8 heures 40 pour parcourir le trajet Reims-Paris (environ 150 km)

- Gare, rue de la - voir Thiers, rue

- Garenne, rue de la (créée en 1925) Longueur : 10 m

- Garnier, rue Francis, Alfred, René, Marie (créée en 1991) Maître artisan (10/08/1930-24/04/1989) Décédé dans un accident de la route.

- Garros, esplanade Roland Adrien Georges (créée en 1989) Aviateur (06/10/1888-02/10/1918) champion cycliste sous le pseudonyme de « Danlor » puis aviateur à partir de 1909, il traversa la Méditerranée le 27/09/1913. Il participa à de nombreux meetings, les journalistes l’avaient baptisé « l’éternel second » Il battit plusieurs fois le record d’altitude, 3950 m puis 4950 m puis 5610 m. Pendant la première guerre mondiale, il mit au point le premier système de tir à travers l’hélice inventé par Saulnier. Abattu une première fois, il fut fait prisonnier pendant 3 ans. Il s’est évadé. Il fut abattu en combat aérien. Prés du parc des expositions, il existe 3 rues sans nom vers la route de Chalons.

- Gascons, allée des (créée en 1974)

- Gaucher de Châtillon, rue (créée en 1937) Connétable de France (vers 1250-1329) Distinction qu’il garda sous 5 règnes successifs. Capitaine de la ville de Reims. Il organisa la défense contre les Anglais qui durent lever le siège après 28 jours.

- Gaulle, avenue du Général Charles De (baptisée en 1970)(22/11/1890-09/11/1970) et homme d’état. Il a été 2 fois blessé pendant la première guerre mondiale. Il prôna l’arme blindée. Il était surnommé « Colonel Motor. » Il était le chef de la résistance française depuis Londres au cours de la 2e guerre mondiale. (Appel du 18/06/1940.) Puis chef du gouvernement provisoire à Alger. Fondateur de la 5e république. Président de la république. Il a démissionné au cours du 2e mandat suite à un référendum non favorable sur la régionalisation.
Précédemment, plusieurs rues // ou dans l’axe.
-1-A- Saint-Antoine, passage. 8 saints ont porté ce nom.
-1-B- Gueux, rue de
-1-C- Souyn, rue (Voir aussi rue E. Guillaume) (baptisée en 1903) En 1925, cette rue allait du pont sur la Rivière Brûlée à la rue de Courlancy.
-2-A- Mulhouse, rue de
-3-A- Hannier, chemin -Du nom d’un négociant en charbon.
-3-B- Hannier, rue (ou ci-dessous)
-3-C- Hannier, chaussée (ou ci-dessous)
-3-D- Hannier, quai
NOTE : E.Dupont (rubrique nécrologique de la Vie Rémoise) place cette voie en antécédent de la rue Libergier. Et elle aurait porté ensuite le nom d’avenue des Grands Marais. Pas trouvé d’autres références.
-4-A- Polonceau, rue Antoine Rémy (baptisée en 1887) Ingénieur (08/11/1778 – 31/12/1847) Construisit la route du Simplon. Elle allait de la rue Souyn, au-delà de la Rivière Brûlée. Puis, en 1925, du pont de Vesle au pont sur la Rivière Brûlée.

- Gaulle, pont De -Il devait être le début d’une avenue allant jusqu’à la cathédrale, jamais réalisée (années 1960) En 2008, il est question de le démolir lorsque la partie de l’A 4 qui traverse Reims sera donnée à la ville suite à la construction d’une déviation dont la livraison est programmée en 2011 (voir la voie Taittinger, Jean)

- Gauthier, cité de 96 logements (créée en 1929) Des habitations populaires y ont été construites.

- Gautier, rue Théophile Jules (créée en 1965) Poète, romancier, peintre, critique d’art (30/08/1811-23/10/1872) Sportif ( natation, canotage, boxe) Baudelaire l’appelait le « Poète Impeccable » Il a créé le Club des Haschischins pour l’étude du cannabis. Décédé de maladie cardiaque.

- Gay-Lussac, boulevard Louis Joseph (créé en 1973) Physicien et chimiste (06/02/1778-08/05/1850) Il fit de nombreuses études sur les gaz (loi de dilatation, loi volumique) et découvrit le bore et l’acide cyanhydrique. Pour ses études il fit plusieurs ascensions en ballon et battit un record d’altitude avec 7016 m. pour vérifier les théories de Saussure. Un cratère de la lune porte son nom.

- Général Eisenhower, cour (créée en 1975)

- Genre humain, rue du – Voir Grenier à Sel, rue du

- Gény, rue Raoul - (baptisée en 1965) Secrétaire de la mairie, résistant et déporté né à Reims 98 rue de la Neuvillette ( 28/07/1898-16/03/1963)
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Cheysson, passage Émile
-2-A- Union Foncière, impasse de l’ -Organisme créé pour la reconstruction de la ville en 1919.

