- Cabot, rue Sébastien (créée en 1966)
Navigateur anglais (1477-1557) dont la famille est d'origine italienne. Il serait né à Venise mais lui-même a déclaré être né à Bristol. Il a suivi son père, John Cabot dans ses expéditions et poursuivi son œuvre après sa mort en 1498. Il est entré au service de l'Espagne en 1525 puis de l'Angleterre en 1547.
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- Cadran, rue du – Voir Cadran Saint-Pierre, rue du
- Cadran Saint Pierre, rue du - (baptisée en 1844) De cette rue, on voyait le clocher et l’horloge de l’église Saint-Pierre le Vieil qui a été vendue en 1790. En 1864, la rue allait de la rue de l'Arbalète à la rue de Talleyrand.
2 rues anciennes ayant porté plusieurs noms, regroupées.
-1-A- Saint-Pierre le Vieil, rue de (ou ci-dessous) (connue au 13ème siècle.) L'église du même nom était implantée à l'angle de la rue avec la rue de Talleyrand. Près d'elle était implanté l'ancien cimetière de Porte Mars (d'après les archives de l'Archevêché)
-1-B- Saint-Pierre le Viez, rue de (connue en 1261)
-1-C- Saint-Pierre le Vieux -D’après Tarbé
-1-D- Saint-Pierre le joutier - D’après Tarbé, au milieu de jardins. A l’époque, la joute (ou jouste) était une plante potagère.
-1-F- Chapitre Saint-Pierre, rue du (connue en 1315)
-2-A- Rouge Queue, rue -(ou ci-dessous) (connue au 14ème siècle) Oiseau, mais plus certainement déformation du suivant.
-2-B- Rouge Gueux, rue (connue au 14ème siècle) 3 possibilités : chaufferette en terre rouge dite de Gueux (1871) ou des roués ( chanson du 14ème siècle) Mais aussi à cause de la proximité avec la rue de Gueux et parce que des charcutiers tuaient les bêtes dans la rue qui était rouge de sang (la 3e explication est privilégiée) Dans cette rue existait une maison de ce nom.
-3-A- Cadran, rue du (disparue en 1797) La pétition des riverains en 1790 pour garder l’horloge du clocher est restée sans suite. Le portail de l’église a été remonté dans le jardin de l’hôtel le Vergeur.
-3-B- Jeunesse, rue de la (baptisée en 1794)
-4-A-Pavée d’Andouille, rue (Elle existait en 1854) Des charcutiers y étaient installés. L’andouille était vendue les jours de foire. La rue était située entre la rue de l’Etape et la rue du Clou dans le Fer. Le reste de la rue porte le nom de Cadran Saint-Pierre.
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- Caesarea, voie – Voir Barbâtre, rue du -Même voie que ci-dessous
- Caesarea, voie – Voir Saint-Jean Césarée, impasse et rue -Même voie que ci-dessus
- Casarea, via – Voir Barbâtre, rue du - Même voie que ci-dessous.
- Casarea, via – Voir Saint-Jean Césarée, rue - -Même voie que ci-dessus.
- Caillois, rue Roger (créée en 1979) Écrivain et anthropologue né à Reims , 8 rue Savoye (03/03/1913-21/12/1978) Il créa la revue des Lettres Françaises et il travaillait à l’Unesco.
- Caillou, rue du – Voir Pistolet, rue du
- Cailloux, rue des – Voir Pistolet, rue du
- Caire, rue du – Voir Noirot, boulevard Maurice
- Caisse d’Epargne, rue de la – Voir Grosse Ecritoire, rue de la
- Caitray, rue de (créée en 1837) La voie a disparu avant 1874.
- Calmette, rue Albert (La Neuvillette) (créée en 1970)
- Calmette, rue du Docteur Albert. Bactériologiste (12/07/1863-29/10/1933) Il découvrit le bacille de la tuberculose en 1904 avec Camille Guérin (22/12/1872-09/06/1961) et la mise au point définitive du vaccin BCG en 1928. Il fonda l'institut Pasteur de Saïgon. La rue est située en partie sur Bétheny.
- Calmette-Maroc, jardins familiaux
- Calvaire, chemin du
- Calvaire Demaison, rue du (ou ci-dessous) Baptisée du nom d’une famille Demaison. La rue se termine dans les champs.
Autre nom précédent.
-1-A- Calvaire Demaison, chemin du
- Camberlein, rue du Docteur Pierre -. (créée en 1965) Gynécologue, conseiller municipal (1919-25/04/1964)
- Cambien, allée Adolphe Léon (créée en 1974) Ouvrier. (12/05/1874-05/06/1954) Il a travaillé 63 ans à la verrerie BSN
- Camille, rue (disparue avant 1874) Origine du nom inconnu.
- Camus, rue Albert (créée en 1966) Écrivain dramaturge essayiste philosophe (07/11/1913-04/01/1960) Pour son discours de réception à l’Académie Française, il a dit « Ma patrie est la langue française » Mort dans un accident d'automobile. Il est question de le transférer au Panthéon.
- Camus, rue du Chanoine René Jean Victor Gustave (créée en 1966)(1893-12/05/1940) Dans cette rue est l’église Saint-Louis qu’il fonda. Il est mort pour la France en 1940. Au bout de la rue, un passage souterrain sous la voie ferrée permet de rejoindre la rue de la Maison Blanche.
- Cana, place – Voir Temple, rue du
- Cana, rue – Voir Temple, rue du
- Canada, impasse du (créée en 1929) Elle donne dans la rue du même nom.
- Canada, rue du (créée entre 1933 et 1935) Baptisée en l’honneur des soldats canadiens de la première guerre mondiale.
Un nom précédent
-1-A- Canada, lieu-dit (baptisé en 1929)
- Canal, quai du – Voir Doumer, boulevard Paul.
- Canetière, allée de la - La Neuvillette
C'est le nom d'un ruisseau qui traversait ce quartier et prenait sa source au mont Rancien.
- Canetière, rue de la – Voir Bonaparte, rue Napoléon.
- Canetière, square de la -La Neuvillette
- Caneton, rue- Voir Rogier, rue
Canetons, rue des –Voir Rogier, rue
- Cannart, place – Voir Temple, rue du
- Cannart, rue – Voir Temple, rue du
- Cannat, place – Voir Temple, rue du
- Canneton, rue – Voir Rogier, rue
- Cannetons, cul de sac et impasse des – Voir Rogier, impasse
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- Canonniers, tour des. -Donné par Brissart-Binnet comme les 3 ci-dessous, mais fait peut-être double emploi avec la tour des Maîtres de l'artillerie
-1-A- Artillerie, tour de l' -
-1-B- Rouge, tour
-1-C- Crévécoeur, tour - Surnom donné par l'archevêque qui la trouvait trop proche de son château.
- Canterbury, rue de - Baptisée en 1963
Jumelage de Reims avec la ville anglaise en 1962.
- Canterbury, square de (créé en 1963)
- Capucins, esplanade des -privée (créée en 1966)
- Capucins, impasse des – Voir Capucins, rue des
- Capucins, rue des - (nom repris-baptisée en 1883 après la prolongation de 1877) La rue était déjà connue avant 1883. l’église des Capucins y était située, bâtie en 1620 et démolie en 1790. Les bâtiments du couvent attenant ont servi à un hôpital militaire puis à une entreprise, la filature Benoist. La rue donnait dans la rue des Carmélites et on y a trouvé en 1613 les traces d’un aqueduc et d’une voie romaine allant vers le Chapitre. En 1860, les premières maisons y ont été construites. Elle a été pavée en 1862. En 1864, la rue allait de la rue de Vesle à la rue Hincmar. Le plan de 1875 montre la prolongation envisagée de la rue à cette époque entre la rue de Venise et la rue des Moulins. D’après un site officiel de la ville, une vieille légende du Moyen âge avancerait que la rue aurait été surnommée rue des Catputins, à cause de la présence de prostituées. Ce fait reste à vérifier, pas d'autre source. En 1864, on voyait encore dans la rue le puits Godard du nom d'un chanoine de 1735.
5 noms précédents.
-1-A- Capucins, impasse des - (connue au 18e siècle) Elle se terminait en cul de sac à hauteur de la rue Hincmar devant l’entrée du couvent. Cette voie a disparu avant 1874
-1-B- Capucins, rue des - baptisée en 1856 mais connue précédemment après percement de l'impasse. après percement de l’impasse. Il y a eu plusieurs prolongations au 19ème siècle. La première demandée en 1869 jusqu’à la rue de Venise, suite à la fermeture d’un passage public sans nom le long du pensionnat des Frères. La rue était d’une longueur de 1130 m .En 12/1789, au numéro 4062 on y voyait une auberge dite "du Grand Saint Jacques". Au numéro 60 (numérotation de 1791) on voyait en 04/1796 une maison dite de "la Pomme d'Orange"
-1-C- Capucins prolongée, rue des. - Pavée en 1862, elle prit le nom ci-dessous.
-1-D- Jar Notre Dame -d’après Tarbé et Jadart, en prolongation de la rue des Capucins, elle aboutit au portail du couvent. (ou ci-dessous)
-1-E- Jard Notre Dame
-1-F- Tell, rue Guillaume- (baptisée en 1794) Héros mythique suisse du 14ème siècle d’après la chronique d’Etterlin. Son existence est contestée dans son pays. On pense maintenant qu’il s’agit d’une légende d’origine nordique vieille de 2000 ans qui relate un fait similaire.
- Capucins, square des (créé en 1995)
- Caqué, rue Jean Baptiste (baptisée en 1841) Médecin (09/10/1720-16/09/1787) dans les hôpitaux militaires puis chirurgien chef de l’Hôtel-Dieu à Reims. La rue donnait rue des Poissonniers et rue de Chativelle. En 1864, elle allait de la rue Large au boulevard des Promenades.
2 rues anciennes regroupées.
-1-A- Perdue, rue (baptisée en partie) La rue semblait ne mener nulle part. En 1876, elle allait de la rue d’Oseille à la rue des Créneaux.
-2-A- Nulle Part, rue (connue au 18ème siècle) Appelée ainsi parce que, à l ‘époque, elle semblait ne mener nulle part. Le premier théâtre de Reims, appelé théâtre Regnault, fut construit à l’angle de cette rue et de la rue Buirette en 1755 qui comprenait aussi un jeu de paume. Elle existait encore au 19ème siècle.
- Caquot, allée Albert (créée en 1989) Ingénieur (01/07/1881-28/11/1976) Il était considéré comme le plus grand ingénieur français vivant. Il construisit de nombreux ponts et barrages ( 300) dont celui de Donzère-Mondragon, le plus haut du monde. Il s’intéressa aussi à l'aviation. Il inventa le ballon captif en 1915 surnommé « Saucisse « . Il construisit l'usine marémotrice de la Rance (la plus grande du monde ) et proposa en 1967 de relier la France et l'Angleterre par un pont.
- Carceris, porta – Voir Trêves, porte de même lieu que ci-dessous
- Carceris, porta – Voir Cérès, porte Même lieu que ci-dessus
- Cardeurs, rue des (créée le 26/11/2007) Dans la Zac Dauphinot, baptisée en souvenir des métiers du tissage. Elle donne rue Henri Deneux et promenade du Peignage.
- Cardinaux, rue des – Voir Créneaux, rue des
- Cardo Maximus - L'autre axe principal de la ville Gallo-romaine avec le Decumanus Maximus. C'était l'axe Est-Ouest. La voie se situait sous la rue du Barbâtre et l'avenue de Laon actuelles en passant par l'arc de Bacchus (porte Bazée) et l'arc de Mars. Le croisement avec le decumanus se faisait au Forum. Les plans de Kalmas indiquent sur le même tracé, soit Route de Reims à Boulogne soit Route de Reims à Thérouanne. Notons d'autre part que des plans parcellaires donnent des emplacements différents: un plan Kalas fait passer le Cardo et la voie Césarée au nord de la rue de l'Université et un autre plan établi après la construction de la place Royale fait passer le Cardo à l'emplacement de la rue Chanzy. (ce dernier peu vraisemblable) La via Culorum en faisait peut-être partie.
- Carmagnoles, rue des – Voir Carmélites, rue des
- Carmélites, impasse des -Elle aboutissait à la communauté du même nom. L'atlas national de 1875 englobe l'impasse et la rue sous le même vocable de rue des Carmélites. Elle ouvre actuellement 10 rue Clovis
- Carmélites, rue des - (baptisée en 1633.) - nom repris au 19ème siècle.
Du nom de la communauté du même nom qui habitait au carmel du Jard depuis 1636. Congrégation dissoute à la Révolution. Les sœurs revinrent en 1815 jusqu’en 1857, chassées par les travaux de prolongement de la rue Libergier. En 1864, la rue allait de la rue des Capucins à l'impasse des Carmélites.
2 rues anciennes regroupées
-1-A- Chapelet, rue du (ou ci-dessous) (connue au 14ème siècle) Origine, soit une origine religieuse soit du vieux français pour petit chapeau, couronne.
-1-B- Chapellet, rue du (Vu sur le plan Colin de 1665 ) Déformation du précédent
-2-A- Carmagnoles, rue des (baptisée en 1794) Vêtement ( veste courte) ou danse révolutionnaire.
- Carmes, rue des (connue au 14ème siècle) - nom repris au 19ème siècle. Rappel du Couvent des Carmes créé en 1320. L’église fut rasée à la Révolution et les autres bâtiments accueillirent les Frères des Écoles Chrétiennes jusqu’en 1835. Ils devinrent dépôt royal d’étalons puis caserne après 1848. En 1864,La rue allait de la rue du Barbâtre à la rue Neuve. Dans cette rue se trouvait une fontaine « Godinot » disparue. (voir note rue du Barbâtre)
2 rues anciennes regroupées
-1-A- Moronvillers, rue de (connue au 14ème siècle) On trouvait aussi écrit "Moronvilliers"Commune à l’est de Reims, détruite en 1915. Le nom a été repris par Pontfaverger.
-2-A- Vigueur, rue de la (baptisée en 1794)
- Carnegie, place Andrew (créée en 1924) Philanthrope américain (25/11/1835-11/08/1919) Né en Écosse, il émigra avec ses parents en 1848. Naturalisé américain. Il a fait fortune dans l’acier grâce à sa société "Carnegie Steel " qui fabriquait essentiellement des rails pour les chemins de fer en pleine expansion. Il était appelé « l’homme le plus riche du monde « Après la vente de ses usines, il a créé des Fondations qui ont bâti 2500 bibliothèques aux USA. Une de ses fondations, la Dotation Carnegie pour la Paix Universelle donna de l’argent pour la reconstruction de Reims après la première guerre mondiale . Une bibliothèque de la ville construite après la guerre a pris son nom.
Notons qu'il ne s'agit pas réellement d'une place mais d'un carrefour entre les rues de l'Université ,Voltaire et Anatole France.
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- Carnot, impasse (baptisée en 1894) Elle ouvre 6 rue Carnot.
Un nom précédent.
-1-A- Gros Rubis, ruelle du - d’après Schwingruber.
- Carnot, rue Marie François Sadi - (baptisée en 1894) Président de la République (11/08/1837-25/06/1894) A l’origine, la rue devait rendre hommage à une famille célèbre. Le prénom fut rajouté après coup, à l’occasion de l’assassinat du Président de la République par un anarchiste italien, Santi Caserio à Lyon le 24/06/1894. On y a trouvé des traces du Décumanus et de l’aqueduc romain de la Suippe que l’on retrouve aussi dans les rues Cérès, de Vesle et Saint-Jean-Césarèe. La rue a été élargie en 1809 par démolition des 2 maisons de l’entrée de la rue. Depuis la porte du Chapitre il y a de nombreuses caves moyenâgeuses situées au 2ème niveau sous les caves normales. Elles ont souvent été classées abris anti-aériens pendant la 2ème guerre mondiale. Depuis ces caves, on avait la possibilité d’aller (depuis le n°15 -souvenir personnel) sous l’ancien conservatoire de musique (actuellement une banque) et les caves du palais de justice. Les accès en sont murés maintenant (souvenir personnel) . Jusqu'en 1950, on trouvait au coin de la rue de l' Écrevisse, le music-hall "La grande Taverne" haut lieu de réjouissance des armées victorieuses pendant les 2 guerres mondiales. On y a vu des Prussiens, des Allemands , des Américains et quelques Français. Auparavant, en 1880, on y voyait un magasin d'habillement "Au Pauvre Diable" qui fut victime d'un incendie le 1er mars.
