jeudi 18 novembre 2010

Liste des rues de Reims : J

- Jacob, cité (créée en 1898)

- Jacob, rue Frédéric François Auguste (créée en 1974) Conseiller municipal (18/07/1897-01/01/1972) La rue a été établie en partie sur Reims et en partie sur Saint-Brice. Elle est en prolongement du boulevard des Tondeurs. Voir note boulevard des Tondeurs.

- Jacobins, rue des (baptisée en 1924) Même voie que ci-dessous On y voit les vestiges du couvent du 13ème siècle. La rue fut percée à la Révolution à travers le couvent.
Regroupement de 2 voies.
-1-A- Prêcheurs, rue des
-1-B- Frères Prêcheurs, rue des - En partie, voir rue Brûlée.
-2-A- Ci-devant Jacobins, rue des - nommée en 1793 d'après le Journal de Champagne.
-2-A- Couchant, rue du - (créée en 1794) Créée pour faire penchant avec la rue du Levant. Elle a été percée sur le terrain des Dominicains avec l’église des Jacobins qui a été utilisée comme magasin à fourrage pendant la Révolution. En 1870 on créa un fourneau économique au N° 3 de cette rue ou se trouvait la chapelle Saint Vincent de Paule où eurent lieu les cérémonies religieuses d'enterrement pendant la première guerre mondiale, les autres lieux de culte étant devenu impraticables du fait des bombardements allemands. En 1864, la rue allait de la rue du Faubourg Saint Denis à la rue Brûlée.

- Jacobins, rue des – Voir Hincmar, rue Même voie que ci-dessus

- Jacobins, square des - ( créé en 1955, baptisé en 1997) Il comporte les ruines du couvent du 13ème siècle.

- Jacquart, cité (créée en 1957)

- Jacquart, place – Voir Trente août 1944, place du

- Jacquart, rue Joseph Marie (créée en 1840) -Voie différente de ci-dessous Mécanicien, (07/07/1752-07/08/1834) inventeur du métier à tisser breveté en 1801. Certains disent que son invention fut à l’origine de la révolte des canuts en 1831. A la fin du 19e siècle, il y eut environ 20000 métiers en France. En 1864, elle allait du faubourg Cérès à la rue de Bétheny.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Favorite, cour de la - Elle a été prolongée en 1840, renommée rue.
-1-B- Favorite, rue de la

- Jacquart, rue – Voir Lemoine, rue du docteur - Voie différente de ci-dessus

- Jacquart Prolongée, rue – Voir Lemoine, rue du docteur

- Jacquemin, impasse (disparue) Baptisée du nom du propriétaire des terrains. Elle ouvrait 12 rue Landouzy en 1892.

- Jacquesson, cour - (créée en 1876 - disparue depuis) Baptisée du nom d’un habitant. Elle s’ouvrait 27 rue du Grand Cerf .

- Jacquet, rue Nicolas Joseph (créée en 1930) Manufacturier , tisseur (21/11/1821-02/06/1877)

- Jacquin, rue du Docteur Lucien, Pierre, Auguste (baptisée en 1921) Voie différente de ci-dessous Adjoint au maire (30/06/1857-19/09/1914) Tué par un obus tombé rue Thiers devant la maison de monsieur Cama, consul d'Espagne. Le nom de cette rue a été proposé en 1916 à un autre endroit, voir rue de l’Arbalète. On a également proposé en 1966 de rebaptiser cette rue, rue Saint-Jean Baptiste de la Salle. Proposition restée sans suite . En 2009, le magasin "Galerie rémoise" au coin avec la rue de Prouilly, fermé depuis 2003 a été démoli (conservation des murs extérieurs) pour une opération immobilière.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Chanvrerie, rue de la
-1-B- Arbalète, rue de l’ - La première proposition de l’appeler rue Jacquin en 1916 est restée sans suite.