- Gérard, rue Alfred - (baptisée en 1965) Bienfaiteur né à Reims 13 rue du Comte d'Artois ( 23/03/1837-23/03/1915) Industriel installé au Japon pendant 15 ans. Il donna 700 objets japonais au musée Saint-Remi. Fondateur du Cercle Agricole Rémois.
Un nom précédent.
-1-A- Polygone, rue du ( baptisée en 1931) Terrain d’entraînement de l’artillerie. En 1920, la rue allait de la rue de Brimontel dans les champs. En 1965, elle fut prolongée. La rue a été débaptisée pour la rue ci-dessus.

- Gerbault, rue madame G. Sibire-Gerbault (créée en 1889) Bienfaitrice née à Reims rue Saint Étienne dans la maison de l’Écu de France (12/06/1810-08/08/1889) Ses dons permirent l'agrandissement de la maison de retraite.

- Gerbert, boulevard – Voir Pasteur, boulevard - Même voie que ci-dessous

-
Gerbert, boulevard – Voir Vasnier, boulevard Henri - Même voie que ci-dessus

- Gerbert, porte (créée en 1856) Créée au bout de la rue Gerbert pour l’octroi. Elle a été démolie en 1886.

- Gerbert, rue - (baptisée en 1841) Même voie que ci-dessous Il était fils de berger du Cantal, il se fit moine (950-1003) Archevêque de Reims de 972 à 980 ou il donna un grand essor à l’enseignement. Puis il devint le Pape Sylvestre II de 999 à 1003. Mathématicien, Il introduisit les chiffres arabes en Occident et conçut le « bâton de Gerbert « pour mesurer des objets inaccessibles. (Voir rue du Lieutenant Herdouin) La rue longe le mur de l’octroi en 1855, démoli en 1886. De 1914 à 1918, un canon Rimailho de 155 a été camouflé dans cette rue et n’a jamais été découvert par les Allemands.
2 voies précédentes.
-1-A- Impasse sans nom qui menait au couvent des Augustins
-2-A- Nouveau Collège, rue du - (baptisée en 1775) La première pierre d'une annexe du collège des Bons Enfants a été posée par Louis XVI, mais n’a jamais été achevé.

- Gerbert, rue – Voir rue du Lieutenant Même voie que ci-dessus

- Géricault, rue Théodore (créée en 1976) Artiste peintre romantique . Riche, il n'avait pas besoin de vendre ses oeuvres pour vivre (26/09/1791-26/01/1824) Son tableau le plus connu est « le Radeau de la Méduse » Il fit reconstituer le radeau dans son atelier et demanda à 7 rescapés de poser pour lui. Mort de tuberculose.

- Gerson, rue (baptisée en 1935) Philosophe, prédicateur. Jean Charlier de Gerson, (14/12/1363-12/07/1429) connu sous le nom de son village natal. Gerson les Barby, disparu depuis. Chanoine de la cathédrale de Reims, chancelier de l’Université de Paris, on l’appela « le Docteur Très Chrétien. » Certains ont parlé du « Siècle de Gerson «
Un nom précédent.
-1-A- Deville, rue

- Géruzez, rue (créée en 1876) -Même voie que ci-dessous Famille d’historiens et d’ecclésiastiques. Dont Jean Baptiste François , chanoine (07/01/1764-26/03/1830) qui écrivit une « Description historique et statistique de la ville de Reims) et l'"Histoire de l'église de Reims en 1913 sous l'orthographe Géruzet.

- Géruzez, rue – Voir Guichard, rue Jules - Même voie que ci-dessus

- Gibraltar, rue de . (Créée en 1966) Enclave anglaise en Espagne.

- Gide, rue André (créée en 1976) Écrivain (22/11/1869-19/12/1951) Surnommé « Pasteur de Sodome « ou « Zarathoustra de Campings » homosexuel ( d’après Allégret) Tenté par le communisme puis il lança de violentes diatribes contre Staline. En 1932, ses œuvres sont mises à l’index par le Vatican. Il obtint le prix Nobel de Littérature en 1947.

- Gide, square André - La Neuvillette.

- Gieu, rue de – voir Élus, rue des

- Gilbert, rue Augustin Hubert (créée en 1876) Notaire, manufacturier, adjoint au maire (04/03/1806-18/11/1863) Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Gilbert-Lecompte, rue Roger Lecomte, dit- (créée en 2000) Écrivain né à Reims 52 rue hincmar (18/05/1907-18/11/1943) Il fonda la revue surréaliste du Grand Jeu avec 3 autres lycéens rémois : Roger Vaillant, René Daumal et Robert Meyrat. Ils étaient en concurrence avec Breton . Les réunions de ce cercle, de 1927 à 1932, se tenaient dans le bar du cirque, aujourd’hui détruit.