3 rues anciennes regroupées ayant porté plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A - Fourbisserie, rue de la (ou ci-dessous) C'était des ateliers d'armurerie.
-1-B- Fourberie, rue de la (ou ci-dessous) C'était soit un synonyme de tromperie soit une déformation du nom ci-dessus.
-1-C- Ormerie, rue de l’ -C’était des fabricants de harnachements .
-1-D- Écoles Notre Dame, rue des (connue au 16ème siècle)
-2-A- Hermines, rue des - (connue au 17ème siècle) C’était des fabricants des costumes de cérémonie du Chapitre qui utilisaient les fourrures de ces animaux pour les ornements. On trouvait aussi le nom la rue des Hermittes, déformation du précédent.
-2-B- Tapissiers, rue des (connue au 17ème siècle)
Au 17ème siècle, le tapissier d'origine flamande Daniel Pepersack y était installé. On trouvait dans cette rue une maison de 1380 appartenant au Chapitre et numérotée 2207 suivant la numérotation de 1766 (archives de l'archevêché) En 1864, la rue allait de la place Royale à la place du palais de justice.
-3-A- Gros Rubis, ruelle du -voir l’impasse Carnot. (baptisée en 1711) Origine : une enseigne, d’après Schwingruber.
NOTE : E. Kalas sur ses plans porte l'appellation "Route impériale de Sens à Trêves"
- Carpentier, rue Hubert -décision de 11/2010 - Située dans le quartier Croix Rouge. Homme politique local. Conseiller municipal socialiste de 1982 à 1994. Rue créée pour relier les rues du docteur Billard et lTaittinger, baptisée en 04/2011.
- Carré, rue du Général Jean Nicolas Louis (baptisée en 1894)(19/01/1770-1845) Directeur du collège militaire de La Flèche, baron d’Empire.
Un nom précédent.
-1-A- Beine, chemin de -Commune prés de Reims qui a ajouté à son nom celui de Nauroy, village détruit en 1914-1918.
- Carrée, tour (construite au 14ème siècle) Elle était située entre les rues (actuelles) Thiers et colonel Driant, d’après Loriquet et le GEACA.
3 noms concomitants.
-1-A- Rempart de Saint-Pierre le Vieil, tourelle du
-1-B- Saint-Pierre le Vieil, tourelle de
-1-C- Châtivelle, tour de -D’après Tarbé.
- Carrel, rue Alexis – Voir Kochmann, rue Serge
- Carrelettes, allée des (créée en 1958) Outil du bâtiment. En hommage aux ouvriers du bâtiment.
Un nom précédent.
-1-A- Carrelettes, lieu-dit les- Vu sur le cadastre napoléonien de 1819. Il se situait au sud-est de la porte Dieu Lumière.
- Carrouche Saint-Pierre, rue du – Voir Carrouge, rue du
- Carrouge, impasse du (ou cul de sac ) (disparue en 1924) Elle ouvrait 13 rue du Carrouge
-2 rues anciennes regroupées .
-1-A- Saint-Pierre, cul de sac de -
-1-B- K Rouge, impasse du
-1-C- Saint Pierre, impasse de - rebaptisée au 18ème siècle.
Voir note pour " impasse des Réformés".
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- Carrouge, place du – Voir Quarrouge, rue du
- Carrouge, rue du - (baptisée en 1841 - Disparue en partie en 1924) Cette rue était plus longue avant la percée du cours Langlet. En 1864, elle allait de la rue de l'arbalète à la rue des Telliers. Aux N° 7 et 20 on trouvait au début du 20ème siècle, deux maisons du 16ème siècle détruites pendant la 1ère guerre mondiale. -Même voie que ci-dessous
.4 rues anciennes regroupées.
-1-A- Quarrouge, rue du -Voie gallo-romaine sinueuse qui implique peut-être la présence d’un théâtre. Origine : quadrinium ; carrefour, une petite place à la jonction des rues Noël, de la Renfermerie, des Telliers et des Boucheries.
-1-B- Quarrouge Saint-Pierre, rue du - (ou ci-dessous)
-1-C- Carrouche Saint-Pierre, rue du (connue au 14ème siècle)
-2-A- Trois Marchands, rue des - enseigne
-3-A- Maillet Vert, rue du (connue au 16ème siècle ) Enseigne d’un tonnelier. Elle donnait rue de l’Arbalètre en 1765.
-4-A- K Rouge, rue du (connue de 1774 à 1844) En 1784, le Journal de Champagne la nommait rue du K Rouge Saint Pierre.
- Carrouge, rue du – voir Langlet, cours. –Même voie que ci-dessus.
- Carteret, boulevard Nicolas Henri - (créé en 1876, officialisé en 1885)
Notaire, maire (07/01/1807-1845/1848-29/01/1862) Ce boulevard était longé par le mur de l'octroi en 1855 qui a été démoli en 1886. En 1876, il allait de la grille Cérès à la porte Gerbert.
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- Carton, rue – voir Blavier, rue.
- Casablanca, rue de (créée entre 1912 et 1913) Ville du Maroc. La rue va de la rue Havé dans les champs. Déclassée du domaine public en 12/2008.
- Case Fayère - Voir Bréhier, rue Louis
- Caserne de Mars, rue de la - Voir Desbureaux, rue.
- Castrum Caesaris - Voir Gousset, rue du cardinal
- Catalans, allée des (créée en 1972)
- Catputins, rue des - Voir Capucins, rue des
- Cau d’Aigniel, rue du - (connue en 1328) Cette voie a disparu avant 1874. Elle était située prés de la rue d’Oignon.
- Cauras, rue André (créée en 1982) Syndicaliste (16/12/1906-06/06/1981) Fondateur du Coplorr , organisme de construction de logements sociaux.
- Cavalières, allées - (disparues) Elles étaient situées entre Fléchambault et le pont de Vesle sur l’emplacement des anciens remparts.
- Cavarrot, Allée Marie Joséphine Blanche (créée en 1974) Directrice d’école née à Reims, impasse Saint Thomas (27/01/1863-16/06/1955) Elle a eu de nombreuses activités scolaires, post-scolaires et sociales, dont « le Retour à Reims » en 1918. Pendant la 1ère guerre mondiale elle créa des " soupes populaires" avec Marie Clémence Fouriaux (voir à ce nom)
- Cavelier de la Salle, rue René Robert (créée en 1966) Explorateur (1613 – 19/03/1687) Il explora le cours inférieur du Mississippi et les terres alentour. Il baptisa la Louisiane du nom du Roi Louis XIV. Il explora les Grands Lacs à bord d’un bateau construit sur place, le » Griffon « qui coula lors d’une tempête. Il troqua des canoës aux Indiens pour poursuivre ses explorations. Il est mort assassiné.
- Cazier, rue Jules Adolphe Émile (baptisée en 1886) Bienfaiteur (24/05/1844-09/01/1878) Négociant en tissus.
4 noms précédents, concomitants ou successifs.
-1-A- Cimetière Saint-Hilaire, rue du (connue au 17ème siècle) Elle allait de la rue Saint-Hilaire au cimetière du même nom. Ce cimetière au numéro 1010 (numérotation 1766) a été vendu comme bien national en
-1-B- Cimetière des Champs, rue du -Le cimetière a été détruit en 1652.
-1-C- Immortalité, rue de l’ (baptisée en 1794)
-1-D- Cimetière Saint Hilaire, rue du - reprise du nom au 19ème siècle.
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- Cazin, rue Hubert Martin (baptisée en 1878)
Imprimeur et éditeur de livres précieux et également d'ouvrages licencieux, libraire né à Reims 7 rue Cérès (1724-05/10/1795) 2 fois embastillé ! puis ouvrier tisseur. il fut tué par un éclat de mitraille à Paris. En 1892, la rue allait du faubourg d’Épernay dans les champs. Cette voie n'a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom précédent:
-1-A- Coche, rue (créée en 1870)
Nom du donateur du terrain./
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- Ceimboing, rue de - Voir Povillon-pierrard, rue
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-Cellier, rue Jacques (baptisée en 1931)
Dessinateur (vers 1550-vers 1620) Auteur d'un plan de la ville.
Un nom précédent :
-1-A- Longpré, rue du
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- Cemboing, rue de - Voir Povillon-pierrard, rue
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- Cendrars, rue Frédéric Louis Sauser, dit Blaise (créée en 1979)
Romancier suisse (01/09/1887-21/01/1961) qui publia sa première œuvre en 1912 sous le pseudonyme ci-dessus. Engagé dans la légion étrangère pendant la 1ère guerre mondiale, il a été blessé et amputé de la main droite. Il a été naturalisé en 1916.
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- Cendres Graveleuses, lieu-dit Les
Vu sur le cadastre napoléonien de 1819. il était situé au sud de la porte Dieu-Lumière. Patois champenois: se dit de cendres faites à base de lie de vin
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- Cense des Cordeliers, rue de la - Voir Renfermerie, rue de la
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- Cent sixième régiment d'infanterie, rue du (créé en 1965)
Unité créée au 18ème siècle comme "légion de Saint Domingue"puis, régiment du Cap en 1766 pour servit sur les vaisseaux. Puis 106ème régiment d'infanterie de ligne en 1772. C'était le régiment de Chalons sur Marne, surnommé le "Régiment de Fer" il se couvrit de gloire en 1915 aux Eparges puis en 1940 à Lille et à Dunkerque. Sa devise : "Toujours debout".
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- Cent soixante et unième escadron de la RAF, rue du (créée en 10/2006)
Escadrille anglaise spécialisée dans la dépose et la reprise d' agents secrets dans la région de Reims pendant la 2ème guerre mondiale. il était équipé de Westland Lysander, avion monomoteur monoplan à aile haute à rapprocher du Max Holste Broussard apparu plus tard.
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-Cent trente deuxième régiment d'infanterie, rue du (baptisée entre 1922 et 1925)
Régiment longtemps stationné à Reims (ou ci-dessous)
Un nom concomitant
-1-A- 132ème régiment d'infanterie, avenue du - ( connue de 1925 à 1936)
Régiment créé à Reims en 1873. Devise : 1 contre 8. Il avait été précédé par le 23ème Léger. Le régiment s'est distingué pendant la 1ère guerre mondiale. il a eu pour successeur en 1939, le 132ème régiment d'infanterie de forteresse, puis en 1955 le 132ème bataillon cynophile de l'armée de terre basé maintenant à Suippes (la seule unité de ce type dans l'armée)
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- Cère, porte - Voir Cérès, porte
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- Cérèris, porta- voir Cérès, porte
- Cérès, boulevard - Voir Ay, rue d' Même voie que ci-dessous.
- Cérès, boulevard -Voir Jacquinet, rue de docteur -même voie que ci-dessus.
- Cérès,boulevard - Voir Vasnier- boulevard Henri - même voie que ci-dessus
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- Cérès, boulevard - Voir Paix, boulevard de la - même voie que ci-dessus
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- Cérès, boulevard - Voir Pasteur, boulevard - même voie que ci-dessus
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- Cérès, boulevard - Voir Ponsardin , rue -même voie que ci-dessus
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- Cérès, boulevard extérieur de - Voir Paix, boulevard de la
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- Cérès, cité (créée en 1923)
Implantation d'habitations populaires
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- Cérès, esplanade - voir Briand, place Aristide
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- Cérès, rue du faubourg - Voir Jaurès, avenue Jean
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- Cérès, place - voir Briand, place Aristide
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- Cérès, porte. C'était la 21ème porte du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle. -Certains auteurs la situe au carrefour des rue Ponsardin et Rogier actuels et non à l'emplacement de la place Aristide Briand. Elle était connue en 1246 et vue sur le plan Colin de 1665. Sur le plan d'un projet de création de l'esplanade Coquebert de 1760, la porte Cérès est placée à mi-distance de la rue des Canetons et de l'esplanade. Un projet d'arc de triomphe par Legendre de 1765 n'a pas été réalisé. On y a trouvé des traces d'un aqueduc romain. , elle a été remplacée par une grille en 1819, démontée en 1855. En 1762, la porte était surmontée d'une maison à 2 étages appartenant au sieur Dorigny. Près de cette porte, on trouvait une maison à l'enseigne du "Tonnelet" en 03/1779 (Affiches de Reims) La porte a porté plusieurs noms suivant l'époque et les auteurs. Géruzez y implante ainsi la porte de Trêves, ce qui semble peu vraisemblable, d'autant plus qu'il signale par ailleurs que la poterne de Porta Patens mène à la voie de Trêves. (voir à ce nom) Elle était aussi surnommée "Tour Oger", du nom d'un prisonnier, Oger Dannemarsch ou Ogier le Danois emprisonné pendant 7 ans.
Elle a porté plusieurs noms suivant l'époque et les auteurs.
8 noms précédents concomitants ou non.
-1-A- Cérès, porte - construite au 2ème siècle - disparue
-2-A- Chacre, porte - d'après un plan du 12ème siècle.
-2-B- Cère, porte - D'après le plan Colin de 1665. En 15845, Jean Pussot la nomme "Porte Serre"
-2-C- Chartre, porte - Une maison et une tour de ce nom étaient connues en 1380 (archives de l'archevêché)
-2-D- Chatre, porte
-2-E- Cereris, porta - en 1262.
-2-F- Chècre, porte
-2-G- Chèque, porte - Une prison y était établie
-2-H- Chécère, porte - D'après Brissart-Binet.
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-Cérès, rue - (baptisée en 1841) Appelée rue de Cérès par Tarbé
La déesse des moissons ne seraient pas concernée, le nom viendrait de Carcer, prison. On y a trouvé des traces du Décumanus et de l'aqueduc romain de la Suippe que l'on retrouve dans les rues Carnot, de Vesle et Saint Jean Césarée. Au début du 20ème siècle, on trouvait au N° 5 de la rue, le café "Louis XV" d'abord implanté place Royale , il avait été déplacé par son propriétaire dans la rue Cérès. Démoli pendant la 1ère guerre mondiale, son activité a repris en 1919 dans un baraquement en bois provisoire à l'entrée de la rue. En 1895, le café possédait une cafetière économique , précurseur des percolateurs. A l'angle de la rue Nanteuil, on pouvait voir l'hôtel ( Au long vestu) ou est né Colbert, démoli en 1914/1918. En face, en 1913, "le comptoir de l'industrie" , quincaillerie démolie en 1914, reconstruite. C'est actuellement une résidence pour personnes âgées. La façade d'origine a été conservée. Au N° 30, le bâtiment ayant appartenu à monsieur Ponsardin qui abritait avant la 1ère guerre mondiale , la poste, la chambre de commerce et la bourse. Reconstruit dans un autre style après sa destruction, il devint le siège de la seule chambre de commerce. Pendant la 2ème guerre mondiale, l'Hôtel Ponsardin hébergea l'état-major de la Luftwaffe (armée de l'air Allemande) pour l'est de la France. A l'entrée de la rue de Luxembourg, en 1920, un baraquement provisoire en bois abritait la "bijouterie Roque". En 1952, suite à des inondations par la pluie, on a découvert un 2ème étage de caves au N° 51, 2ème étage moyenâgeux avec la possibilité de passer de cave en cave jusqu'au N° 57, passage muré depuis (souvenir personnel) Ces caves étaient elles sur le tracé du souterrain dont on parle pour la place Aristide Briant ? En 1910, un kiosque à journaux était installé au bout de la rue vers la place A. Briand.