- Jacquin, rue du docteur – Voir Arbalète, rue. Voie différente de ci-dessus

- Jacquinet, rue du Docteur Georges, Antoine, René (baptisée en 1963) Directeur de l’école de médecine (30/05/1864 – 19/04/1938 )
2 noms précédents successifs.
-1-A- Cérès, boulevard. Il était situé entre la rue des Créneaux prolongée et la rue Dieu-Lumière. On ne le trouve pas indiqué chez Seltzer.
-1-B- Ay, rue d’ - (baptisée en 1887)

- Jadart, galerie -privée

-Jadart, rue Charles, Henri (baptisée en 1924) - Voies perpendiculaires. Bibliothécaire (17/11/1847-05/09/1921) Secrétaire de l’Académie Nationale de Reims pendant 40 ans.
2 noms précédents simultanés.
-1-A- Morceau, cour. Baptisée en partie , l'autre partie sur la rue Henri Menu. En 1869, il était envisagé de la prolonger jusqu’au palais de justice, projet non réalisé. (Ou ci-dessous)
-1-B- Monceau, cour. -Déformation du nom précédent .

- Jadart, rue – Voir Menu, rue Henri - Voies perpendiculaires

- Jamin, boulevard Jules, Célestin – (baptisé en 1886) Professeur de physique (30/05/1818-12/02/1886) Donateur au Musée des Beaux-Arts. Le boulevard était longé par le mur de l’octroi en 1855, démoli en 1886.
Un nom précédent.
-1-A- Champ de Mars, rue du (créée en 1876) En partie - voir boulevard Jules César.

- Jammes, rue Francis (créée en 1981) Écrivain, poète, romancier, dramaturge, critique. (02/12/1868-01/11/1938) Il est décédé le jour ou une de ses filles prenait le voile. En 1989, la rue a été prolongée jusqu’à la rue Edmond Rostand.

- Jamot, place Paul - (baptisée en 1941) Il était artiste peintre, critique d’art et poète. (22/12/1863-13/12/1939). Il organisa la nouvelle salle du musée des beaux-arts dans les locaux de la mairie en 1913. Après la guerre, il devint directeur du nouveau musée rue Chanzy, de 1927 à 1939. il donna des tableaux au musée ainsi que des bijoux.
Un nom précédent
-1- A- Belle Tour, place -baptisée en 1840.
C'est un simple carrefour entre les rues Ponsardin, Diderot et Marie Stuart. Elle a pris le nom de la plus grosse tour des remparts bâtie en 1509. Il y a actuellement un terre-plein au centre avec la reproduction d'une porte ancienne. En 1878 l'entreprise textile Givelet fut la 1ère à Reims à installer le téléphone (Graham Bell)  En 1900, on pouvait voir une école professionnelle et ménagère à l'angle des rues Ponsardin et Marie Stuart. Le bâtiment existe toujours.
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- Jantzy, rue – Voir Oseille, rue d’

- Jantzy, square George (créé en 1841 –restructuré en 1948) Administrateur (30/11/1850-21/03/1937) Il créa en 1881 « la Vigneronne » de Verzenay et en 1905, l'Harmonie du 3ème canton. Le buste de Jantzy installé en 1940 et emporté par les Allemands en 1943 fut réédifié en 1960, volé en 1980 suite à un pari a été retrouvé en 1983 mais non identifié immédiatement. Ce qui fut fait en 2008 et il sera replacé. . Ce square a été créé sur l’emplacement d’un jardin doté d’un kiosque à musique, appelé kiosque Victor Hugo.
Un nom précédent
-1-A- Hugo, square

- Jar Notre Dame, rue du – Voir Capucins, rue des

- Jard, poterne du (disparue) Au bout de la rue du même nom. C'était la 40ème tour du rempart depuis la porte a Velle.