- Giraud, avenue du Général Henri (baptisée en 1949)(18/01/1879-13/03/1949). Prisonnier en 08/1914. Évadé en 10/1914. Le 19/05/1940, de nouveau prisonnier en Allemagne. Évadé 2 ans plus tard. Il est devenu coprésident avec De Gaulle du Comité de Libération Nationale pendant la 2ème guerre mondiale. Blessé lors d’un attentat en 08/1944. Il s’opposa souvent au général De Gaulle qui finit par l’éloigner de la coprésidence. Au carrefour avec le boulevard Henri Vasnier, on peut voir le monument aux morts des troupes coloniales, essentiellement d'Afrique noire qui avaient obligé les Allemands à quitter la ville le 13 septembre 1914 et qui avaient ensuite empêché la reprise de la ville par eux. Le monument d'origine était la copie de celui érigé à Bamako. En 1940, les allemands l'avaient détruit d'abord pour récupérer le bronze et aussi pour venger l'affront enduré. Un monument de substitution avait été érigé en 1963. En 2009, la décision a été prise de refaire un monument à l'identique par moulage de celui de Bamako.
Un nom précédent.
-1-A- Chalons , route de
-1-B- Chalons, avenue de (créée en 1887) de la place Dieu-Lumière aux caves Pommery . Voir avenue Farman entre la place Dieu-lumière et l’octroi.

- Giraudière, rue Jacques de La (créée en 10/2006) Colonel de l’armée de l’air. Commandant la base aérienne 112. La prolongation de la rue a été décidée en 09/2007.

- Giraudoux, rue Jean Hippolyte (créée en 1976) Écrivain, diplomate. (29/10/1882-31/01/1944) Mobilisé en 1914, blessé. Il a été mis en retraite en 01/1941 suite à des écrits contre Hitler. Son appartenance à la résistance a été contestée. Mort d’un empoisonnement alimentaire ou plus vraisemblablement, d’une pancréatite. Le bruit a couru qu’il aurait été empoisonné par la gestapo.

- Gire, cour - (créée en 1876 - disparue après 1931)
Elle ouvrait 60 faubourg Cérès.

- Glacier, rue du – Voir Paris, rue Henri

- Glacière, rue de la – Voir Paris, rue Henri

- Gloire, rue de la – Voir Saint-Hilaire, rue

- Glycines, allée des (créée entre 1922 et 1925) Située dans le Foyer Rémois.

- Gobelins, chemin des – Voir Viellard, rue René

- Gobelins, impasse des

- Gobelins, petite rue des – Voir Dom Pérignon, rue

- Gobelins, rue des (créée en 1840) Famille de tapissiers originaires de Reims. A l’origine ils étaient laveurs de laine. Ils se sont installés à Paris à partir de 1443 et s’allièrent à des tapissiers flamands. Ils fondèrent la Manufacture Royale de Tapisserie avec l'aide de Colbert. En 1864, la rue partait du faubourg Cérès.

- Gobelins en Retour, rue des – Voir Dom Pérignon, rue

- Goderneau, square Chanoine Louis Auguste (créé en 1971)(12/04/1897-11/12/1958) Vicaire de Saint-Jacques puis de la cathédrale. Il fonda une association ouvrière.

- Godinot, fontaine – Voir Saint-Pierre les Dames, fontaine.

- Godinot, place Jean - (baptisée en 1842) Chanoine. (21/07/1661-15/04/1749), janséniste, exclu du chapitre. Il fit fortune comme vigneron et marchand de vin. Il paya pour l’édification des 17 fontaines du père Féry et la construction d'un hôpital des cancérés (cancéreux), le premier au monde en 1740. Au milieu de la place se trouvait une fontaine de 1843 remplacée en 1903 actuellement sans eau. A l’angle de la place et de la rue de l’Université, était l’église Saint-Étienne détruite en 1795. Il eut d'autres actions moins heureuses comme d'inciter le Chapitre à remplacer les vitraux des bas-côtés de la cathédrale par du verre blanc " pour y voir plus clair" ! En 1813, en l'honneur de Godinot, on avait envisagé l'implantation d'une fontaine monumentale place de la Couture. On aurait utilisé les 2 figures allégoriques du soubassement de la statue de Louis XV de la place Royale et surmonté le tout Saint Symphorien, on pouvait voir un cadran solaire. Pendant la 2ème guerre mondiale, un immeuble de la place servit aux bureaux de la kommandantur allemande. Une autre partie de cet organisme fut installée rue du général Sarrail.
3 voies précédentes regroupées.
-1-A- Saint-Pierre les Dames, place (connue au 17e siècle) En 1666 par décret royal, c'était le seul endroit où on pouvait vendre de la chaîne de fils de laine.
-1-B- Saint-Pierre, place - (baptisée en 1814) Apôtre, de son vrai nom Simon Pierre ou Siméon Pierre. Baptisé par Jésus du nom araméen de Kepha = Pierre. On y voyait une maison dite "de l'Aumône".
-2-A- Révolution, place de la - (baptisée en 1794)
-3-A- Saint-Pierre, place (de nouveau en 1814 jusqu'en 1842. )

- Gogol, rue Nicolas Vassilievitch (créée en 1981) Romancier ukrainien (20/03/1809-21/02/1852) mystique. Voguë a dit « nous sommes tous sortis du manteau de Gogol. » En 1836, il fuya la Russie pendant 12 ans. Dépressif, il se laissa mourir. Mal soigné, il décéda. La rue se termine en impasse.