Regroupement de plusieurs rues anciennes concomitantes ou successives.
-1-A-Fourbisserie, rue de la - ( pour la 1ère partie de la rue depuis la rue Carnot)
-1-B- Hermines, rue des - continuation de la rue du même nom antérieure à la rue Carnot.
-2-A- Brouette, rue de la - pour la 1ère partie de la rue.
-3-A- Relais, rue du - pour la 1ère partie de la rue. (connue en 1526) un relais de poste s'y trouvait (ou ci-dessous)
-3-B- Relaiz, rue du - déformation du précédent.
-4-A- Coustellerie, rue de la - pour la 1ère partie de la rue (ou ci-dessous ) En fonction des métiers qui s'y trouvaient
-4-B- Coutellerie, rue de la
-4-C- Chaudronniers, rue des ( pour la 1ère partie de la rue.)
-4-D- Dauphine, rue - pour la 1ère partie de la rue. Baptisée au 18ème siècle en souvenir du passage du Dauphin à Reims. En 02/1773, on y voyait l'auberge de "Maison Rouge" au numéro 1838 et au numéro 1599, le bureau de l'octroi.
Elle regroupe les 2 voies précédentes, 2 et 3.
-5-A- Flandres, rue des - pour la 1ère partie de la rue.
-6-A- Porte Chacre, rue de la - pour la 2ème partie vers Aristide Briand. Elle était connue en 1530 (ou ci-dessous)
-6-B- Porte Chècre, rue de la
-6-C- Porte Cère, rue de la (connue au 17ème siècle) pour la 2ème partie - ou ci-dessous)
-6-D- Porte Cérès, rue de la - pour la 2ème partie.
-6-E- Grille Cérès, rue de la - baptisée en 1828 - pour la 2ème partie.
-6-F- Grille Cérès, place de la - baptisée en 1828. La grille a remplacé la porte Cérès et a été démolie à son tour en 1885. -2ème partie.
-6-G-Grille, rue de la - baptisée en 1841. -2ème partie.
-7-A- Petite Genève, rue de la - connue en 1570 - pour la 2ème partie.
Il n'y a jamais eu de Suisses dans cette rue. La Ligue voulait faire passer les habitants contestataires pour des huguenots.
NOTE : E. Kalas sur ses plans porte l'appellation " Route impériale de Sens à Trêves"
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-Cérès-Tunisie, cité - créée en 1920.
édification d'habitations populaires.
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-Cerf, rue du - Voir Grand Cerf, rue du
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- Cerf-volant, rue du
Après percement. Puis elle a disparu . il reste de nouveau l'impasse ci-dessous.
-1-A- Cerf-volant, impasse du - ou cul de sac du (connue depuis le 17ème siècle ou elle ouvrait rue de Vincenne)
Origine : une enseigne. elle ouvre 34 rue Saint Symphorien . Cette impasse ne donne accès à aucun immeuble.
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- Cerisaie, chemin rural de la.
- Cerisaie, rue de la - (créée entre 1886 et 1905) Origine : Elle bordait un verger de cerisiers. Elle est située le long du canal jusqu’au pont de Vrilly. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901. Actuellement il existe 5 voies sans nom du côté opposé au canal formant un quadrilatère et 9 impasses sans noms également.
- Cernay, chemin de – Voir Ecu, rue de l’ - Voie différente de ci-dessous
- Cernay, chemin de - Voir Crayères rue des - Voie différente de ci-dessus
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- Cernay, chemin de . Voir Cernay, rue de
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- Cernay, chemin de - Voie différente de ci-dessus. Il va de Cernay à la route de Witry à Bétheny en passant par Reims.
- Cernay, impasse de – Voir Krug, allée
- Cernay, porte de (construite en 1855) Construite pour l’octroi, détruite en 1885.
- Cernay, route de (créée en 1908) Cette voie n’était encore qu’un chemin en 1876, non pavé et sans trottoir . A noter, en mai 1918, les tranchées françaises étaient situées à 500 m à l’est du lieu-dit «La Saboterie » (tranchées Faidherbe) et elles étaient à 150 m des tranchées allemandes (tranchée Landtag) lieu-dit « Le Boqueteau » C'était l'endroit où elles étaient le plus proche l'une de l'autre.
- Cernay, rue de (baptisée en 1887) Connue en 1798 sous l'orthographe "Cernai" En 1879, la première maison de la rue a été construite au numéro 50.En 1906, un commerçant de la rue exposa les premiers paragrêles pour la protection des vignes.
Un nom précédent.
-1-A- Cernay, chemin de - Vu sur l'atlas national de 1875. Baptisé pour une partie de la voie. Voir rue de l’Ecu. Il allait de la place Ruinart de Brimont jusqu’à la voie de chemin de fer. On y a trouvé des traces de la première enceinte. En 1860, il existait seulement quelques fermes. Il y avait donc 3 chemins de Cernay à l'époque.
-1-B- Cernay, rue du faubourg - après extension. La première maison construite sur ce secteur prit ensuite le numéro 66 de la rue.
C’est aussi une commune prés de Reims.
- Cernay-Gobelins, square
- Cernay les Reims, ancien chemin de -Il va de la route de Cernay dans les champs.
- Cernay sur Cerf, rue de – Voir Forum, place du
- Cernay sur Cerf, rue du Petit – Voir Forum, place du
- Cervantès, rue Miguel de Cervantès (créée en 1980) Écrivain espagnol, romancier, poète, dramaturge (1547-1616) Il fuya en Italie en 1570. Blessé à la bataille de Lépante, il eut un bras paralysé. En 1575, il a été capturé et emprisonné à Alger. Il fit 5 tentatives d'évasion . De retour en Espagne en 1575, il se fait appeler Cervantés de Saavedra pour se démarquer d'un Cervantés de Casteras banni de la cour. Il publia ensuite son œuvre la plus connue "Don Quichotte".
- Cervaux, rue Fernand Oscar (créée en 1963) Représentant de commerce, conseiller municipal , né à Reims 11 rue du Cerf (26/09/1887-27/01/1946) Il encouragea le développement du cyclisme à Reims.
- César, boulevard Jules (baptisé avant 1876) Dit aussi boulevard de Jules César sur un plan de 1844. Il ne s’agirait pas de l’empereur romain mais du nom d’un entrepreneur rémois qui aurait donné le terrain à la ville d’après Tarbé. Son fils était installé entrepreneur en 1903 au 308 avenue de Laon. L'annuaire Matot-Braine penche pour l’empereur. En 1876, il allait de l'arc de Triomphe de Mars à la rue du Petit Bétheny. Une opération immobilière est prévue sur les anciens terrains de la Sernam (gare de marchandises SNCF) qui longent le boulevard. S'il s’agit de l’empereur, ( 100 Av. JC - 44 Av. JC, assassiné ) la tribu gauloise des Rèmes avait fait alliance avec lui. Par reconnaissance, Reims devint capitale de la Belgique Seconde.
-1-A- Champ de Mars, rue du (pour une partie, voir boulevard Jamin )
-1-B- Abelé, boulevard -Baptisé du nom d’un négociant en champagne, Abelé de Muller, François Joseph Charles Kilian. (1817-1871) associé à Van der Veken.
- César, chemin de - Voir Barbâtre, rue du
- César, impasse -d’après l’annuaire Matot-Braine. (disparue) Elle ouvrait au 18 rue César.
- César, rue - Voir Soussillon, rue
- César Poulain, rue Jules - (baptisée en 1887) Manufacturier, maire (27/01/1822-1871/1872-20/06/1886) Il renforça le réseau de distribution d’eau de la ville : 1528 concessions et 121 bornes publiques. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
2 noms précédents.
-1-A- Lemoine, rue (baptisée en 1882) Docteur (12/04/1837-24/03/1897) propriétaire et donateur du terrain.
-1-B- Poulain, rue (baptisée en 1887)
- Césarea, voie – Voir Barbâtre, rue du
- Césarée, voie – Voir Barbâtre, rue du
- Césarée, rue – Voir Saint-Jean Césarée, rue
- Césarée, rue dite Saint-Jean – Voir Saint-Jean Césarée, rue
- Cézanne, esplanade Paul (créée en 1971) Artiste peintre après avoir abandonné la carrière de juriste. (19/01/1839-22/10/1906) Impressionniste. Il a peint entre autres 80 toiles de la Montagne Sainte-Victoire. Mort d’une pneumonie.
- Chaalon, chemin de – Voir Farman, avenue
- Chabaud, rue Jean René Isidore (baptisée en 1881) Docteur (29/07/1782-01/12/1839) Décédé au cours d’une épidémie de typhus ainsi que 2 religieuses. La rue existait en 1876.
Un nom précédent.
-1-A- Poissonniers prolongée, rue des
- Chac Tie Vel rue – Voir Chativelle, rue de
- Chacre, porte – Voir Cérès, porte
- Chaillot, rue André (créée en 1991) Boulanger (1923-10/1988) Président du syndicat de la boulangerie de la Marne.
- Chainia, cul de sac et rue du – Voir Cloîtres, grande impasse des Même voie que ci-dessous
- Chainia, cul de sac du – Voir Lambert, boulevard Victor Même voie que ci-dessus.
- Chaitivelle, rue de – Voir Chativesle, rue de
- Chaix d’Est Ange, rue Gustave Louis (baptisée en 1887) Avocat (1800 (23 germinal an VIII)-14/12/1876) Député puis sénateur.
2 noms précédents.
-1-A- Romains, impasse des (pour la 2ème partie de la rue, Voir la 1ère partie place de la République) - voir aussi chemin de Ponton .
-1-B- Romains, rue des (voir place de la République) Des vestiges romains ont été trouvés lors de fouilles.
- Chalet, cité du (créée en 1920- Appellation en désuétude) Construction d’habitations populaires.
- Chalet, rue du (créée en 1887) Origine : un chalet était construit dans la rue, à l’angle de la rue de Bétheny et existait encore au début du 20ème siècle.
- Chalier, rue – Voir Desteuque, rue Eugène
- Chalon, cour et rue de – Voir Luxembourg, rue de
- Chalons, avenue et route de – Voir Farman, avenue - Même voie que ci-dessous
- Chalons, avenue de – Voir Giraud, avenue du Général - Même voie que ci-dessus.
- Chalons, cour de – Voir Luxembourg, rue de
- Chalons à Cambrai, Route royale de (créée en 1848 - disparue depuis) Elle était qualifiée de « route impériale » en 1854. Voir avenue du général Giraud.
- Chamery, chemin de – Voir Eisenhower, avenue Général
- Chamery, rue de – Voir Mathieu, rue Léon
- Chamfleury, rue de - Voir Estienne d'Orves, rue d'
- Chamia, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
- Chamice, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
- Chamie, cul de sac du – Voir Lambert, boulevard Victor.
- Chamie, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
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- Champ de Foire-Voir Saint Remi, place
- Champ de la Bellangière, tourelle du (connue au 14ème siècle. Disparue depuis) Elle était située près de la tour Serpentine. Le nom Bellangière ou Bellanger est une forme cachée de "Beranger" d'origine germanique. Voir la tour Saint-Hilaire sur l’origine des myneaux.
- Champ de Mars, rue du - (baptisée en 1841)-Même voie que ci dessous. Elle était longée par le mur de l’octroi en 1855 qui a été démoli en 1888. Elle servait de terrain de manœuvre de la garde nationale. En 1875, elle allait du carrefour avec le boulevard du Temple, prés du cimetière du nord jusqu'au chemin de Cernay. Elle s'élargissait à partir du carrefour avec la rue de la Justice.
Un nom précédent.
-1-A- Bétheny, chemin de - pour partie, l’autre partie rue Camille Lenoir.
- Champ de Mars, rue du – Voir Jamin, boulevard. – Même voie que ci-dessus.
- Champ de Mars, rue du – Voir César, boulevard Jules - Même voie que ci-dessus
- Champ de tir, échangeur du (créé en 2008) Il est situé sur l’autoroute A 24 mais payé par la ville de Reims pour donner un accès à une zone industrielle. Il donne dans l’avenue Dieudonné Coste.
- Champ de Tir, rue du (créée en 1922)
- Champ de Tir, ruelle du (créée entre 1914 et 1922) Elle existait de 1922 à 1936, puis elle est devenue rue ci-dessus. Une partie reste en ruelle et se termine en impasse. Elle allait de la rue de l’Octroi à la rue des 2 Cités.
- Champ d’Oseille, quartier du (disparu) Voir rue d’Oseille, des maraîchers y étaient installés.
- Champ Garnier, rue du – Voir Nogent, rue de
- Champ de la Vigne, lieu-dit Le (connu au 14ème siècle) En 1206, un chanoine avait obtenu l’autorisation de planter une vigne près de l’emplacement des ruines de l'amphithéâtre romain près de Saint-Thomas. A sa mort, les vignes ont été arrachées et le terrain en a pris le nom.
- Champagne, avenue de (baptisée en 1982 ou 1984)
Regroupement de 5 voies anciennes ayant porté plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A- Ânes, rue des (ou ci-dessous)
-1-B- Ânes, chemin des -Les maraîchers y passaient avec leurs ânes pour se rendre dans les champs.
-2-A- Cormontreuil, chaussée de -Voir rue Albert Thomas
-2-B- Bains, chaussée des (baptisée au 19ème siècle) En partie, pour l’autre partie, voir rue Ledru-Rollin.
-3-A- Bains-Andreaux, chemin des (ou ci-dessous) Baptisé du nom du propriétaire de l’établissement qui a été fermé en 1873.
-3-B- Bains-Andreaux, chaussée des - en partie, pour l’autre partie, voir rue de la Roseraie et rue des Bains Andreaux.
-4-A- Foulerie, lieu-dit La (connue en 1633) Une foulerie de draps y existait depuis plus de cent ans. Après démolition, c’est le lieu où a été construit le bâtiment comportant la machine élévatoire des eaux pour les 17 fontaines publiques du père Féry qui devait fournir par contrat 751 m 3 d’eau par jour, ce qu’elle n’a jamais pu faire. Ce bâtiment est toujours visible près d’une bretelle de sortie de l’autoroute.
-4-B- Château d’eau, rue du (baptisée en 1760) Indiqué "chemin" sur le plan de l'atlas national de 1875. La rue fut débaptisée à la Révolution à cause du mot « château » ! Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
-4-C- Machine Hydraulique, rue de la (baptisée en 1794)
-4-D- Château d’Eau, rue du (rebaptisée en 1892)Reprise du nom.
-5-A- Rouillat, voie du -C’est un ruisseau qui se jette dans la Vesle au sud de Reims et prend sa source prés de Chamery. En 1771, on trouvait aussi l'orthographe " Roulia" ou Rouilla.
Regroupement des voies précédentes.
- Champagne, parc de (baptisé en 2005) Il a été donné à la ville par la maison de champagne Pommery.
Un nom précédent.
-1-A- Pommery, parc construit par le marquis de Polignac dirigeant du champagne Pommery (Créé en 1909- Ouvert en 1910. ) A l'origine il était dévolu aux employés de la maison Pommery et les enfants des écoles. Puis ouvert au public en 1912. Le 23/07/1912, 23000 personnes y acclamèrent les prestations de 27 athlètes revenus des J.O. Un collège d'athlètes fut créé en 1913 avec comme directeur technique le lieutenant de vaisseau Georges Hébert (25/04/1875-02/08/1957) dont la technique « l’Hebertisme » s’opposait à la gymnastique suédoise. Cela fut fortement critiqué et appelé " boutique à muscles" . il fallut la visite du Président de la République, Poincaré, pour amener sa reconnaissance. Le collège servit d'ailleurs de lieu d'entrainement pour l'équipe de France des J.O. de 1916 qui n'eurent pas lieu. Le parc a été détruit pendant la 1ère guerre mondiale puis reconstruit. La piscine a fonctionné jusqu'zn 1977.