- Jard, rue du - Jard = jardin. Le quartier était occupé au Moyen-age par les jardins de plusieurs couvents ou abbayes hors les murs. C’était aussi le quartier des maraîchers. La rue a été pavée en 1748, puis repavée en 1860. En 1864 elle allait de la rue du Bourg Saint Denis au boulevard Fléchambault. En 1865, elle avait encore un caniveau central. Le bourg du Jard commença à être loti en 1183. Au moyen age, un calvaire était dressé sur le rempart, au bout de la rue. Lors de la démolition de ces remparts, le calvaire fut descendu au niveau de la rue. Cette croix monumentale de 1757 implantée contre le 11 de la rue a été déplacée en 1864 en face du N° 36.
Note : Le numéro 24 de la rue en 1876 est devenu le numéro 34 en 1921. En 1876, une cour ouvrait au 28 de la rue (devenu 38)
Regroupement de 2 voies, la première ayant porté plusieurs noms
-1-A- Poterne, rue de la
-1-B- Jard la Poterne, rue du (ou ci-dessous) D’après un plan du 14ème siècle. Baptisée à cause de l’accès à la Vesle par une poterne dans le rempart. Elle a été prolongée jusqu’à la rue de la Fleur de Lys.
-1-C- Jard de la Poterne, rue du
-2-A- Jard aux Drapiers, rue du - D’après un autre plan du 14ème siècle. Des drapiers y auraient été établis. On trouvait aussi l'appellation "Jardin des Drapiers" On y voyait une maison de 1350 portant le numéro 2673 de la numérotation de 1766, démolie à une date inconnue (archives de l'archevêché)
-3-A- Longueau, rue de - (baptisée au 18ème siècle.) C’était le nom de la maison de ville du monastère des Longueaux de Châtillon sur Marne.

- Jard aux Drapiers, rue du – Voir Jard, rue du

- Jard de la Poterne, rue du – Voir Jard, rue du

- Jard La Poterne, rue du – Voir Jard, rue du

- Jard Notre Dame, rue du – Voir Capucins, rue des

- Jardelle, rue Roger, Gérasime (créée en 1961) Architecte, maire né à Reims 165 avenue de Laon (30/01/1894-1949/1953-08/06/1959) – Blessé et prisonnier en 1914/1918. Déporté en 06/1944.

- Jardin Besnard, - Voir Templiers, rue des

- Jardin des Drapiers, rue du – Voir Marc, rue du

- Jardin des Plantes, rue du – Voir Noël, rue Nicolas

- Jardinet, rue du - Voir Château de Porte Mars, rue du

- Jardiniers, impasse des (créée en 1929)

- Jardiniers, rue des (créée en 1929) Elle fut baptisée pour éviter les noms fantaisistes d’un imprimeur de cartes postales.-

- Jardins, allée des -allée privée-Elle allait de la rue Bruyant à la rue du Mont d’Aréne et donne rue des Jardins

- Jardins, impasse des – Voir Soussillon, impasse -Voie différente de ci-dessous.

- Jardins, impasse des – Voir Lapie, rue Paul - Voie différente de ci-dessus.

- Jardins, impasse des - Voie différente de ci-dessus. -Elle ouvre rue Tarbé et donne rue des Jardins.

- Jardins, rue des (créée en 1925) Voie différente de ci-dessous .-C’était une impasse ouverte qui donnait rue Soussillon et prolongée jusqu’à la rue de Saint- Brice

- Jardins, rue des - (connue en 1358 - disparue depuis) Voie différente de ci-dessus.

- Jarry, rue Alfred (créée en 1976) Poète, romancier, dramaturge comique (08/09/1873-01/11/1907) Il avait 3 attributs : la bicyclette, le revolver et l’absinthe. Il fut l’inspirateur des Surréalistes. Il inventa la »Pataphysique « . Une de ses pièces principales est « Ubu Roi » Décédé de méningite.

- Jasmins, allée des (créée entre 1922 et 1925) Située dans le Foyer Rémois.