- Goguel, rue Jean Jacques (créée en 1994) Inspecteur principal de l'enseignement technique, résistant né à Reims 13 rue de Mâcon ( 17/02/1909-06/10/1987).

- Goïot, rue Claude - (baptisée en 1903) -Même voie que ci-dessous Commis d’architecture, conseiller municipal, bienfaiteur (12/10/1807-09/01/1892) Président de la « Libre Pensée » Il donna l’argent pour édifier un four crématoire qui ne fonctionne plus mais doit être réhabilité en chapelle du souvenir (en 2009). On trouva des traces de la première enceinte dans cette rue.
Un nom précédent.
-1-A- Créneaux, rue des -En partie, entre la rue du Barbâtre et le boulevard Gerbert. La rue a été prolongée et en 1882, elle allait de la rue des Salines dans les champs.

- Goïot, rue – Voir Marin la Meslée, rue du Commandant. –Même voie que ci-dessus.

- Gonzalle, rue Jean-Louis - (baptisée en 1928) Ouvrier tisseur, poète ami de Lamartine (12/07/1815-29/09/1879)
2 noms précédents concomitants
-1-A- Charonnière, rue de la (créée en 1920) Cette voie n’a pas d’existence administrative, connue en 1928 sous le nom de " La Charonnière "mais existant depuis le moyen-âge (d'après Seltzer )
Un lieu-dit du même nom existait vers la place de République ( voir à ce nom ) Il devait représenter un des lieux ou on déposait les ordures, hors les murs, autrefois.


- Gorki, rue Maxime (Alexiei Maksimovitch Pechkov, dit) (ou Gorky)(créée en 1981) Écrivain russe (16/03/1868-18/06/1936) Chantre du réalisme socialiste Exilé en 1906, revenu en Russie en 1913, menacé , il s'exile de nouveau en Italie. Il revient en Russie en 1929 sur la demande de Staline. Mort de tuberculose. Il existe des soupçons sur les causes de sa mort.

- Gosses, allée des (disparue en 1929) Située dans le Foyer Rémois. La maison de l’enfance y était implantée.

- Gosset, rue Pierre Louis (créée en 1892) Architecte, adjoint au maire né à Reims 10 rue Saint Étienne (02/08/1802-18/03/1875). On trouva des traces de la première enceinte dans cette rue.

- Goujon, allée Jean (créée en 1980) Sculpteur (v. 1510 - //) Surnommé « le Phidias français « ou « le Corrège de la Sculpture « Figure de la Renaissance. En 1552 et 1555, il a été incarcéré pour fait de religion. De 1563 à 1565, il aurait été en Italie. En réalité sa trace est perdue depuis 1559. il aurait été assassiné à la Saint-Barthélemy avec 1500 autres. (20 écus donnés aux fossoyeurs.).

- Goulet, rue Modeste (créée en 1991)(07/04/1831-27/07/1928 ) La rue aurait dû s’appeler Octave Goulet qui créa une chaîne de magasins à succursales multiples. Il s’agît d’une erreur du Conseil Municipal qui ne fut jamais réparée.

- Goulette, rue de la (créée entre 1914 et 1922) S’agit-il de la ville de Tunisie ?
.
- Goulin, cour - disparue en 1929.

- Goulin, impasse (disparue en 1929) Elle ouvrait 15 rue Goulin. Elle donnait accès à la cour Goulin, disparue en 1929.

- Goulin, rue Jean - (baptisée en 1903) -Même voie que ci-dessous Professeur, médecin, journaliste (10/01/1728-1799, 11 Floréal an VII) Il écrivit des articles dans le "dictionnaire raisonné et universel de matières médicales" . En 1925, réunion des 2 rues parallèles 1-b et 2-a
3 noms précédents.
-1-A- Courcy, chemin de -En 1903, le chemin de Courcy devint rue de Courcy, puis rue Roger Salengro pour partie.
-1-B- Courcy, rue de -En partie, entre l’avenue de Laon et la rue Émile Zola.
-2-A- Duruy, rue -En partie, entre l’avenue de Laon et la rue Émile Zola . En 1925, les rues Goulin et Duruy, parallèles, furent regroupées et appelées rue Goulin. La voie a été élargie entre l’avenue de Laon et la rue Émile Zola. La rue Duruy, après la rue Émile Zola, conserva son nom. Voir à ces rues.

- Goulin, rue – Voir Guichard, rue jules -Même voie que ci-dessus

- Gounod, allée Charles François (créée en 1958) Musicien (17/06/1818-22/12/1893) En 1843, il était Maître de Chapelle des Missions Étrangères. Il démissionna en 1848. En 1847, il avait été autorisé à porter l’habit ecclésiastique, ses lettres sont signées « Abbé Gounod » En 07/1856, il composa «Vive l’Empereur » hymne officiel pour Napoléon III. Le 24 juillet 1887, il dirigea à la cathédrale de Reims, la messe à la mémoire de Jeanne D’Arc. Il est mort d’une attaque cérébrale. La rue se termine en impasse.