Note : La ville de Reims était déjà appelée " le berceau de la gymnastique " depuis 1882 car elle comportait 7 sociétés sportives et de nombreux concours nationaux s'y déroulaient.
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- Champagne, rond-point de – Voir Combattants d’AFN, place des
- Champaigne, rue Philippe de (créée en 1934) Artiste peintre flamand (26/05/1602-12/08/1674) qui travailla pour Marie de Médicis et Richelieu. Il faisait partie de l’école baroque.
- Champeaux, rue Gérard Lévesque de (créée en 1925) Vicomte de Verneuil. Diplomate (12/09/1694-09/01/1778). Il était ami des encyclopédistes.
- Champenois, allée des (créée en 1972)
- Champfleury, impasse de – Voir Lallement, rue du chanoine.
- Champfleury, rue de – Voir Estienne d’Orves, rue d’
- Champichat, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
- Champigny, rue de (créée entre 1876 et 1880) Commune prés de Reims. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Champissat, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
- Champs, rue des (La Neuvillette) Cette rue donne dans la rue Gérard Philippe.
- Champs-Élysées, rue des (connue en 1925 – disparue) Elle allait de la rue de Paris à la rue de Tinqueux.
- Change, rue au – Voir Forum, place du - Même voie que ci-dessous
- Change, rue du - (connue en 1564 - disparue en 1929.) - Même voie que ci-dessus
Cette rue est inclue dans la place du Forum.
- Changes, rue des (disparue en 1839) Des changeurs de monnaie s’y trouvaient. A rapprocher de la rue des Lombards et aussi de la rue des Monnoyeurs.
- Chanteraine, rue (rebaptisée au 19ème siècle) En 1776, les "Affiches de Reims" indiquent "Chanterenne". En 1864, on écrivait Chante-Raine.Elle était située à l’époque prés d’un étang de Chante-raine ou « canta rana » asséché en 1803 mais le nom est emprunté à la tour adjacente. (Ou ci-dessous) Elle donnait rue de Versailles d’après le plan de 1769 et allait de la rue Dieu Lumière à la rue Saint-Bernard. Voir à ce nom.
Regroupement de 3 rues
-1-A- Chantereine, rue (baptisée au 17ème siècle)
-1-B- Chante Reine, rue de - sur le plan 1768.
-2-A- Tuileries, rue des -Une fabrique de tuiles appartenant à l’abbaye de Saint-Remi y était installée. En 1794 la rue a été débaptisée car elle rappelait le palais du même nom. Ce palais existait depuis 1564. Le roi Louis XVI cédant aux parisiens est venu y habiter le 06/10/1789. Il s'en est enfuit le 10/08/1792.
-2-B- Thuilleries, rue des -Déformation du nom précédent.
-2- C- Nation, rue de la -baptisée en 1794.
- Chanteraine, tour (construite en 1425 - détruite en 1806) C'était la 35ème tour des remparts depuis la porte a Vesle. Un étang situé au pied a été asséché et remplacé par le Pré aux Moines.Origine : Le nom viendrait d’une servitude féodale : les vassaux devaient battre l’eau pour empêcher les grenouilles (raines en vieux français ) de croasser. Elle a été démolie pour la construction du canal.
- Chantereine, rue – Voir Chanteraine, rue
- Chanterenne, rue - Voir Chanteraine, rue
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- Chanvrerie, impasse de la - (créée en 1876 - disparue depuis) Elle ouvrait rue de la Chanvrerie.
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- Chanvrie, cul de sac de la - déviation du ci-dessus d'après le Journal de Champagne de 05/1772. il ouvrait au N° 775 de la rue de l'arbalètre.
- Chanvrerie, lieu-dit et rue de la – Voir Arbalète, rue de l’ - Même voie que ci-dessous
- Chanvrerie, rue de la – Voir Jacquin, rue du docteur - Même voie que ci-dessus
- Chanzy, passage (disparu) En 1892, il donnait au 55 rue Chanzy. (annuaire Matot-Braine)
- Chanzy, rue du Général Antoine Alfred Eugène- (baptisée en 1884) Gouverneur général de l’Algérie (18/03/1823-04/01/1883) puis ambassadeur en Russie. En 1925, un passage privé sans nom reliait le 1 au 51 rue Chanzy. En 1814, le maréchal Ney aurait couché au N° 26 de la rue. A côté de la porte du 63 de la rue on peut encore voir un décrottoir du 19ème siècle. Au n° 71 on pouvait voir l'hôtel renaissance de monsieur Lagoille de Courtagnon, grand Maître des Eaux et Forêts, démoli pendant la guerre de 1914/1918. En 1921, on pouvait voir de chaque côté du portail , seul élément restant, 2 baraquements provisoires en bois dont l'un était affecté au distributeur du chocolat " Turenne". Le portail se voit encore dans la cour de l'hôtel Le Vergeur.
Réunion de 4 rues antérieures.
-1-A- Abbaye Saint-Denis, rue de l’ (créée en 1754) Cette abbaye a été créée en 885. Les bâtiments actuels datent de 1738. L’église a été démolie à la Révolution et les autres bâtiments ont servi de Collège Secondaire, caserne pour les troupes russes en 1814, Grand Séminaire puis musée des Beaux-Arts actuellement que l’on parle de déménager sur le Boulingrin. (Etude en cours) L'abbaye fut vendue au titre des Biens Nationaux en 04/1797, composée d'un terrein (sic) entouré de murs et avec les matériaux démolis. On suggérait à l'acquéreur éventuel de percer une rue de la rue des Capucins à la face de l'église Notre Dame.
-1-B- Saint-Denis, rue (baptisée avant 1765) Elle allait de la porte aux Ferrons à la place des Loges Coquault d’après le plan Legendre. Dans cette rue était construit l’hôpital des cancérés du chanoine Godinot qui faisait parti de l’hôpital des scrofuleux de l’hôtel Dieu, dit hôpital Saint-Louis . En 1543, en bas de la rue, on voyait la "maison aux 3 visages" appartenant à Girrard de Castille. En 06/1788, on trouvait l' "Hôtel des Mécontens".
-2-A- Bourg Saint-Denis, rue du - baptisée en partie, voir rue Brûlée. Dans cette rue, habitait Aubéry le Ferron. A-t’il donné son nom à la porte aux Ferrons ? En 1872, le numéro 46 de cette rue est devenu le numéro 115. Au 13ème siècle, la rue n'était pas protégée par le rempart. En 12/1775, on y voyait une maison dite du "Grand Commun" En 1864, on y voyait une maison à l'enseigne de l'Ours du 16ème siècle.
-2-B- Réunion, rue de la - (Voir rue Brûlée) (baptisée en 1794)
-2-C- Bourg Saint Denis, rue du ( rebaptisée au 19ème siècle )
-3-A- Artois, rue du Comte d’ – (connue au 17ème siècle) Cette rue aurait précédé la rue Libergier d'après J.Y. Sureau.
-3-B- Age Viril, rue de l’ -d’après Tarbé (baptisée en 1794) Cette rue aurait précédé la rue Libergier d’après J-Y Sureau.
-3-C- Artois, rue du comte d’ -de nouveau - d’après Tarbé.
-4-A- Rousseau, rue (baptisée en 1794)
-4-B- Saint-Denis , rue ( nom repris en 1834)
-5-A- Bourg Saint Denis, rue du - nom repris en 1841. On pouvait y voir 2 maisons de 1481 numérotées 2378 et 3926 d'après la numérotation de 1766 (archives de l'Archevêché) En 1778, on voyait au numéro 2361 une maison dite "La Paille" En 1870, on pouvait y voir l'hôtel de l'Arbre d'Or à l'angle avec la rue Sainte Catherine. En 1864, la rue allait de la rue de Vesle à la rue Neuve.
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Chapeaux, impasse aux - (créé en 1876 - disparue après la première guerre mondiale.) Elle ouvrait 30 place des Marchés et rue de la Hure. Un chapelier y faisait sécher des peaux et des feutres.
Un nom concomitant :
-1-A- Chapeaux, ruelle aux
- Chapelains, rue des - nom repris au 19ème siècle. Origine : changement de nom de la rue quand les Clercs devinrent chapelains de Saint-Pierre le Vieil. Elle est située entre la rue du Cadran Saint-Pierre et la rue des Elus. Elle était prolongée par la rue de la Salle avant 1914.
3 voies précédentes.
-1-A- Meules, ruelle des -C’était l’endroit ou étaient stockées les meules de foin ou de blé.
-2-A- Ospital, rue de l’ (connue en 1328) Pour rue de l’hôpital.
-2-B- Clercs de Saint-Pierre, rue des -La tradition veut que Saint Remi y ait habité et y ait reçu Clovis.
-3-A- Chapelains, rue des
-3-A- Vertus, rue des (baptisée en 1794)
- Chapelais, tour -. (disparue) Elle était située près de la porte Mars. Un cordier de ce nom y habitait. Brissart-Binet lui attribuait aussi le nom de "tour des Chapelais"
- Chapelet, rue du – Voir Carmélites, rue des
- Chapelins, rue des – Voir Salle, rue de la
- Chapelle, rue de la – Voir Bachelier, rue
- Chapellet, rue du – Voir Carmélites, rue des
- Chapitre, ban du (connu en 1358 - disparu depuis)
- Chapitre, passage du (créé en 1531) La porte (vantaux) est au musée des Beaux-Arts. Le bâtiment et le passage ont été reculés en 1875 pour l’alignement de la rue Carnot. Détruite en 1914/1918 puis reconstruite.
- Chapitre, place du (baptisée en 1841) Créée au 16ème siècle . Le quartier du Chapitre était plus important à cette époque que maintenant. il allait de la rue du Cloître jusqu'à la rue du Trésor. il comportait 2 places plus grandes que l'actuelle. Entre ces 2 places, on pouvait voir l'église Saint Michel qui servit successivement d'entrepôt, de magasin puis d'habitation. détruite pendant la première guerre mondiale , on peut encore en voir des restes ( la porte ) dans la cour intérieure du numéro 19 de la place. Dans la première place en venant de la rue Carnot actuelle, on pouvait voir, au milieu, la prison du Chapitre. Les accés principaux se faisaient par la porte dite du Chapitre construite en 1531, détruite pendant la 1ère guerre mondiale et reconstruite à l'identique. Le passage franchit un porche dont on peut voir les vantaux dans la cour du musée des Beaux Arts. Le 2ème accés était rue Robert de Coucy . Un marché alimentaire s'était établi en 1836. Au début du 20ème siècle , on pouvait voir une vespasienne sur le terre-plein ou se trouve actuellement un transformateur. On y voyait également les bureaux des "Chemins de fer de l'Est" les sous sols comportent de nombreuses caves et des souterrains allant vers le palais de justice actuel. en particulier, au numéro 15 rue Carnot donnant à l'arrière sur la place, il existe une cave voutée de 2ème niveau avec un souterrain menant en face sous l'ancien conservatoire de musique . Pour la petite histoire, cette cave a servi d'abri anti-aérien public pendant la 2ème guerre mondiale ( souvenir personnel ) Une affichette jaune à côté de la porte le signalant était encore visible dans les années 1960. (information déjà donnée pour la rue Carnot )
4 noms précédents.
-1-A- Notre Dame, cour (connue au 16ème siècle) On pouvait y voir 3 maisons de 1545, appartenant au Chapitre et numérotées 2196, 2197, 2198 suivant la numérotation de 1766; maisons disparues à une date indéterminées (archives de l'archevêché)
-1-B- Ecoles Notre Dame, rue des- (connue au 16ème siècle)
-1-C- Chapitre, cour du (connue au 18ème siècle)
-1-D- Chapitre, cour du ci-devant (baptisée en 1789) -
-1-E- Abondance, cour d’ (baptisée en 1794)
-1-F- Chapitre, cour du - nom repris au 19ème siècle. Pour mémoire, 2 maisons importantes du Chapitre étaient le bâtiment du Trésorier, donnant sur la rue du Trésor actuel et dont les ruines ont servi pour l'édification de l'office de tourisme actuel et la maison de la Chrétienté construite en 1615 et détruite en 1914/1918. Certains auteurs dénomment la première des cours intérieure : Cloître Saint Michel en rappel de l'église du même nom.
- Chapitre, rue du - Voir Carnot, rue
- Chapitre, rue du – Voir Trésor, rue du
- Chapitre Saint-Pierre, rue du – Voir Cadran Saint-Pierre, rue du
- Chappaz, rue du Docteur Gaston Jean - (créée en 1972) Gynécologue, adjoint au maire (18/03/1899-05/12/1967) Il mit au monde plus de 10000 petits rémois. Il avait une renommée internationale, ses techniques étaient utilisées jusqu’au Japon. La rue part et arrive en boucle sur la rue J.B. Clément.
- Chappelet, rue du – Voir Carmélites, rue des
- Chappuis, rue – Voir Marzilly, rue de
- Charbon de terre, port au (créé en 1854- disparu depuis) Le port existe toujours, sous le nom de Vieux Port sur la rive ouest du canal.
- Charbonneaux, rue Firmin Alphonse (créée en 1909) Industriel verrier (26/07/1830-18/08/1899) Bienfaiteur. Il avait fondé l'entreprise avec son frère et au temps de Napoléon III, c'était la plus importante verrerie d'Europe.
- Charbonneaux, rue Georges Edmond Victor -(La Neuvillette) (créée en 1966) - Voie différente de ci-dessous. Fondateur du « Foyer Rémois » né à Reims, 65 rue du Barbâtre (21/09/1865-13/03/1933) qui fut la première cité-jardin de France en 1912.
- Charbonneaux, rue Georges (créée en 1955) - Voie différente de ci-dessus.
- Charbonneaux, rue du Colonel Pol (ou Paul) (créée en 1961)(26/10/1909-17/07/1954) Né à Reims, 21 rue du Petit Four. En 1940, il rejoignit les FFL ( Forces Françaises Libres) en Angleterre. Aux USA, son avion prit feu au décollage. Il est décédé de ses blessures.
- Charbonniers, chemin des (créé entre 1886 et 1905 - Disparu depuis)
- Charbonniers, rue des -C’est le chemin qu’empruntaient les charbonniers de la montagne de Reims. La rue allait de la rue de Champfleury dans les champs. Actuellement, elle va de la rue du docteur Roux à la rue d’Estienne D’Orves. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
Un nom précédent.
-1-A- Chemin Vert, rue du (en partie) En 1897 elle était encore en pleins champs et elle était engazonnée. Baptisée par opposition aux « chemins blancs ou pavés »
- Chardonneret, allée du (créée entre 1922 et 1925) Elle est située dans le Foyer Rémois.
- Charité, place de la – Voir Suzanne, place
- Charité des filles, rue de la – Voir Sarrail, rue du Général
- Charles X, rue – Voir Colbert, rue
- Charleville, rue de – Voir Pozzi, rue du docteur
- Charlier, impasse – Voir Daubenton, rue
- Charlier, rue Pierre (créée en 1876)(14/09/1804-19/12/1868) Fondateur de l’orphelinat de Bethléem qui recueillait les enfants abandonnés, des orphelins et de jeunes délinquants. Les enfants étaient surnommés « les enfants Charlier » En 1857, les autorités départementales octroyèrent une bourse décernèe par Napoléon premier et restée non utilisée. de ce fait les enfants reçurent aussi le surnom de "Boursiers-Napoléon" La rue donnait dans la Noue Saint-Remi.
Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Charmilles, allée des (créée en 1969)
- Charonnerie, lieu-dit La - prés de la route de Cormontreuil. Voir aussi le lieu-dit La Charonnière. (voir rue Gonzale)
- Charonnière, lieu-dit et rue de la - Voir Gonzalle, rue. Même voie que ci-dessous
- Charonnière, lieu-dit La – Voir Charonnerie, lieu-dit La - Même voie que ci-dessus
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- Charonnière, lieu-dit La - Voir République, place de la Voie différente de ci-dessus
- Charpentier, rue Léopold (créée en 1934) Instituteur (22/06/1798-18/08/1876) Directeur de l’école rue de Thillois, il la fit reconnaître comme première école publique de Reims.