- Jaurès, avenue Auguste Marie Joseph Jean Léon (baptisée en 1921) Homme politique socialiste (03/09/1859-31/07/1914) Il défendit les mineurs de Carmaux. Il était contre la guerre. Il défendit Dreyfus. Il était aussi journaliste, il écrivait sous le pseudonyme « Le Liseur » Il défendait les langues régionales. Il a été assassiné par le Rémois Raoul Villain qui fut acquitté ! Ce qui entraîna de nombreuses manifestations. Raoul Villain a été fusillé en 1939 par les républicains espagnols aux Baléares pour espionnage en faveur des franquistes. On a trouvé des traces du Décumanus dans cette avenue d’une longueur de 1700 m puis ancienne voie romaine à l’extérieur. Au début de l'avenue, on trouve l'église Saint André. voir mon blog "Histoire des lieux de cultes à Rims".  En face de la cour Dauphinot, on trouve une impasse privée sans nom. Prés de la poste actuelle, il y a également une impasse privée sans nom. Au coin de la rue du Bastion, depuis les années 1930, un cinéma "L'Eden" a été le 1er dans les années 1960 à proposer des films en 3D ( à regarder avec des lunettes spéciales.) transformé dans les années 1970 en discothèque.
4 noms précédents successifs.
-1-A- porte Chacre, bourg (ou bour) (connue en 1328)
-1-B- Faubourg Cérès, rue du (connu en 1780) En 02/1778, au numéro 4195 on voyait la maison dite du "Petit Temple" En 01/1787 on y voyait l'auberge de "Maison Neuve".
-1-C- Faubourg Cérès, grande rue du - En 02/1780 on voyait sous le numéro 1779 (numérotation de 1766) l'auberge du "Saumon". Création dans cette voie du premier magasin des établissements Goulet-Turpin en 1874, adresse devenue le 127 avenue Jean Jaurés.
-1-D- Faubourg Cérès, rue du (recréée en 1861- baptisée en 1887) Le faubourg Cérès dans son entier a été démoli en 1358 puis au 16ème siècle suite à des menaces d’attaque de la ville. Une cour sans nom s’ouvrait au 136. En 1875 d'après l'atlas national, la rue allait de la place de Cérès au carrefour avec la rue du Bastion. Elle était prolongée ensuite par la route de Rethel. Pour mémoire, le numéro 66 de la rue en 1865 est devenu le numéro 130 de l'avenue Jean Jaurès. En 1891 on a ouvert le cimetière à l'est à l'angle de la rue de Sfax.
-1-E- Rethel, route de - En 1875, elle faisait suite à la rue du faubourg Cérès jusqu'aux confins de la ville.

- Jaurès, place Jean - La Neuvillette (créée en 1967

- Jaurès, rond-point Jean -La Neuvillette (créée en 1967) idem ci-dessus.

- Jaurès, rue Jean - La Neuvillette (créée en 1952) Voie différente de ci-dessous

- Jaurès, rue – Voir Barbâtre, rue du - Voie différente de ci-dessus

- Jay, rue (disparue) Origine inconnue.

- Jazeron, rue André et Marcel (créée en 1974) Résistants (29/09/1899-21/04/1945) André, mécanicien, mort en déportation et Marcel André, garagiste, son fils (14/09/1923 -fusillé le 28/08/1944). Une impasse sans nom prend dans cette rue.

- Jean XXIII, rue Angello Giuseppe Roncalli (créée en 1965) Pape (25/11/1881-03/06/1963) En 1915, il fit la guerre au service de santé des armées puis devint aumônier militaire. Pendant la 2ème guerre mondiale, il sauva des victimes du nazisme. Il était francophile. En 1962, il a été atteint d’un cancer. Il a été béatifié en 2000.
3 impasses sans nom prennent dans cette rue.

- Jemmapes, rue de – Voir Sarrail, rue du général

- Jenner, rue Edward (créée en 1978) Médecin anglais (17/05/1749-21/04/1823) qui découvrit le vaccin de la variole. Napoléon fit vacciner son fils, le Roi de Rome. Le mot vaccin vient du fait que la forme atténuée de la souche était appelée vaccine.

- Jésuites, rue des (disparue)
Le nom a été trouvé chez Daniel Pellus (Reims, 2 Siècles d’évènements) Elle devait se situer près du collège des Jésuites, devenu hôpital général, donc vers Saint-Maurice. Les jésuites avaient aussi un établissement rue du faubourg Cérès. Cette rue aurait donné également dans le quarrel de Coursalin d’après Tarbé. Non trouvé dans d’autres documents. Il y a doute de son existence.


- Jeu de l’Oye, place du - (créée en 1564 - disparue depuis) Lieu d’implantation d’un jeu populaire à l’époque.