- Gouraud, place du Général Henri Joseph Eugène (baptisée en 1961) Haut commissaire au Liban (17/11/1867 – 17/10/1946) Blessé aux Dardanelles en 1915, il fut amputé du bras droit. Il a été nommé gouverneur militaire de Paris après la première guerre mondiale. Il est inhumé dans le monument /ossuaire de la ferme de Navarin en Champagne.
2 rues précédentes.
-1-A- Saint-Nicaise, pointe (ou ci-dessous)
-1-B- Saint-Nicaise, place
-2-A- Pommery-Vasnier, rond point

- Gousset, rue du Cardinal Thomas Marie Joseph (baptisée en 1866)(01/05/1792-22/12/1866) Fondateur de l’Académie Nationale de Reims. Il fit construire l’église Saint-Thomas et y est inhumé. Cette place, en bordure des arènes gallo-romaines aurait fait partie d'après Loriquet du Forum Caesaris ou Castrum Caesaris qui se serait étendu jusqu'aux 3 Piliers.
2 noms précédents.
-1-A- Pot d’Étain, cul de sac du (connue au 18ème siècle)
-1-B- Pot d’Etain, rue du (baptisée en 1864) Origine : enseigne.

- Goussiez, rue Antoine (baptisée en 1932) Négociant, bienfaiteur (20/02/1831-20/04/1920) La rue existait sous ce nom en 1884, d’après l’annuaire Matot-Braine. En 1884, elle allait de la route de la Neuvillette dans les champs.
2 voies précédentes.
-1-A- Hermonville, rue d’ -Pour partie, voir rue Blavier. Commune des environs de Reims.
-1-B- Fismes, rue de -Commune des environs de Reims. La rue fut débaptisée pour éviter la confusion avec une rue du même nom.
-2-A- Fresnes, rue de (baptisée en 1887) Commune des environs de Reims.

- Goya, rue José Francisco Y Lucientes de (créée en 1980) Artiste peintre espagnol (30/03/1746-16/04/1828) Peintre du Roi. Il a été éloigné de la cour en 1789. Il était amant de la duchesse d’Albe. Entre 1808 et 1828, il fut tiraillé entre les idées progressistes françaises et le respect de son pays. En 1823, il devint sourd, exilé à Bordeaux, il fut enterré dans le même caveau qu'un compatriote, Martin Goicocchea. A l'exhumation en 1899, il fut impossible de reconnaître son corps. Les 2 dépouilles furent mises dans le même cercueil et rendues à Madrid.

- Gracques, rue des – Voir Saint-Jean Césarée, rue
.
- Graineterie, lieu-dit La - connu en 1889. Situé au passage à niveau de la route de Witry. Un établissement militaire de stockage de grains s'y trouvait.

- Grand Cerf, cour du - En 1889, il ouvrait 45 faubourg Cérès.

- Grand Cerf, rue du (Nom repris en 1924) Origine : enseigne de cabaret (brisée en 1793 car le cerf portait un écu fleurdelisé) Au 14ème siècle, la deuxième compagnie d'arbalétriers se réunissait dans cette maison. La rue était longée par les remparts du bourg de Saint-Remi en 925. Elle fut débaptisée en 1895, à la mort de Pasteur. Elle a repris son nom en 1924.Elle donne dans la rue Simon.
4 noms précédents.
-1-A- Monte au Ban, rue (ou ci-dessous) La rue montait vers le ban de Saint-Remi. En 06/1787, au numéro 3103 (numérotation de 1766) on y voyait l'auberge du "Grand Cerf.
-1-B- Montauban, rue de -Déformation du précédent .
-1-C- Grand Cerf, rue du -baptisée en 1794.
-1-D- Cerf, rue du (baptisée en 1832) Un monsieur Cerf Aron était connu en 1870, il tenait une auberge. La rue a longtemps été confondue avec la rue Neuve. Elle était sinueuse. En 1810, elle a été alignée sur la rue Neuve. Pendant une période, le lieu fut un théâtre de marionnettes à l’enseigne du « Barnum des Ombres « avant de reprendre son nom.
-1-E- Pasteur, rue (baptisée en 1895) Elle allait de la rue Saint-Remi à la place Saint-Thimothée.

- Grand Credo, rue du - (baptisée en 1925) En souvenir du quartier démoli pour créer la place Royale. C’était le lieu du plus important reposoir de la procession de la Fête Dieu. Le nom aurait été porté par une maison au centre du quartier dont les habitants avaient le privilège d’élever le Reposoir à la procession de la Fête-Dieu.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Perrière, rue de la -Voir France, cour Anatole.
-1-B- Université, rue de l’ -Baptisée en partie, entre la place Royale et le cours Anatole France.

- Grand Credo, rue du – Voir Royale, place

- Grand Jard, lieu-dit Le Situé entre le Bourg de Vesle et le ban de Saint-Remi. ( Entre les rues du Jard, de Vesle, des Capucins, Brulé et Marlot et le port du canal) De 1200 à 1853, c’était le royaume des jardiniers. Disparu avec les constructions de maisons et la régularisation de la Vesle
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- Grand-Marche, quarrel de la (connu en 1328) On disait aussi " Grant Marche" Il comprenait la rue du Marc jusqu’à la rue Pluche . On y voyait l'hôtel Le Vergeur. Des maîtres drapiers s’y étaient établis.