- Chartre, porte – Voir Cérès, porte
- Chaslier, rue – voir Desteuque, rue Eugène
- Chaslons, chemin de – Voir Farman, avenue
- Chasse, rue de la – Voir Desteuque, rue Eugène
- Chasserie, rue de – Voir Clovis, rue - Même voie que ci-dessous
- Chasserie, rue de la – Voir Folle Peine, rue - Même voie que ci-dessus
- Chasteau, rue du – Voir Henri IV, rue
- Chastel, rue du – Voir Chatelet, rue du
- Chastel de Fléchambault, rue du – Voir Fléchambault, esplanade
- Chastelain (s), rue du (ou des) – Voir Salle, rue de la
- Chasteté, place de la – Voir Suzanne, place
- Chat-pelé, rue du - (créée en 1632 - disparue depuis) Origine : Une enseigne ou déformation de Chapelet.
- Château, rue du – Voir Henri IV, rue
- Château d’eau, passerelle du (disparue)
- Château d’Eau, rue du – Voir Champagne, avenue de
- Château de Mars, place du – Voir Château de Porte Mars, place du
- Château de Porte Mars, place du (Elle existait en 1783 -rebaptisée en 1880 - disparue depuis) Elle était située à l’emplacement du château des archevêques qui a existé de 1228 à 1595. Il était situé derrière l'arc de Mars. Il a été démoli en 3 jours par ordre de Henri IV apporté par Raulin Cochinard. En 06/1783, on y voyait une auberge dite du "Cœur Navré" (blessé) d'après les Affiches de Reims. En 1798, on disait: le ci-devant chateau de porte Mars. Elle allait de la rue de Mars à la rue Saint Guillaume.
5 noms précédents.
-1-A- Place ou estoit le château (d’après le plan Colin de 1665)
-1-B- Réserve, place de la (baptisée en 1794) Depuis la fin du 16ème siècle. on y entreposait l'artillerie de la ville.
-1-C- Porte-Mars, place de la
-1-D- Jovin, rue Flavius (baptisée en 1849) Général romain né à Reims Il était également en poste à Reims. (310-370) Dit aussi Saint Jovin d’après Flodoart. Il fit édifier une église Saint-Agricola, du nom de son parent mort martyr.
-1-D- Château de Mars, place du (baptisée en 1876)
-1-E- Mars, place de
-1-F-Jardinet- rue du
- Chateau de Porte Mars, rue du -Vie Rémoise de 1873.
- Château de Vesle, rue du – Voir Chativesle, rue de
- Chateaubriand, rue François René, vicomte de. (04/09/1768-04/07/1848) Écrivain et homme politique. A la Révolution, il s’exila en Amérique du Nord. Il revint en 1792 puis partit à l'armée des émigrés. Blessé, il se réfugia à Londres. Royaliste, il tint de nombreux postes d'ambassadeur ou de ministre. En 1822, son cuisinier inventa la cuisson du boeuf qui porte son nom. Il quitta la vie politique en 1830. Il a écrit les « Mémoires d' Outre Tombe » Sa tombe est bâtie sur un îlot de la baie de Saint-Malo, le Grand Bé.
- Châtelet, rue du - nom repris au 19ème siècle
Baptisée du nom d’une maison, siège du châtelain de Saint-Remi qui était chargé de la police, du guet, de la perception et de la voirie. En 1876 la rue allait de la rue des Minimes à la rue des Grands Murs-Saint Remi.
3 noms précédents.
-1-A- Chastel, rue du (connue au 15ème siècle) C’était un petit château fort ou on rendait la justice.
-1-B- Anges, rue des - pour partie d’après Tarbé. Origine : un bas-relief. Elle donnait rue des Tuileries près de la place de Lenoncourt.
-1-C- Chatelet, rue du (d'aprés un plan de 1769 )
-1-C- Solon, rue de (baptisée en 1794) Homme d’état grec. (-640 / -558)
- Chatelet, rue du – Voir Lenoncourt, place
- Chatelain, rue du – voir Salle, rue de la
- Chatelains, rue des – Voir Salle, rue de la
- Chatelin, rue des – Voir Salle, rue de la
- Chatelin, allée Léonie Marie Jeanne (créée en 2002) Infirmière , elle s'occupa d'oeuvres sociales. Bienfaitrice née à Reims, 60 rue Libergier (01/01/1892-08/08/1981)
- Chatelus, parc (créé en 2008) Il donne dans la rue de Neufchatel. C’était également le nom d’une ancienne caserne créée vers 1883, du nom de Benoît Charles Antoine Chatelus (13/07/1813-02/03/1866) ingénieur spécialisé dans les mines puis les chemins de fer en France puis en Espagne. Le nom du parc pourrait venir aussi du capitaine Simon de Chatellus (?) (1907 - tué dans son char en 1940 )
- Chatellenies, allée des - Voir Fléchambeau, porte
- Chativelle, rue de – voir Chativesle, rue de
- Chativesle, rue de (ou ci-dessous) (connue au 13e siècle) Origine :Plusieurs possibilités, château de la Vesle ou château appartenant à Ivelle (Evêque de 1244 à 1250) qui était un château destiné à abriter les maraîchers du quartier. Ce pourrait être aussi un dérivé de Chétif, proposé par Jadart et Schwingruber ou chétive d’après l’annuaire Matot-Braine de 1912 ou un dérivé de « cheoit-y-vesle », car la rivière y arrivait. Marlot appelle ce quartier :Vicus Ivellanum ou Vicus Ivellani Castri. En 1770, on voyait une maison dite "La Grande Allée" Au 18ème siècle, sur les remparts au bout de la rue était implanté le moulin de Serval.
En 1864, la rue allait de la rue des Courtures au boulevard des Promenades
5 noms précédents.
- 1-A- Chetivelle, rue de - En 1333.
-1-B- Chac-Tie-Vel rue (d’après le plan Colin de 1665)
-1-C- Chativelle, rue de (ou ci-dessous) (D’après le plan de 1775)
-1-D- Chaitivelle, rue de
-1-E- Château de Vesle, rue du -d’après Tarbé.
- Châtivelle, tour – Voir Carrée, tour
- Chatre, porte - Voir Cérès, porte
- Chats, impasse aux - (créée en 1876 - disparue aprés la 1ère guerre mondiale) Origine : une enseigne -Elle ouvrait au 18 place des Marchés.
- Chats, ruelle aux – Voir Forum, place du
- Catton, rue Marcel Jean Maurice (créée en 1971) Résistant, imprimeur et distributeur de tracts ( 19/12/1919 - fusillé le 24/12/1941) Il a eu l'honneur discutable d'être le premier résistant fusillé de Reims.
- Chaudes Têtes, lieu-dit et rue – Voir Machet, rue.
- Chaudronniers, rue des – Voir Cérès, rue
- Chaufferie, impasse de la (créée en 1977) Après l’installation du chauffage urbain du quartier Croix Rouge.
- Chaufferie, rond-point de la – Voir Combattants d’AFN, place des
- Chauvet, rue Edmond Eugène Ernest (créée en 1978) Artiste peintre et sculpteur (29/01/1903-20/12/1968) Né à Reims, 4 chaussée Bocquaine.
- Chavailliaud, rue Léon - (baptisée en 1925) Statuaire (29/01/1859-20/12/1919) Né à Reims, 47 rue de Chativelle. Il travailla pendant 15 ans en Angleterre. De nombreuses maisons de Reims lui doivent des cariatides. Malheureusement, beaucoup ont été détruites pendant la première guerre mondiale. Une plaque de la rue indique » Chavaillaud. »
Un nom précédent.
-1-A- Boucher de Perthes, rue - Pour une partie de la rue. Elle était située entre la rue de Cernay et la rue de Thionville.
- Chécère, porte – Voir Cérès, porte
- Chècre, porte – Voir Cérès, porte
- Chemin de Fer, boulevard du – Voir Joffre, boulevard - Même voie que ci-dessous.
- Chemin de Fer, boulevard du – Voir Roederer, boulevard - Même voie que ci-dessus.
- Chemin de Fer, impasse du - D'après "L’Industriel de la Champagne" du 28/01/1853. Il prenait à l'époque au 20 faubourg d'Epernay devenu rue Martin Peller.
- Chemin de Fer, rue du – Voir Thiers, rue
- Chemin de Ronde, chemin du – Voir Dorigny, rue
- Chemin de ronde extérieur - En 1856, il allait du faubourg Cérès à la place Saint Nicaise.
- Chemin de ronde intérieur - idem ci-dessus. Ces 2 chemins étaient situés de part et d'autre du rempart.
- Chemin Noir, chemin rural dit du (disparu) Baptisé ainsi à cause de la couleur du sol recouvert de mâchefer.
- Chemin Noir, rue du – Voir Mansuy, rue Marie Adélaïde.
- Chemin Rural N° 11- Voir Barthélemy, rue Anatole de
- Chemin rural numéro 26 - pour sa partie inclue dans la ville.
- Chemin Vert, cité du (créée en 1921- nom en désuétude) Cité jardin avec l’édification d’habitations populaires. Dans cette cité a été construite l’église Saint-Nicaise décorée par Maurice Denis et René Lalique. En 1870, sur l"emplacement, on avait déjà créé des habitations bon marché en carreau de terre.
- Chemin Vert, rue du (créée en 1894) Voir ci-dessous pour partie Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
- Chemin Vert, rue du – Voir Charbonniers, rue des - Voir ci-dessus pour partie
- Chenay, rue de -. (créée en 1894) Commune des environs de Reims. La rue se termine en impasse. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
Un nom précédent.
-1-A- Cité, rue de la -Elle était située dans la cité du Vieux Coq.
- Chenia, rue – Voir Cloîtres, grande Impasse des
- Chénier, rue André Marie de Chénier, dit André (créée en 1979) Poète, journaliste (30/10/1762-25/07/1794) Arrêté pour avoir participé au complot destiné à faire éviter la guillotine à Louis XVI, il a été guillotiné.
- Chenix, rue – Voir Cloîtres, grande impasse des
- Chèque, porte – Voir Cérès, porte
- Cherbourg, rue de (créée en 1930) Cette ville donna de l’argent pour la reconstruction de la ville après la première guerre mondiale.
- Chetivelle, rue de - Voir Chativelle, rue de
- Cheval, allée Marcel Jules (créée en 1971) Ajusteur SNCF, résistant, arrêté pour sabotages de locomotives (20/01/1913- fusillé le 06/06/1944)
- Cheval Blanc, rue du – Voir Legendre, rue
- Chevigné, rue du comte Louis Marie Joseph de (baptisée en 1887) Poète (30/01/1793-19/11/1876) qui édita les « Comtes Rémois » Sa belle-mère, la veuve Clicquot-Ponsardin racheta 2 éditions trouvées trop licencieuses pour l’époque. Il fonda la Société des Amis des Arts. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom précédent.
-1-A- Bouquet, rue -Baptisée du nom de Bouquet Charles, agriculteur (1807-1879) sur les terres de qui a été établie cette rue.
- Chèvre, rue de la – Voir Trois Raisinets, rue des
- Chèvre-Voie, rue de – Voir Macquart, rue
- Chèvre-Voye, rue de – Voir Macquart, rue
- Chèvrefeuilles, allée des (créée entre 1922 et 1925) Elle est située dans le Foyer Rémois.
- Chevrier, place du Docteur Henri Marie Antoine (baptisée en 1927)
2 noms précédents.
-1-A- Saint-André, place - Apôtre. (baptisée en 1858) En 1914, une fontaine était établie sur la place qui était bordée par l'usine "Clément". En 1914, on y voyait la fondation " Victor Rogelet"
-1-B- Marché Saint-André, place du (baptisée en 1876) - A l'angle de la rue Raymond Guyot. Le marché a été créé le 5 janvier 1865.
- Chevrier, square du Docteur Henri. Conseiller municipal (10/09/1862-28/10/1920)
- Cheysson, passage Emile – Voir Gény, rue Raoul
- Cheysson, rue Emile (créée en 1925) Economiste (18/05/1836-07/02/1910) Inspecteur Général des Ponts et Chaussées. Il s’intéressa à la statistique géométrique. Il est mort accidentellement, heurté par un traîneau en Suisse.
- Chezel, rue Clovis Désiré (baptisée en 1941) Ouvrier tisseur, adjoint au maire (24/06/1862-06/03/1941)
Un nom précédent.
-1-A- Fléchambault, rue du faubourg de (créée en 1834)
- Chicane, rue de la – Voir Concorde, rue de la
- Chiévre, rue de la – Voir Trois Raisinets, rue des
- Chigny, rue de- (créée en 1892) Commune de la montagne de Reims. (Chigny les Roses)
- Chili, boulevard du (créé en 1930) Les habitations de ce boulevard ont été financées par un groupe chilien.
- Chopin, allée Frédéric (Fryderick Francizek Chopin) (créée en 1961) Voie différente de ci-dessous. Compositeur polonais (01/03/1810-17/10/1849) Date plus probable de naissance : 22/02/1810. Les Polonais écrivent parfois son nom « Szopen » Son père était français venu en Pologne en 1787. Il tint son premier concert à 7 ans. Il a souvent été comparé à Mozart. Exilé politique d’abord à Vienne, incompris du public, il est parti pour Paris en 1831. Il était devenu le compagnon de George Sand. Tuberculeux et phtisique.
- Chopin, allée Frédéric (La Neuvillette) (nom conservé en 1970) Voie différente de ci-dessus.
- Chrétien de Troyes, rue (créée en 1985) Poète (vers 1130- vers 1183) Premier grand romancier français de romans de chevalerie écrits en dialecte de Troyes. Initiateur de la Littérature Courtoise. Sa plus grande œuvre « Le Roman de la Table Ronde » Suivant les sources, il devait être héraut d’arme ou clerc.
- Cignes, tour des – Voir Madeleine, tour de la
- Cigognes, allée des (créée en 1936) Rappel peut-être le nom de l’escadrille célèbre de 1914-1918 avec laquelle a opéré Guynemer. L'allée est privatisée au bénéfice d'une société HLM en 06/2010.
- Cimetière, rue du – Voir Tilleuls, rue des
- Cimetière de l’avenue de Laon, rue du (créée en 1899) Ou rue du Cimetière (tout court d’après le plan Blay en 1982)
- Cimetière de la Madeleine, cour du (disparue en 1914)
- Cimetière de la Magdelaine, (ou Madelaine) rue du – Voir Bacquenois, rue
- Cimetière des Champs, rue du – Voir Cazier, rue
-Cimetière des Huguenots, rue du – Voir Ormesson, rue d’ -Doute sur l’emplacement.
- Cimetière pour Protestants et Comédiens – Voir Arquebuse, rue de l’ -Doute sur l’emplacement.
- Cimetière Saint-Denis, rue du – Voir Hincmar, rue
- Cimetière Saint-Hilaire, rue du – Voir Cazier, rue Emile
- Cimetière Saint-Pierre, rue du – Voir Noël, rue Nicolas
- Cirque, chaussée du– Voir Bir Hakeim, rue de
- Cité, rue de la – Voir Chenay, rue de
- Clair, place René : René Lucien Chomette, dit (créée en 1990) Cinéaste (11/11/1898-15/03/1981) Il avait été mobilisé en 1917 comme ambulancier. En 1918, il devint journaliste sous le pseudonyme de René Després. Il écrivit des paroles de chanson pour la chanteuse Damia sous le nom de Danceny. Il devint acteur sous le pseudonyme de René Clair puis réalisateur en 1923. Il s’exila en Amérique pendant la 2ème guerre mondiale.