- Jeunehomme, rue Jean Baptiste - (baptisée en 1894) Imprimeur, maire (07/08/1737-1799 /1801-11/12/1806) . On voulut aussi honorer un autre membre de la famille, Gabriel Auguste ( 1783-1866) Donateur au Musée des Beaux-Arts de 25 tableaux de l'école hollandaise. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
Un nom précédent.
-1-A- Parmentier, rue Marie Louise - Fille de Eugène Parmentier qui construisit plusieurs rues à ses frais.

- Jeunesse, rue de la – Voir Cadran Saint-Pierre, rue du-

- Jirel, allée - Origine inconnue. Cette allée donne dans la rue de Brazzaville en boucle. Les plaques de rue sont absentes.

- Jobert-Lucas, rue Pierre Marie - (baptisée en 1887) Industriel, maire ( 24/04/1766-1796/1800-27/05/1841) Il créa la première filature à Bazancourt, berceau de la filature de laine en France. Lucas était le nom de sa femme. La voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom précédent.
-1-A- Boudsocq, rue Marie Anne Boudsocq, Sœur Sainte-Marie de la Visitation, Supérieure de l’hôpital général (1799-1870) Une pétition a été faite pour la faire appeler : rue de la Sœur Boudsocq, restée sans suite, rebaptisée rue Jobert-Lucas.

- Joffre, boulevard du Maréchal Joseph Jacques Césaire (baptisé en 1931) Vainqueur de la bataille de la Marne. (12/01/1852-19/03/1931) Il promouvait l’offensive à tout prix. Maréchal en 1916, démis de ses fonctions de général en chef pour être remplacé par Foch. Il fit de nombreux déplacements pour représenter la France à l’étranger. Malade, amputé puis décédé. Sur ce boulevard, une rue sans nom mène au parking SNCF (voie privée.) En 1905, au bout du boulevard en bordure du square Colbert en face de la gare SNCF se trouvait la halte principale dans Reims du CBR (chemin de fer de la banlieue rémoise), En 06/2008, lors de fouilles, on a découvert un carrefour de voies du premier siècle après JC, à hauteur du square Colbert. On a également trouvé des trous de poteaux d’édifices en bois ( 50 Av. JC) Ainsi que de nombreuses caves gallo-romaines. Dans le cadre de l'implantation des lignes du tramway, la partie de ce boulevard situé devant et au nord de la gare est mise en souterrain ( livraison en 06/2010) pour la continuité de la circulation automobile ( voir boulevard Roederer ).
2 noms précédents successifs.
-1-A- Chemin de Fer, boulevard du (créé en 1853) Baptisé car menant vers la gare nouvellement construite.
-1-B- Roederer, boulevard Louis (baptisé en 1887) En partie. Il a été débaptisé entre la place de la République et la gare.

- Jolicoeur, rue – Voir Roosevelt, rue du Président

- Jolicoeur, square Henri, Charles (créé en 1949) Médecin (03/04/1839-16/01/1895) Lors de l'épidémie de phylloxéra dans la Marne, il fut l'ardent propagateur des moyens de défense contre ce fléau.

- Jolie, cour et rue - Voir Clicquot-Blervache, rue

- Joliot-Curie, rue Frédéric et Irène (créée en 1971) Physiciens (19/03/1900-14/05/1958) (17/12/1897-17/03/1956) Ils ont fait des études sur l’énergie nucléaire. En 1939, ils ont étudié une bombe atomique française. En 1935, ils ont eu le prix Nobel de Chimie. Irène Curie est morte de leucémie. Frédéric Joliot, est mort de maladie du foie. Les camions radiologiques de l’armée en 1914-1918 étaient surnommés « les petites curies " en mémoire des parents d'Irène, Pierre et Marie qui avaient étudiés la radiologie.
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- Joly, rue Jean (baptisée le 06/07/2010) -Résistant rémois décédé en 1994. Il fut membre de l'état-major FFI de la Marne. La rue va de la rue Gay-Lussac à la rue Edmond Pottelain.

- Joly, rue et cour – Voir Clicquot Blervache, rue

- Jonchery, rue de – Voir Pouillon, rue de

- Josetti, allée (créée après 1936) Origine inconnue.