- Grand Moulinet, quarrel du (connu en 1328) Une auberge de ce nom y était installée ainsi qu’une auberge du Petit Moulinet. Les 2 réunis ont donné naissance à l’hôtel du Lion d’Or ( sur la place du Parvis Notre-Dame.)

- Grand Saint-Pierre, lieu-dit le (baptisé en 1880) Vu dans la rubrique nécrologique de La Vie Rémoise. Une usine y était implantée en 1875 sur le terrain du couvent Saint Pierre les Dames. Elle ouvrait rue Ponsardin.
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- Grand Saint-Pierre, rue du

- Grande Boucherie, quarrel de la (connu en 1328)
.
- Grande Boucherie, rue de la . (disparue en 1839)
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-Grande Pâture, lieu-dit La . Il se situait prés du moulin d'Huon sur un plan de 1771 mais était connu depuis 1636. C'était un marais près du moulin d'Huon.

- Grandes Meules, rue des – Voir Talleyrand, rue.

- Grands Marais, avenue des - Voir Gaulle, avenue De

- Grandrémy, allée Pierre Louis (ou ci-dessous) (baptisée en 1971) Négociant en confection , résistant né à Reims 9 rue de Charleville ( 31/10/1908- 04/1944) décédé en déportation.
Autre nom simultané.
-1-A- Grandrémy, place

- Grands Murs, rue des - (baptisée en 1794 - disparue depuis)
Un nom précédent.
-1-A- Grands Murs Saint-Remi, rue des -Elle donnait rue des Anges et cour Saint-Pierre. On y voyait une maison dite "de Festu)" de 1615 (Archives de l'Archevêché) Voir place du Forum, le château de Fétu ? En 08/1784, on y voyait au numéro 3178 la maison dite du "Petit Saint Julien". En 1864, elle allait de la place Saint Remi à la rue Saint Bernard. Les derniers restes de l’enceinte du bourg de Saint-Remi ont été démolis en 1880. Voir rue Pissotte dans la rue Fléchambault.

- Grands Murs Saint-Remi, rue des – Voir Grands Murs, rue des

- Grandval, rue Jean Baptiste (baptisée en 1887) Chimiste rémois, pharmacien de l’Hôtel-Dieu (1803-28/10/1877) En 1877, il a inventé un appareil à évaporation par le vide. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901. Elle est proche de la rue Croix Saint-Marc
2 noms précédents successifs.
-1-A- Croix Saint-Albert, rue -En souvenir du meurtre de l’évêque de Liège exilé à Reims.
-1-B- Saint-Albert, rue (de Louvain ou de Liège) - nom provisoire en 1876. Évêque de Liège, (1166- mort en 1196 à Reims.) D’autres sources donnent : date de la mort en 1202. Assassiné par les envoyés de Henri VI, empereur. La rue allait de la rue de Beine aux Coutures en 1876. La première maison a été construite en 1877.

- Grange-Crossart, quarrel de la (connu en 1328) Il longeait la rue Montjenglon.

- Grange de Mizy, rue de la – Voir Cotta, rue

- Grenier à Sel, rue du (reprise de l'ancien nom au 19ème siècle ) Elle prend au début de la rue du Marc, d’après Tarbé et Brissart-Binet et va jusqu'à la rue de Sedan. C’était un entrepôt où on pratiquait la vente du sel.
Une voie postérieure puis reprise de l’ancien nom.
-1-A- Grenier à Sel, rue du -créée en 1765. On y voyait une maison de 1673 numérotée 1208 suivant la numérotation de 1766 (Archives de l'archevêché)
-1-B- Genre Humain, rue du - (baptisée en 1794)

- Grévière, rue de la (créée entre 1914 et 1922) C’était une ruelle en 1922. Elle va de la rue du Pot de Vin à la rue des 2 Cités.

- Grigny, rue Nicolas de - (baptisée en 1924) Musicien (08/09/1672-30/11/1703) Organiste de la cathédrale.Il ne publia qu'un seul livre d'orgue mais il est considéré comme un des plus grands organistes français. Il inspira J.S. bach. qui recopia intégralement son œuvre.
Regroupement de 2 rues.
-1-A- Liberté, passage de la (baptisée en 1794) En 1925, il ouvrait 36 rue de Courcy, d’après l’annuaire Matot-Braine.
-2-A- Guignicourt Prolongée, rue de
-3-A- Etoile, rue de l’ -Elle allait de la rue de Neufchâtel à la rue de Courcy.

- Grille, rue de la – Voir Cérès, rue

- Grille Cérès, place de la – Voir Briand, place Aristide

- Grille Cérès, rue de la – Voir Cérès, rue.