- Clair Marais, quartier - Voir Clairmarais, quartier
- Clairfontaine, jardin de. (créé en 1930) Il est situé dans la cité du Chemin Vert, rue Lanson. On y trouve une fontaine créée par Karbowski.
- Clairmarais, galerie (commerciale privée.) Elle relie la rue de Vesle à la rue de Thillois. Elle possède 2 branches.
- Clairmarais, passerelle (ordonnée en 11/2007) Créée pour relier le quartier Clairmarais avec le centre, au-dessus des voies ferrées. Ce projet a été annulé le 18 novembre 2009 pour cause de budget. On étudie une prolongation des tunnels existant sous les voies pour une prolongation extérieure.
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- Clairmarais, quartier
Celons les époques, on trouvait les orthographes Clémaré, Clermarets (1424) Clermaret, Clairmaret, Clair Marais ou encore Clesmarestz (jean Pussot - 1602) On y a découvert des sépultures gallo-romaines, une mosaïque. Les terres étaient cultivées depuis le 13ème siècle. Une abbaye cistercienne y avait été construite en 1226 au croisement des rues actuelles de Trianon et de Saint Brice. Le cartulaire de l'abbaye de Clairvaux indique la vente de plusieurs terrains en 1222 pour permettre cette édification. L'un d'eux était situé au lieu-dit Ad Maitinos. Au 18ème siècle, on trouvait dans le quartier un jeu de battoir (d'après Geruzez) Il s'agissait d'un dérivé du jeu de paume avec une raquette pleine en bois. Dans ce quartier en 1880, on y votait encore une ferme, la ferme Leriche.
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-Clairmarais, rue de (baptisée entre 1856 et 1876)
Origine : le nom viendrait du latin Clarus Mariscus ou Claro Marisco en 1259. Un premier couvent y a été fondé par Saint Remi au 6ème siècle. Implantation d'un couvent des béguines de Clairmarais en 1371. L'abbesse s'appelait Marguerite la Pacarde. en 1733, il y avait un jardin à la française sur l'emplacement. (ou ci-dessous) Cette voie n'a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom concomitant.
-1-A- Clairmaret, lieu-dit - d'après le plan Colin de 1665.
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- Clairmaret, lieu-dit- voir Clairmarais, rue de
- Claudel, place Paul (baptisée en 1963)
Diplomate, dramaturge, poète (06/08/1868-23/02/1955) Consul à Prague, Francfort, Hambourg. ambassadeur à Tokyo, Washington, Bruxelles. il s'opposa au régime de Vichy.
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- Clauzets, rue des (créée en 1932)
Un nom précédent
-1-A- Clauzets, lieu-dit des (ou Clausets) toujours existant. Il est situé sur l'emplacement de la zone industrielle nord-est près de la route de Witry.
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- Clef, rue de la - Voir Langlet, cours
- Clémaré, quartier - Voir Clairmarais, quartier
- Clemarets, quartier - Voir Clairmarais, quartier
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- Clématites, allée des (créée entre 1922 et 1925)
elle est située dans le Foyer rémois.
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- Clemenceau, avenue Georges Benjamin (créée en 1930)
Homme politique (12/09/1841- 24/11/1929) Plusieurs fois ministre, chef du gouvernement pendant la première guerre mondiale. il était intransigeant et de ce fait surnommé "Briseur de grèves" "Premier flic de france" "Le Tigre" "Père la Victoire" ou "Perd la victoire" car il n'a pas voulu annexer la Sarre. Le 11/02/1919, il a été blessé dans un attentat. lors d'une visite sur le front au fort de la pompelle, un soldat anonyme lui a remis un bouquet de fleurs qu'il a gardé jusqu'à sa mort; il a été enterré avec. Dans une copropriété près du lycée situé sur cette avenue, on peut trouver les restes de la porte des Tisserands, ancienne entrée de la manufacture Gabreau-Galloteau en 1870. elle avait été ensuite l'entrée des usines automobiles Brazier puis du Creps en 1941. la copropriété l'a fait restaurer en 2007. Le classement en monument historique a été refusé.
2 noms précédents :
-1-A- Suippe, rue de la
Rivière à l'est de reims
-1-B- Suippe, avenue de la (baptisée en 1887)
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- Clément, rue Jean Baptiste (créée en 1925)
Chansonnier socialiste (30/05/1836-26/02/1903) Son oeuvre la plus connue est le "Temps des cerises"
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- Clercs de Saint Pierre, rue des - voir Chapelains, rue des
- Clermarais, chemin de (créé en 1749)
Il existait encore au 19ème siècle et était la continuité du boulevard du Chemin de Fer d'après Loriquet.
- Clermaret, quartier - Voir Clairmarais, quartier
- Clermaretz, quartier - Voir Clairmarais, quartier
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- Clichet, rue du (créée en 1564- disparue)
elle était située près du vieil Hôtel-Dieu.
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- Clicquot-Blervache, fontaine (prévue au 18ème siècle)
Projet non réalisé.
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- Clicquot-Blervache, rue Simon Vivès- (baptisée en 1841) En 1775, Géruzez (et le Journal de la Marne) l'appellent Clicquot de Blervache. Blervache était le nom de sa femme.
Economiste (07/05/1723-31/07/1796) Inspecteur général des Manufactures et du Commerce, directeur de la monnaie de Reims. il projeta la navigation sur la Vesle. En 1864, la rue allait du faubourg Cérès à la rue de Bétheny.
2 noms précédents.
-1-A- Joly, cour. Elle prolongeait la rue du Sac. On trouvait aussi cour Jolie ou dans les affiches de Reims " anciennement dite Julli"
-1-B- Joly, rue - Lorsque la cour a été perçée.
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- Clignet, rond-point Georges (créée en 1998) Adjoint au maire (02/02/1897-28/02/1980) Directeur du Foyer Rémois, organisme d’HLM qui a de nombreux immeubles dans le quartier. Le plan IGN indique « Georges Clichet « à tort. Situé au carrefour de la rue Bertrand de Mun et de l’avenue de l’Europe.
- Cloche-Perse, rue de la – Voir Arbalète, rue de l’
- Cloître, rue du -Le cloître était le domaine dépendant du Chapitre. On y a trouvé des traces de thermes romains. En 1899, on pouvait y voir "l'auberge du Pélican" datant du moyen-age. En 1909, la pétition pour rebaptiser cette rue en rue Francisco Ferrer, écrivain libre penseur espagnol ( 1859 -fusillé en 1909) a été rejeté par le conseil municipal. En 1864, la rue allait de la place Royale à la rue du Cardinal de lorraine.
2 noms précédents.
-1-A- Cloître Notre Dame, rue du
-1-B- Commerce, rue du (baptisée en 1794)
- Cloître Notre Dame, rue du – Voir Cloître, rue du
- Cloître Saint Michel - Voir Chapitre, place du
- Cloître Saint-Thimothée, rue du – Voir Aubert, rue François.
- Cloîtres, grande impasse des (disparue) En 1882, elle ouvrait 14 rue Aubert d’après l’annuaire Matot Braine.
Plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A- Chainia, cul de sac du
-1-B- Chenia, rue (ou ci-dessous) En 1864. Après percement.
-1-C- Chainia, rue (ou ci-dessous) Origine : Le nom viendrait des locutions : chaine y a , ou chêne y a - ou Chenille –y-a. Un chêne y aurait été abattu en 1668. Dans la rue existait une maison Cheniha (ou ci-dessous)
-1-D- Chamia, rue (ou ci-dessous)
-1-E- Chamie, rue (ou ci-dessous)
-1-F- Chamice, rue (ou ci-dessous)
-1-G- Champichat, rue (ou ci-dessous) (ces 5 appellations étaient connues en 1636)
-1-H- Champissat, rue -Toutes les appellations précédentes ont été données par Tarbé.
-1-I- Chenix, rue de - D’après Jadart. C’était le nom d’une mesure grecque de quantité pour nourrir un homme pendant un jour dont on ne connait pas la valeur exacte. Ou est-ce une mauvaise lecture de "Chenia"?
- Cloîtres, petite impasse des – Voir Coulvier-Gravier, rue
- Cloîtres, rue des – Voir Aubert, rue François
- Clos dans le Fer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Clos d’Enfer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Clos des Fers, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Clos Saint Rémi - Voir Farman, avenue
- Closiaux, impasse des (créée en 1929) Le nom vient de « clos. » Ce nom apparaît dans de nombreuses villes de France. Un imprimeur de cartes avait inventé 2 noms de rues : Chemin des Dépotoirs et Chemin des Marais qui étaient sans nom précédemment. Elles ont été baptisées autrement pour éviter l’impression négative.
- Clostermann, rue du Colonel Pierre (créée en 09/2007)(28/02/1921-23/03/2006) As de la chasse française (33 victoires en 1940/45) Il fut ensuite homme politique et PDG de l’usine Reims-aviation. (7000 avions construits sous licence Cessna )
- Clou dans le Fer, rue du -Elle a été créée sur l’emplacement des remparts de l’an 500. Elle aurait abrité des fabricants de crocs de toiture pour fixer les échelles d’incendie. L’annuaire Matot Braine émet l’hypothèse qu’il faudrait retenir Crau d’enfer, (crau : trou, excavation et enfer, trou ou creux plus profond que les autres.) proposition corroborée par un historien local de Gif sur Yvette où existe une rue du même nom. A la fin du 19ème siècle, le poète Paul Fort a habité à l'angle de la rue et de la place M.T. Herrick. en 1864, la rue allait de la place du Palais de justice à la rue du Cadran Saint pierre.
Plusieurs noms concomitants ou successifs suivant les ages et les auteurs.
-1-A- Clos dans le Fer, rue du (ou ci-dessous)
-1-B- Crau dans le Fer, rue du (ou ci-dessous)
-1-C- Crau d'Enfer, rue du - Orthographe vue sur un état des biens de la léproserie Saint Ladre qui y possédait une maison.
-1-D- Croc d Enfer, rue du (connue en 1322)
-1-E- Croix de Fer, rue de la (connue en 1483)
-1-F- Croc d’Enfer, rue du (de nouveau) (connue en 1535)
-1-G- Trou d’Enfer, rue du
-1-H- Cloud dans le fer, rue du (connue en 1618 et en 1775)
-1-I- Clos d Enfer, rue du - (ou ci-dessous) d’après le plan Colin de 1665.
-1-J- Clou d Enfer, rue du
-1-K- Clos des Fers, rue du -En 1867, une maison du Croc en Fer ( ou du Croc de Fer) existait à l’angle avec la place du palais de justice actuel. Elle a été démolie en 1868. En 1889, la proposition de débaptiser la rue pour l’appeler rue Olivier Métra, compositeur né à Reims (02/06/1830-21/10/1889), est restée sans suite.
- Clou d’Enfer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Cloud dans le Fer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Clovis, place – Voir Poittevin, place Gaston
- Clovis, rue (baptisée en 1864) Son nom vient du francisque « Hlodowig » traduit par « Illustre dans le combat » Transposé en Allemand ( d'après Augustin Thierry en 1820) en Chlodowig ou Chlodowech, ou Chlodovecus en latin. Chateaubriand l'appelait Khlodovigh. Son nom dériva en « Louis », nom de la plupart des Rois de France. (465 ou 466 – 511) Roi des Francs en 481. Baptisé par Saint-Remi le 25/12/ 498 (ou 496 suivant certains historiens) mais il connaissait déjà la religion grâce à son épouse, Clotilde, chrétienne convaincue et Sainte-Geneviève qui l’a longtemps côtoyé. Il eut un fils Clotaire Premier, appelé Roi de Reims en 555. La destruction d'une maison en 1869 a fait que la rue s’est ouverte sur la rue Jeanne d’Arc en 1869. Dans cette rue, on peut voir la synagogue datant de 1879. Au numéro 1 de la rue , à l'angle avec la rue de Vesle, on trouvait en 1898 l'immeuble le plus haut de Reims : 6 étages.
3 rues antérieures regroupées.
-1-A- Amour, rue d’ (baptisée en partie - Voir rue Jeanne d’Arc) 2 origines possibles : 1/ Suite à la visite d’un conseiller du parlement de Paris, le sieur Damour d’après Povillon-Piérard. Soit 2/, un lieu ou on trouvait l’amour tarifé . Voir remarque similaire pour le Bois d’Amour. En 1839, la rue a été prolongée à droite et à gauche .Elle donnait rue des Carmélites. En 1864, elle allait de la rue du Jard à la rue de Vesle.
-2-A- Sécherie, rue de la (ou ci-dessous) (baptisée en 1645)
-2-B- Séscherie, rue de la (voir rue Folle Peine) (baptisée en 1665) Elle était située prés du lavoir de l’hôtel-Dieu. On y faisait sécher le linge et les écheveaux de laine des fabriques alentour.
-2-C- Chasserie, rue de la - (baptisée en partie au 18ème siècle. Voir rue Folle Peine.) Déformation du nom précédent.
-3-A- Folle Peine, rue ( En partie entre la rue du Jard et la rue de Venise ) Cette rue était connue en 1430.
-4-A- Quatre Coins, rue des . - A l'intersection des rues de Venise, Clovis et Folle Peine.
Cocarde Nationale, rue de la – Voir Temple, rue du
- Coche, rue – Voir Cazin, rue
- Cochemé, impasse du Docteur Remi Georges Alphonse (créée en 1985)(05/08/1928-28/02/1968) Décédé des suites d'un accident de la route.
- Cochemé, rue du Docteur (créée en 1985) Docteur né à Reims, 22 rue Carnot. Elle se termine en impasse.
- Cochinard, rue Onézime René (créée en 1981) Militant syndicaliste, résistant, adjoint au maire (31/12/1902-04/06/1980)
- Cochons, rue aux – Voir Anot, rue
-Cochon de Montlaurent, rue -disparue- elle apparait connue en 1218 dans un livre sur la Commanderie du Temple écrit par le comte de Barthélemy. Pas d'autre référence.
- Coco, fontaine – Voir Loges Coquault, fontaine des
- Cœur Navré, rue du – Voir Henri IV, rue
- Coffignot, rue Roland Désiré - (créée en 1996) Pilote d’essai né à Reims 21 rue eugène Wiet (25/01/1923- 22/08/1993) Directeur adjoint des essais en vol de l’Aérospatiale pour les avions et les hélicoptères. En 1963, il battit un record de vitesse avec l’hélicoptère « Super Frelon » à 341 km h.
- Cognacq-Jay, rue (créée en 1930) Création d’une Fondation par Ernest Cognacq (02/10/1839-21/02/1928) et sa femme, Marie Louise Jay (01/07/1838-1925) Fondateurs des grands magasins de la Samaritaine à Paris.
Un nom précédent.
-1-A- Maison-Blanche, rue de la -Baptisée en partie entre le passage à niveau et la route d’Epernay.
- Coiffard, rue Michel (créée en 09/2007) Pilote de chasse. (16/03/1892-29/10/1918) abattu. Il fit d’abord la guerre dans les Chasseurs alpins, plusieurs fois blessé. Il a été muté dans l’artillerie. Il obtint son affectation dans l’aviation en 1917. Il a remporté 34 victoires.
- Coing Saint Jean, rue du - Voir Avant Garde, rue de l’
- Coing Saint Jean, rue du - Voir Rousseau, rue Jean Jacques
- Colasse, rue Pascal (créée en 1925) (ou Collasse) Compositeur (21/01/1649-17/07/1709) Il était l’assistant de Lully et inventa l’opéra-ballet. Maître de chapelle de Louis XIV. Il finit sa vie à moitié fou en cherchant la « Pierre Philosophale » La rue allait de la rue Fléchambault à la rue Saint-Pol.
Un nom précédent.
-1-A- Saint-Benoît, rue -La rue donnait dans la rue Saint-Paul (ou Saint-Pol) et la rue Tournebonneau. C’est un rappel de Saint-Benoît de Nurcie, né en 480.