- Joudmés-Rolland, quarrel (connu en 1358) Baptisé du nom de 2 habitants

- Jouhaux, rue Léon (créée en 1976) Syndicaliste CGT (12/12/1879-17/03/1954) qui fonda Force Ouvrière en 1948 car il refusait la main mise du parti communiste sur les syndicats. En 11/1942, il fut déporté avec d'autres personnalités françaises dans des conditions confortables.

- Joussier, rue Serge, René, Michel -La Neuvillette. (Créée en 2001 - Inaugurée le 24/10/2002) Inspecteur de éducation Nationale. (19/06/1936-12/10/1995)- La rue va jusqu’à la rue Lelarge.

- Jousterie, rue de la - (créée en 1601 - disparue depuis) Située prés du marché aux Herbes, certaines herbes comestibles s’appelaient des joustes ou joutes. (il s'agissait de bettes)

- Jouvet, allée Jules Eugène Louis (créée en 1979) Acteur, metteur en scène (24/12/1887-16/08/1951) En 1912, il obtint le diplôme de pharmacien. En 1914, il fut ambulancier puis médecin auxiliaire. Il cacha son bégaiement par une voix saccadée. Pendant la 2e guerre mondiale, il s’exila en Amérique latine avec sa troupe. Mort d’un infarctus pendant une répétition.

-Jovin , rue Flavius Valaeus - ( créée entre 1906 et 1911) - Même voie que ci-dessous Général romain (vers 310/370) qui commandait à Reims. Certains auteurs le nomment Saint Jovin. Il battit les Allamans en 366. Son sarcophage qui serait antérieur de plusieurs siècles à son occupant ( d'après certains auteurs) est conservé au musée Saint Remi.


- Jovin, rue – Voir Château de Porte Mars, place du Même voie que ci-dessus

- Jugan, rue Jeanne (créée en 1975) Religieuse. (25/10/1792-29/08/1879) Sœur Marie de la Croix. Fondatrice des « Petites Sœurs des Pauvres » qui s’appelaient d’abord « Servantes des Pauvres » Elle a été proclamée « Bienheureuse « en 1982 et canonisée le 11 octobre 2009.

- Juifs, rue des – Voir Elus, rue des

- Juin, avenue du Maréchal Alphonse (créée en 1973)(16/12/1888-27/01/1967) Pendant la première guerre mondiale, il reçut 4 blessures. En 1939, il fut fait prisonnier, libéré à la demande de Vichy le 15/06/1941. Commandant des forces françaises en AFN. Arrêté le 08/11/1942 par des résistants. Libéré, il commanda le corps français en Italie puis en Provence. Son armée ira jusqu’au nid d’aigle d’Hitler à Berchtesgaden.
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- Juiverie, rue de la – Voir Elus, rue des

- Julli, cour et rue - Voir Clicquot-Blervache, rue

- Jumelles, portes – Voir Vesle, porte de

- Justice, impasse de la - (baptisée en 1920) Elle a conservé l’appellation « passage » En 1936, au N° 9, on trouvait la marbrerie " Veuve Flajollet"
Un nom concomitant.
-1-A- Justice, passage de la (fermé en 1920) En 1892, il allait du boulevard du Temple à la rue de la Justice d’après l’annuaire Matot-Braine.

- Justice, porte de la (créée en 1892) Créée pour l’octroi d’après l’annuaire Matot-Braine.

- Justice, rue de la (baptisée en 1876) Même voie que ci-dessous C’est par la rue de la Justice qu’on menait les condamnés au gibet des 3 Piliers . En 1875, l'Atlas national l'appelait "rue de Justice" En 1864, elle allait de la rue Coquebert au nouveau chemin de ronde.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Justiciers, chemin des
-1-B- Justice, chemin de la . En 1875, il allait du chemin de Courcy à la rue Saint Etienne.

- Justice, rue de la – Voir Temple, rue du - Même voie que ci-dessus.

- Justice, chemin et rue de la – Voir Paris, rue Paulin

- Justice Prolongée, rue de la – Voir -Paris, rue Paulin

- Justiciers, chemin des – Voir Justice, rue de la

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