- Grimm, rue des Frères Jacob et Guillaume (Wilhelm) (créée en 1972) Philologues, linguistes, allemands (04/01/1785-20/09/1863) ( 24/02/1786-16/12/1859) Ils débutèrent des études juridiques puis versèrent dans la diplomatie. Ils s'attachèrent à collecter les comtes anciens d'abord sur les " Maîtres chanteurs " allemands puis firent paraître des recueils de légendes. La loi de Grimm, découverte par Jacob a trait à la phonétique historique.
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- Grives, allée des (créée en 1971)

- Grojeanne, rue Paul (créée en 09/2007) Inspecteur de l'éducation Nationale. (1927-1999)
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- Gros Rubis, impasse du - Voir Tapissiers, impasse des

- Gros Rubis, ruelle du – Voir Carnot, impasse

- Gros Rubis, ruelle du – Voir Carnot, rue

- Groseillers, rue des – Voir Neveux, rue Pol

- Groseilliers, place des – Voir Neveux, rue Pol

- Groseliers, rue des – Voir Neveux, rue Pol

- Grosse Bouteille, rue de la – Voir Mars, rue de

- Grosse Clef, rue de la – Voir Langlet, cours

- Grosse Écritoire, rue de la - (connue au 17e siècle) Voie différente de ci-dessous Origine : Enseigne. La rue donne dans la rue des Consuls et la rue de la Renfermerie, suite rue de Sedan. En 1887 la proposition de l’appeler : rue de la Caisse épargne, resta sans suite. (La banque avait été créée en 1823) Un café de la "Grosse écritoire" existait en 1865.

- Grosse Écritoire, rue de la – Voir Cotta, rue Voie différente de ci-dessus

- Grosse Enclume, rue de la – Voir Créneaux, rue des

- Grue, rue de la (créée en 1680) Origine : Enseigne d’une maison au numéro 5 dite " à la Grue," oiseau sculpté de 1680. Cette enseigne était encore visible en 1930. Jean Baptiste de la Salle avait acheté dans cette rue la maison Ruinart pour créer une école chrétienne. Au 18ème siècle la rue n'était pas droite mais formait un V très ouvert. En 1864, elle allait de la rue Cérès à la rue Sainte Marguerite.

- Gué, rue du (créée en 1900) Un gué permettait sans doute de traverser la Vesle. La rue allait de la rue de Taissy au canal (Pré aux Moines)
Un nom précédent.
-1-A- Abreuvoir, chemin de l’ (créé en 1665) Il a été débaptisé pour éviter la confusion avec une rue du même nom près du pont de Vesle.

- Gué de la Porte à Vesle, quarrel du (connu en 1328)

- Guérin, allée Jules (créée en 1966) Journaliste (14/09/1860-1910) Antisémite, cet antidreyfusard dirigeait le journal « L’Antijuif » Poursuivi pour complot contre la sûreté de l’état, il se réfugia avec des hommes armés au siège du journal, rue Chabrol ou il avait créé la loge du "Grand Occident de France" par opposition à celle du "Grand Orient"dont la police fit le siège pendant 38 jours. Affaire connue sous le nom de « Fort Chabrol » Il a été condamné au bannissement et à l’exil. Mort de maladie.

- Guernier, rue Émile Ernest (baptisée en 1925) Ouvrier tisseur, conseiller municipal (08/10/1865-10/08/1923) . Pendant la première guerre mondiale, il fonda les soupes populaires à Reims. La rue allait du boulevard Jamin à la rue Charlier.
Un nom précédent.
-1-A- Saint-Hubert, rue dite (656 – 727) Patron des chasseurs.

- Guéry, rue Armand - (baptisée en 1928) Artiste peintre rémois né à Reims 43 rue du Barbâtre (04/03/1853-25/05/1912) Il peignit de nombreux tableaux des bords de la Vesle.
Autre nom simultané :
-1-A- Nouvelle, rue - (baptisée en 1928- nom provisoire) Elle allait de la rue Lecointre à la rue Saint-Thiery.

- Guesde, rue Jules -(Mathieu Basile, dit) (créée en 1925) Homme politique socialiste (11/11/1845-28/07/1922) il soutint la Commune. Il s ‘est exilé pour éviter la prison. En 06/1871, il créa le Collectivisme. Membre du Parti Ouvrier qui fonda la Fête du Travail (1er mai) Il fit parti d’un courant de la SFIO. La rue a été ouverte sur le terrain de l’ancienne brasserie de la Marne.

- Gueux, rue de -Vue sur le plan Legendre de 1765. Voie différente de ci-dessous Elle était parallèle à la rue des Telliers.

- Gueux, rue de – Voir Gaulle, rue du général de -Voie différente de ci-dessus

- Gueux, rue de – Voir Talleyrand, rue de -Voie différente de ci-dessus

- Gueux, rue des – Voir Talleyrand, rue -Même voie que ci-dessus

- Guggiari, rue Charles (créée en 1994) Cofondateur du journal « l’Union » (05/11/1908-12/05/1992) paru clandestinement pendant la 2ème guerre mondiale. Prolongement décidé en 05/2010 jusqu'à la rue de Neufchatel.