- Colbert, chaussée (créée en 1925 – disparue) Elle donnait sur les Hautes Promenades d’après l’annuaire Matot-Braine. Pellus la situe entre les Basses Promenades et le square Colbert, rue du général Estienne.
- Colbert, fontaine (Prévue au 18e siècle. ) Projet non realisé.
- Colbert, rue Jean Baptiste - ( perçée en 1849. inaugurée en 1887) Il est né dans cette rue , à l'angle de la rue Nanteuil. Ses parents tenaient commerce à l'enseigne du " Long Vestu ". Il se disait descendant de nobles écossais, sans preuve d’après les archives d’Edimbourg. Il était au service de Mazarin qui l’a recommandé au Roi à sa mort. C’était le plus important ministre de Louis XIV (29/08/1619-06/09/1683) Seuls lui échappaient les Affaires Etrangères et la guerre dévolue à Louvois qu’il trouvait trop dépensier. Il a créé les Compagnies des Indes, réorganisé la marine et les ports, les routes etc.
3 rues antérieures regroupées.
-1-A- Royale, rue - D’après un plan de 1774. Projet non réalisé entre l’Hôtel de ville et le Forum. Elle devait conduire à la place du même nom.
-1-B- Nationale, rue (baptisée en 1794)
-1-D- Impériale, rue (baptisée en 1814)
-1-F- Nationale, rue (reprise du nom ) (connue de 1848 à 1852)
-2-A- Épiciers, rue des (baptisée en 1772) Regroupement du Grand et du Petit Credo dans leur partie nord.
-2-B- Charles X, rue - (baptisée en 1826-1830) Rue créée pour agrandir et nettoyer l’Orde Ruelle et payée par le Roi, elle n’aurait jamais porté officiellement le nom d’après Tarbé. Il s’agissait de Charles Philippe, futur Charles X (09/10/1757-06/11/1836) C’est le Roi qui atteignit le plus grand âge : 79 ans. Le 16/07/1789, il émigra à Turin sous le nom de marquis de Maisons, puis à Hamm sous le nom de comte de Ponthieu. En 1814, il rentra en France et devint chef du parti ultra royaliste. Il devint Roi en 1824 et fut renversé lors de la révolution appelée les 3 Glorieuses (27 au 29/07/1830) A la suite de la mort de sa maîtresse, Louise d’Esparbès de Lussan, il fit vœu de chasteté perpétuelle. Exilé, il est mort du choléra en Autriche.
-3-À- Royale, rue -nom repris en 1830. Elle était située entre la place Royale et la place du Forum. Elle reprenait aussi l’Orde ruelle.
- Colbert, square Jean Baptiste (baptisé en 1860) Le square avait été percé en 1828. Lors de fouilles en 2008, on a découvert une sépulture gallo-romaine « paienne. » En 1919, un baraquement provisoire en bois était implanté au regard des Basses Promenades, affecté à l'horlogerie " La ville de Besançon " dont le magasin , situé 10 rue Colbert avait été détruit pendant la guerre. Dans de nombreux cas comme celui-ci, la baraque possédait un étage d'habitation. En 1904, un bâtiment en dur a été construit en bordure du boulevard Roederer sur toute la façade du square; il servait de bureau et de salle d'attente pour le CBR (chemin de fer de la banlieue de Reims) créé en 1894 et qui fonctionna pour les voyageurs jusqu'en 1947 et 1953 pour les marchandises. Ce bâtiment existait encore en 1921 mais il a été démoli à une date ultérieure. Une carte postale de 1934 ne le montre plus. En 1945, on avait envisagé de remplacer la statue de Colbert par le monument aux Martyrs de la Résistance. Cette proposition est restée sans suite.
Un nom précédent
-1-A- Boulingrin Central, place du (baptisé en 1730) Il était situé au milieu des Hautes Promenades au nord du square Colbert.
- Colin, place Nicolas (baptisée en 1903) Située sur la rive gauche de la Vesle, en dehors des remparts et prés de la porte de Vesle ou "Porte a Velle " d'aprés le plan Colin de 1665. Elle donnait à l'ouest dans le " faulx bourg " de Velle. La place faisait partie du bourg Saint Eloi qui possédait sa mairie pour l'administration courante. Sur les lieux se trouvait la " buerie " ou " burie " d'aprés le plan Colin ou buanderie de l'hôtel-Dieu ou on lavait les linges de l'hôpital. Elle était située au niveau du parking actuel ( 08/2009) Nicolas Colin ( 1622-29/07/1668 ) était un chirurgien rémois qui s'enferma dans la buerie avec un autre médecin, le docteur Paget, d'Ay, et 2 religieux pour soigner les victimes de l'épidémie de peste de 1668. Ils en sont morts. La place actuelle comporte une croix dite des Pestiférés en souvenir de cette épidémie. Les personnes décédées de cette maladie étaient enterrées devant les bâtiments de la buerie, dans un cimetière dédié.
Notons que le chanoine Godinot avait créé un hôpital pour "cancérés" installé à Saint Marcoul en 1740. En 1779, il fut transféré dans les locaux de la buerie qui accueillit aussi un asile pour les personnes atteintes de folie. Au 18ème siècle, pour assurer les travaux de modification du cours de la Vesle, les hospices cédèrent une partie des terrains de la buerie pour cet usage. En 07/2010, le C.M. a décidé l'agrandissement de la place vers le pont de Vesle.
Noms précédents.
-1-A- Abreuvoir, rue de l'
Cet équipement apparait sur le plan Colin sur le côté opposé à la buerie et représente un cul de sac de la Vesle à l'emplacement actuel du parc de l'arboretum prés de la salle de spectacle de la Comédie.
-1-B- Abreuvoir, place de l’
Appellation de 1864 d'aprés Brissart-Binet.
Une opération immobilière décidée en 06/2009 modifiera cette place.
- Collatici, voie – Voir Barbâtre, rue du*
- Collaticia, porte – Voir Bazée, porte
- Collectice, porte – Voir Bazée, porte
- Collecticia, porte – Voir Bazée, porte
- Cologne, allée de (créée en 1966) Ville d’Allemagne
- Colomb, avenue Christophe -Cristoforo Colombo (créée en 1966) Navigateur italien, piètre politicien (1451-20/05/1506) Il accomplit la première traversée de l’Atlantique. Il croyait aller aux Indes par la route de l’ouest et découvrit l’Amérique. De toute sa vie il croira toujours avoir rejoint les Indes. Mort en relative disgrâce.
- Commandeur, cour du -Vu sur un plan parcellaire de la Seigneurie de Saint-Pierre les Dames de 1778. Là se trouvait la Commanderie du Temple fondée à Reims en 1162/1170. Le premier commandeur s’appelait Étienne. Cette cour se trouvait dans un ensemble de bâtiments appelés l’»Ile du Temple » longée par la rue de l’Archevêché.
- Combattants d’Afrique du Nord, place des -Place baptisée en 1983, officialisée en 2033 noms précédents.
-1-A- Champagne, rond-point de
-1-B- 18 mars 1962, place du -Date des accords d’Evian qui ont marqué la fin des opérations en Algérie. La place a été débaptisée suite à la protestation des associations d’anciens combattants
-1-C- Chaufferie rond-point de la -Surnom concomitant non officiel.
- Combattants d’Indochine, place des (créée en 1989) Après la 2ème guerre mondiale, la France a entamé la reprise de l’Indochine aux Japonais puis elle a combattu contre le Viet Minh communiste.
- Comédie, rue de la – Voir Talleyrand, rue
- Commerce, impasse du (créée au 19ème siècle - disparue depuis) En 1864, elle ouvrait rue Rogier Voie différente de ci-dessous-
Un nom précédent.
- 1-A- Dauphin, impasse du (ou cul de sac) (connue au 16ème siècle) Elle prenait dans la rue Dauphine.
- Commerce, impasse du – Voir Bertin, rue - Voie différente de ci-dessus.
- Commerce, passage du -Il relie la rue de Vesle à la rue Jadart.
- Commerce, rue du (créée entre 1912 et 1913)Voie différente de ci-dessous.
- Commerce, rue du – Voir Cloître, rue du - Voie différente de ci-dessus
- Commune, place de la – Voir Hôtel de Ville, place de l’
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- Comptoirs Français, impasse des - créée en 2009.
La voie va de la rue Edouard Mignot au parking automobile Clairmarais. Il s'agît d'une des 4 maisons à succursales multiples créée à Reims devenue berceau du succursalisme en France. Edouard Mignot ( voir à ce nom ) avait repris un magasin d'alimentation : "Notre Dame de l'Usine " créée au 19ème siècle dans un but philanthropique. Il renomma son magasin puis créa des succursales, essentiellement en Champagne Ardenne et la région parisienne. La société exista de 1897 à 1975. Elle a également créée les hypermarchés "La Montagne " en 1969 , repris ensuite par d'autres structures en 1975. Ses entrepôts étaient situés dans le quartier Clairmarais.
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- Comte, square du Docteur Jean François (créé en 1955)(02/06/1874-27/06/1949) Pendant la 2ème guerre mondiale, il soigna clandestinement des résistants.
- Concorde, rue de la (baptisée en 1892) Les habitants ( voir le nom précédent de la rue ) se seraient réconciliés. Un autre nom avait aussi été proposé ; rue de la Paix . Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901. Elle va de l’avenue de Paris au chemin de Tinqueux.
2 noms précédents.
-1-A- Bouton-Gérard, rue (ou ci-dessous) Baptisée du nom d’un habitant de la rue. (1838-1902) Propriétaire du terrain et qui s’opposa à ce qu’on la débaptise pour la nommer rue Achille Bureau.
-1-B- Bouton-Gerard, avenue
-1-C- Chicane, rue de la (baptisée en 1887) Nom donné suite à des divergences entre les riverains ou à cause de son tracé tortueux. En 1884, elle allait du faubourg de Paris dans les champs. En 1892, elle allait de la rue Achille Bureau au chemin de Tinqueux.
- Concorde, rue de la - Voir Bureau, rue Achille -Voie différente de ci-dessus
- Condamnée, porte – Voir Saint-Nicaise, poterne
- Condorcet, galerie (privée) (créée en 1925) Elle va de la rue de Vesle n° 26 à la rue Condorcet, sur l’emplacement de la gare routière créée après 1920. Des cars de marque Citroën ( Les Rapides de Champagne) assuraient un service régulier vers l’extérieur de la ville. Puis il devint le garage Citroën déménagé ensuite à la Haubette dans les années 1970. A cette époque, le bâtiment était surmonté d'une tour munie d'horloges qui a disparu. Remplacé par une galerie commerciale.
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- Condorcet, rue Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de (baptisée en 1924) Mathématicien, homme d’état (17/09/1749-29/03/1794) Motif du décès inconnu. Certains disent qu’il s’empoisonna en prison. En 1906, à l'angle avec la rue Marx Dormoy, on pouvait voir sur le toit de la maison une enseigne lumineuse (la première à Reims) pour "Contréxéville"
5 noms précédents concomitants ou successifs.
-1-A- Renard Blanc, cour du -Baptisée du nom d’une auberge.
-1-B- Renard, cour du (ou ci-dessous)
-1-C- Renard, impasse du (ou ci-dessous
-1-D- Renard Blanc, impasse du -Origine : une enseigne.
-2-A- Saint-Jacques, impasse - (baptisée en 1841) Mais en 1864, elle ouvrait rue de la Couture car elle faisait un coude.-
-2-B- Saint-Jacques, rue - Pour partie après percement en 1925, car située près de l ‘église de Saint-Jacques le Majeur. En 1920, on y trouvait un baraquement établi à l'emplacement d'une maison démolie, le bazar "au Petit Saint Jacques".
- Conférence, porte de la – Voir Bazée, porte
- Congrégation, rue de la – Voir Orphelins, rue des
- Conins, rue des – Voir Anjou, rue d’
- Conroy, rue de (disparue) La rue était située près de la porte Mars.
- Consdorff, rue Sylvain – Voir Maison-Blanche, rue de la
- Consdorff, square Sylvain André (créé en 1978) Artisan ébéniste, conseiller municipal (29/08/1897-26/03/1964)
- Constance, rue – Voir Pontgivart, rue de
- Constantine, rue de (créée entre 1914 et 1922) Ville d’Algérie.
- Consuls, rue des – Voir Sarrail, rue du général
- Contet, rue (créée en 1874 - disparue ensuite) Elle allait de la rue des Gobelins à la rue de Cernay.*
- Contrai, impasse de
Elle donne dans la rue du même nom
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- Contrai, rue de (connue au 12ème siècle) Mais l'atlas national de 1875 ne lui donne pas de nom. Origine : le nom viendrait de « contractus » courbé, la rue faisant de nombreux coudes, mais on préfère la 2ème explication ci-dessous, les coudes étant insignifiants On y a trouvé des traces de l’enceinte gauloise. Elle donne dans la place des loges Coquault. C’est un prolongement de la rue des Murs (ou ci-dessous) Dans cette rue se trouvait une fontaine « Godinot » Au 13ème siècle, cette rue n'était pas protégée par un rempart. En 1778, on a procédé à un alignement de ses maisons. En 1784, au numéro 2948, on trouvait une maison dite "Le Moulinet Verd (sic)" Plusieurs membres d'une famille de nom patronymique "Puce" habitant dans cette rue, certains en 1921, la surnommèrent "rue aux Puces ". En 1864, une impasse s'ouvrait au N° 18 de la rue. a la même date, la rue s'appelait rue de Contray et allait de la rue du Bourg Saint Denis à la rue de l'Université.
2 noms concomitants.
-1-A- Contraict, rue de (ou ci-dessous)
-1-B- Contrais, rue des - 2ème explication du nom : malades du mal des Ardents. ( Ou feu de Saint-Antoine, Feu sacré, ergotisme du à l’absorption de farine infectée d’ergots de seigle. Maladie toujours mortelle )
- Contrebandiers, chemin des – Voir Houzeau-Muiron, rue
- Cook, avenue James (créée en 1966) Navigateur anglais (27/10/1728-14/02/1779) mort à Hawaï dans une bataille avec des hawaïens. Il fit de nombreux voyages dans l’océan Pacifique. Il a été le premier à débarquer sur la côte est de l’Australie dont il prit possession au nom du roi d'angleterre. Le premier navigateur à avoir abordé l'australie fut le hollandais Willem Jansz. La Pérouse atterit à Botany Bay peu de temps après Cook.
- Copernic, allée Nicolas -Nikolaj Kopernick ou Nicolau Copernicus (créée en 1971) Chanoine, médecin, astronome (19/02/1473-24/05/1543) Il développa la théorie de l’héliocentrisme. Une tombe découverte en 2005 dans l’église de Frombork en Pologne a été confirmée en 2008 comme étant celle de Copernic. Une cérémonie de réinhumation a eu lieu dans la cathédrale de Frombork le 22 mai 2010. Son nom a été donné à l'élément chimique le plus lourd connu actuellement: le Copernicium. Voie privée qui se termine en impasse.
- Coquebert, esplanade - Voir Briand, place Aristide
- Coquebert, fontaine (construite au 18ème siècle – disparue en 1840) Elle était située rue Sainte Marguerite , à l'angle avec la rue de la Perrière.
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- Coquebert, place -Voir Martyrs de la Résistance, place des
- Coquebert, rue (baptisée en 1841) Illustre famille rémoise qui a donné 5 lieutenants des habitants à la ville et plus particulièrement Claude André Jean Baptiste Coquebert de Taizy , administrateur des hôpitaux,bibliographe ( 1758-1815). On y a trouvé des traces de voie romain. En 1864, la rue allait du boulevard du Temple au Chemin de ronde. Dans le répertoire biographique des chanoines réguliers de 1773, on trouve aussi écrit "Cocquebert".
Un nom précédent.
-1-A- Est, rue de l’ (créée au 19ème siècle)
- Coquelicots, allée des (créée entre 1922 et 1925) Elle se situe dans le Foyer Rémois.