- Guichard, rue Marie François Jules - (baptisée en 1932) Instituteur, adjoint au maire ( 12/10/1870-22/07/1932)
Regroupement de 3 rues précédentes.
-1-A- Géruzez, rue -En partie
-2-A- Goulin, rue -En partie. Ces 2 voies prises dans leur partie élargie.
-3-A- Onze Maisons, rue des - (disparue en 1927) Qui pourrait être sur le même tracé, voir rue Belly. Dans cette rue existait une citée-jardin.

- Guignicourt, rue de (créée entre 1912 et 1913) -Voies perpendiculaires Commune de l’Aisne.

- Guignicourt, rue de – voir Krafft, rue Hugues -Voies perpendiculaires

- Guignicourt prolongée, rue de – Voir Grigny, rue Nicolas de

- Guillaume, rue Jean Baptiste Jean Eugène - voie privée baptisée en 1935. Statuaire (04/07/1822-01/03/1905) Auteur de la statue de Colbert dans le square du même nom.
Un nom précédent.
-1-A- Souyn, rue - (créée en 1903) Illustre famille rémoise. dont Nicolas, Lieutenant des habitants au 16e siècle.

- Guillaumet, rue Henri (créée en 1958) Aviateur. (25/05/1907-27/11/1940) Pionnier de l’Aéropostale et de la traversée des Andes (193 traversées) Le 13/06/1930, il s’écrasa et rejoignit la vallée en 5 jours et 4 nuits. (« Ce que j’ai fait, aucune bête ne l’aurait fait ») Il a été abattu alors qu'il transportait le nouveau gouverneur du Liban en étant pris dans un combat entre des avions anglais et des italiens.

- Guillemont, rue Paul (créée en 1966) Professeur à l ‘École de Commerce, adjoint au maire (26/01/1881-12/04/1956)

- Guillot, ruelle – Voir Prison du Bailliage, rue de la

- Guitry, rue Sacha (Alexandre Georges Pierre) dit (baptisée en 1978) Acteur et auteur de théâtre russe naturalisé français (21/02/1885-24/07/1957) Alexandre III, tsar de Russie était son parrain. Pendant la 2e guerre mondiale, il a fait libérer Tristan Bernard emprisonné grâce à ses relations. A la libération il a été arrêté puis libéré 2 mois plus tard. Il a obtenu un non-lieu en 1947.
Un nom précédent
-1-A- Guitry, allée Sacha -Voie piétonne.

- Gutenberg, rue (créée 1967) Johannes Gensfleish zur Laden Zum Gutenberg, dit - (ou Gutemberg , à la Française) Imprimeur allemand (vers 1394-03/02/1468) Son existence avant 1444 est mal connue. Il améliora le caractère métallique mobile, la presse à bras, l'encre d'impression. Le plus ancien document connu de lui est une lettre d'indulgence de 1454. Il ,imprima la bible en 1456. Il avait un associé appelé Fust. L'entreprise étant en difficulté, Fust la reprit et s'installa à Paris. En 1459, Gutemberg tente de relancer l'imprimerie en Allemagne. Décédé, enterré dans un cimetière qui fut démoli, sa tombe a été perdue.
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- Guyard, rue François Auguste (créée en 1973) Vétérinaire, président de l ‘Association Rémoise des Amis des Bêtes, conseiller municipal (16/12/1927-30/05/1972)

- Guynemer, rue Georges (créée en 1925) Aviateur (24/12/1894-11/09/1917) abattu en combat aérien prés de Poelkapelle en Belgique. As aux 54 victoires et 30 probables sur ses avions tous baptisés « Vieux Charles » Il a été abattu 7 fois. Parti pour sa dernière mission alors qu’il avait appris qu’on le mutait à l’arrière comme instructeur. Son corps a été découvert par les Allemands mais l’artillerie anglaise pilonnant le secteur, ses restes n’ont pas été récupérés. Les pilotes de l’armée de l’air portent une cravate noire en souvenir de sa mort.

- Guyot, rue Raymond - (créée 1946) Résistant (17/04/1908-30/04/1945) mort en déportation.
4 noms précédents.
-1-A- Abreuvoirs, rue des -Elle comportait une mare à chaque bout.
-1-B- Saint-André, rue - (baptisée en 1841) Apôtre, appelé « Protokrilit « : 1er appelé. Une première église Saint-Adrien, hors les murs avait été rasée en 1358 à l’approche des Anglais. Au 16e siècle, une église consacrée à Saint-André fut construite au même endroit, vendue à la Révolution mais sauvée de la démolition, elle servait de lieu de réunion. L’actuelle église Saint-André date de 1865. Son clocher est le plus haut de la ville, 88 mètres. En 1875, à l'angle de la rue Saint-André et de la place derrière l'abside de l'église, un marché était installé. Cette rue se retrouve aussi rue Prieur de la Marne. En 1914, au numéro 164, on trouvait la fondation "Victor Rogelet"
-1-C- Marché Saint André, place du - baptisé en 1860. A l'angle avec la place du docteur Chevrier.

- Guyot, rue – Voir Maucroix, rue

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