Anecdote : le coquelicot était la fleur symbole des armées anglaises combattant dans la Somme en 1914/1918.
- Coquillard, rue Guillaume (baptisée en 1876 ) Chanoine et poète (vers 1420- 12/05/ 1510) Official à Reims, il écrivit souvent des pièces licencieuses, mais aussi une étude sur les droits nouveaux demandée par Louis XI dans chaque baillage. Il était trés estimé à Reims. Suivant les éditeurs ou les commentateurs, entre 1513 et 1847, il est appelé aussi Coquillart, Coquillarl, Coquiliart ou Goquillart (dernière proposition par Brissart-Binet). La rue allait de la rue Brûlart à la rue Bailla.
2 noms précédents.
-1-A- Bailla, cul de sac du (ou ci-dessous) (créé en 1856)
-1-B- Bailla, impasse (perçée en 1876 -devient la rue ci-dessus.)
- Corbeau, rue du – Voir Croix Saint-Marc, rue de la - Voie différente de ci-dessous-
- Corbeau, rue du – Voir Lorraine, rue du Cardinal de - Voie différente de ci-dessus
- Corbeille d’Or, place et rue – Voir Petit Four, rue du
- Corbineau, rue du Général Jean Baptiste Juvénal (créée en 1966)(01/08/1776-18/12/1848) Il a sauvé une grande partie de la Grande Armée en découvrant le gué de la Bérézina. Il a fait arrêter le prince Louis Napoléon Bonaparte à Boulogne. Il a été gouverneur militaire de Reims en 1814. Il avait 2 frères également militaires, on parlait d’eux en les appelant les « 3 Horaces »
- Cordeliers, corps de garde des (tour du) (connue au 14ème siècle. disparue depuis) C'était la 22ème tour des remparts depuis la porte a Vesle.
- Cordeliers, rue des - (nom repris au 19ème siècle) Même voie que ci-dessous -Le couvent du 13ème siècle a subsisté jusqu'au 19ème siècle. A la révolution , on y avait installé un bureau de vente des biens nationaux et l'église a été vendue à des particuliers qui l'ont démolie aprés l'avoir utilisé comme grange. En 1864, on y voyait une maison à l'enseigne des "3 Maillets" du 18ème siècle. A la même date, la rue allait de la rue de la Peirrière à la rue des 3 Raisinets.
2 noms précédents.
-1-A- Cordeliers, rue des (baptisée en 1765)
-1-B- Sobriété, rue de la (baptisée en 1794)
-1-C- Cordeliers, rue des - (nom repris au 19ème siècle.)
-2-A- Artois, rue d’ - regroupement au 19ème siècle avec le 1er nom. (baptisée en 1765)
- Cordeliers, rue des - Voir Voltaire, rue - Même voie que ci-dessus
- Cordeliers, square des (créé en 1925)
On y voit les vestiges du couvent détruit pendant la première guerre mondiale. Ce couvent du 13ème siècle était occupé en 1914 par les Ets" "Lainé."
- Cordonniers, rue des – Voir Forum, place du
- Cormicy, impasse de (créée en 1840) En 1882, elle ouvrait 19 rue de Cormicy.
- Cormicy, rue de – Voir Vaillant Couturier, rue Paul
- Cormontreuil, chaussée de – Voir Champagne, avenue de - Même voie que ci-dessous
- Cormontreuil, chaussée et chemin de – Voir Thomas, rue Albert -Même voie que ci-dessus
- Cormontreuil, route de (créée en 1840) Commune des environs de Reims. En 03/1803, on écrivait aussi Cour-Montreuil. (les Affiches de Reims)
- Corne de Cerf, rue de la – Voir Henri IV, rue.
- Corneille, rue Pierre (créée en 1966) Auteur de théâtre, dramaturge (06/06/1606-16/10/1696) Il avait fait des études d’avocat. A partir de 1650, il a été éclipsé par Racine.
- Cornélie, rue – Voir Filles Dieu, rue des.
- Corot, place Jean Baptiste Camille (créée en 1951) Artiste peintre (17/07/1796-22/02/1875) Certains le nomment le "Premier Impressionniste" Riche, il a été très généreux avec ses amis peintres dans le besoin. Le Musée des Beaux-Arts de Reims possède 26 toiles de lui, ce qui en fait le plus riche après le Louvre.
- Corot, square Jean Baptiste Camille. (créé en 1925)
- Corpelet, rue Jules Jean Baptiste (créée en 1952) Cultivateur. Il a été le premier maire de La Neuvillette ( 1823-11/12/1875) qui auparavant était un hameau de Courcy devenu autonome en 1870 et aggloméré à la ville de Reims en 1972.
- Corporal, lieu-dit – Voir République, place de la
- Costes, impasse Dieudonné (créée en 1999)
- Costes, avenue Dieudonné (créée en 1999) Aviateur (04/11/1892-18/05/1973) Il a été le premier à traverser l’Atlantique sud en 1927, puis l’Atlantique nord en 1930. En 1926, il battit le record du monde en ligne droite de 5396 km .
- Cotta, rue - ou Côta en 1775. Origine : inconnue, peut-être le nom d’un habitant. En 1771, on a procédé à un alignement de ses maisons. La rue va de la rue de Tambour à la rue du Marc comme en 1864. Elle était désignée à tort rue de la Grosse Écritoire sur le plan Legendre.
Un nom précédent.
-1-A- Grange de Mizy, rue de la -Lieu où le propriétaire (Mizy) entreposait ses récoltes.
- Coubertin, rue Pierre Frédy, baron de (créée en 1963)(01/01/1863-02/09/1937 ) Il prôna le sport dans l’éducation des jeunes et rétablit les jeux olympiques dans une déclaration du 25/11/1892. Il créa le Comité International Olympique le 25/06/1894. Les premiers jeux eurent lieu en 1896.
- Couchant, rue du – Voir Jacobins, rue des
- Coucy, place de - D’après le plan de 1769 . Elle donnait au milieu de la rue de Coucy.
- Coucy, rue Robert de – Voir Libergier, rue - Voie différente de ci-dessous
- Coucy, rue Robert de (baptisée en 1886.) - Voie différente de ci-dessus Un premier projet d'ouverture d'une rue le long de la cathédrale avait déjà été étudié en 1797 sans suite. On trouvait aussi écrit « Coussy » C’était le 5ème architecte de la cathédrale. Il y oeuvra de 1290 à sa mort en 1311. Les autres architectes étant Jean d’Orbais (de 1211 à 1231) Jean Le Loup (de 1231 à 1247) Gaucher de Reims (de 1247 à 1255) et Bernard de Soissons (de 1255 à 1290) Tous les architectes ayant travaillé dans l’esprit du premier, il en ressort une grande unité dans la construction. Robert de Coucy construisit aussi l’église Saint-Nicaise et l’église de l’abbaye Saint-Denis ou il a été inhumé. En 1774, au numéro 1131 on trouvait la maison dite " Le Petit Saint Thierry" La rue a été interdite en partie à la circulation depuis 1990 pour des fouilles de thermes romains du 1er siècle, reconstruits au 5ème siècle. On y a aussi découvert une rue antique du 4ème siècle qui longeait les thermes. En 11/2007, les fouilles ont été recouvertes par une dalle et la rue a été réouverte en 2008. Au 8ème siècle il existait à l'emplacement d'un contrefort de la tour nord de la cathédrale un puits appelé "puits de Saint Rigobert, ou Saint Robert" archevêque de Reims en 698, décédé en 743.
2 noms précédents.
-1-A- Neuve du Temple, rue (créée en 1799)
-1-B- Notre Dame, rue (baptisée en 1846)
Et 2 surnoms non officiels:
-1-C-Vandales, rue des -Un particulier avait obtenu le droit de démolir des maisons du Chapitre situées contre la cathédrale. Des mécontents lui ont donc donné ce surnom en 1797 lors du 1er projet. (journal de la Marne)
-1-D- Sibérie, rue de
Autre surnom donné à la même époque. en raison des vents froids soufflant fréquemment dans cette rue. Le journal de la Marne de 01/1797 lui donne le nom de "rue de la Bise"
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- Coucy, rue de – Voir Temple, rue du - Voie différente de ci-dessus.
- Coucy Prolongée, rue de – Voir Temple, rue du
- Coulmy, lieu-dit (connu au 9e siècle - disparu depuis) Il existe actuellement un lieu-dit Coulmy prés de Bétheny.
- Coulon, cour Origine : patronyme. En 1876, elle donnait rue des Capucins. En 1912 d’après l’annuaire Matot Braine, elle ouvrait au 73 rue du Barbâtre et 94 rue Ponsardin. Idem à ce jour.
- Coulture aux Meules, rue de la – Voir Talleyrand, rue
- Coulvier-Gravier, rue Remi Armand - (baptisée en 1903) Après percement de l’impasse ci-dessous. Cultivateur puis astronome (26/02/1802-12/02/1868) et météorologiste. Il se spécialisa dans l’étude des étoiles filantes.
Un nom précédent.
-1-A- Cloîtres, petite impasse des -pour partie. (disparue en 1929) En 1882, elle ouvrait au 16 Grande impasse des Cloîtres.
- Couperin, allée François Couperin De Crouilly dit »le Grand » (créée en 1961) Musicien baroque, claveciniste (10/11/1668-11/09/1733) Il était au service de Louis XIV. Il créa des œuvres pour clavecin. Les Allemands disaient qu’il était « le Bach des Français ».
- Cour-Marqueuse, quarrel de (connu en 1328 - disparu) Au Moyen-age, Marqueuse était un village prés de Witry les Reims, créé au 8ème siècle, il appartenait au chapitre de Notre Dame de Reims à partir de 1233. Il a été détruit en 1650 pendant la guerre contre l’Espagne. Certains auteurs placent sa destruction en 1359. Rasé en prévision d'une attaque anglaise.Des habitants de ce village sont venus habiter à Reims. Le nom du village s'écrivait aussi Marqueux.
- Cour Marqueuse, rue de – Voir Macon, rue de
- Courage, rue du – Voir Baratier, rue du général
- Couraux, rue de (baptisé en 1952) Le nom vient de »eau courante » Zone de captage d’eau pour la ville de Reims. Il existe aussi un mont Couraux prés de Puisieulx, ainsi que des terres et marais de Couraux entre Cormontreuil et Sillery.
Un nom précédent.
-1-A- Couraux, marais de
- Courbet, esplanade Gustave (créée en 1980) Artiste peintre (10/06/1819-31/12/1877) Il a été réformé en 1840. Chef de file du « Réalisme » Le tableau qu’il présenta à l’exposition de 1851 fit scandale. Il a été élu de la Commune en 1871 et écroué en 06/1871, condamné à 6 mois de prison. Exilé en Suisse, il avait prôné le déplacement de la colonne Vendôme. Il a été condamné à reconstruire la colonne à ses frais. Mort ruiné.
- Courcelance, rue et faubourg de – Voir Courlancy, rue de
- Courcelancy, rue – Voir Courlancy, rue
- Courcelles, impasse de (créée en 1894) Elle ouvrait 217 rue de Courcelles.
- Courcelles, petite rue de – Voir Fismes, rue de
- Courcelles, rue de (créée en 1856) Entre cette rue et le quai du Nord, il y a 2 voies sans nom. La rue a été macadamisée en 1862. En 1864, elle allait de la rue de Trianon dans les champs. En 1901, regroupement avec le chemin de Courcelles. En 1951, elle fut prolongée. Commune prés de Reims, regroupée avec Saint-Brice. Dans cette rue avait été créée en 1897 la 3ème entreprise à succursales multiples de Reims au 24 de la rue ainsi que rue du Ponceau. A l'époque on trouvait la confiserie distillerie " Eugène bonant et Edouard Mignot" Ce dernier créa ensuite les établissement "Comptoirs Français" Etablissement disparu après la 2ème guerre mondiale.
Un nom précédent.
-1-A- Courcelles à Reims, chemin de - connue en 1875.
- Courcy, chemin et rue de – Voir Salengro, rue Roger -Même voie que ci-dessous
- Courcy, chemin et rue de – Voir Goulin, rue -Même voie que ci-dessus
- Courcy, impasse de (créée en 1902 -disparue depuis) Village prés de Reims ou est implanté une base aérienne de l’armée de l’air (BA112) L’impasse ouvrait rue de Courcy.
- Courcy, place de - D’après le plan de 1769 . Elle était située au milieu de la rue de Courcy à l’époque.
- Courcy, rue de – Voir Schweitzer, rue du docteur
- Courcy, rue Neuve de – Voir Neuvillette, rue de la
- Courlancy, parc – Voir Lagrange, parc Léo
- Courlancy, rue de (baptisé en 1873) Le fief de Courlancy ou Courcelancy est cité au 14ème siècle. En 1935, on voyait au numéro 30 la "Brasserie Malterie du Sicambre" A l'angle avec l'avenue De Gaulle en 1905, une "clinique chirurgicale " s'est installée dans les bâtiments de la congrégation de Nazareth. C'est devenu la "clinique Courlancy " actuelle.
4 noms précédents concomitants ou successifs
-1-A- Courcelance, faubourg de (ou ci-dessous) connu en 1334 comme seigneurie d'après les archives de archevêché.
-1-B- Courcelance, rue de (ou ci-dessous)
-1-C- Courcelancy, rue de
-1-D- Courlancy, chemin de (baptisé en 1856)
- Courmeaux, rue Eugène (baptisée en 1903)(15/02/1817-22/11/1902) Bibliothécaire de la ville. Il était opposé au gouvernement et fut envoyé en exil de 1850 à 1867. De retour à Reims, il créa une section de la ligue de l'enseignement. En 1887, il a été réintégré dans ses fonctions de bibliothècaire. Au N° 30 en 1914, on voyait une maison Renaissance.
5 voies précédentes ayant porté plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A- Oingnon, rue d’ - (connue en 1328) C’est la première portion de la rue de Monsieur, du Forum à la rue Notre-Dame de l’Epine. (ou ci-dessous) Nom d’une famille rémoise connue en 1325. La rue donnait dans le « Trou de Cut » d’après le plan Colin de 1665.
-1-B- Ognon, rue d’ - du Forum à Notre-Dame de l’Epine. La tradition parle d’une sculpture glorifiant le légume qui y aurait été cultivé. (ou ci-dessous)
-1-C- Oignon, rue d’ (ou ci-dessous)
-1-D- Doingnon, rue -D’après le plan Colin de 1665.
-2-A- Trou de Cut (connue en 1629)Origine : Présence d’une borne trouée pour marquer la limite d’un ban. (Pour « cut » coupé, séparé.) La rue allait de la rue Notre-Dame de l’Epine au boulevard Lundy. Elle faisait suite à la rue Doingnon.
-2-B- Trou du Cul, rue du -On ne se rappelait plus la signification du mot « cut » La rumeur publique a transformé le mot.
-3-A- Metz-Roland, rue du - du Forum à Notre-Dame de l’Epine. Metz, vieux nom de « Maison » d’origine franque : Mansus et Roland, nom d’un théologal des églises de Reims.
-4-A- Monsieur, rue de -(frère du roi) (baptisée en 1775) On y voyait une maison de 1677 numérotée 1485 d'après la numérotation de 1766; maison disparue à une date inconnue (archives de l'archevêché) En 1864 la rue allait de la place des Marchés à la rue Andrieux.
Regroupement des 2 rues précédentes, prolongées par la rue des Ecoles.
-4-B- Berry, rue de - Portion de la rue de Monsieur. (Baptisée en 1722) Au sacre de Louis XV, Marie Louise d’Orléans, (20/08/1696-20/08/1719) veuve du duc de Berry connue pour ses grossesses multiples avec accouchements avant terme, enfants mort-nés. Décédée 3 mois après son dernier accouchement et découverte de nouveau enceinte. Elle aurait séjourné dans cette rue.
-4-C Piété Filiale, rue de la (baptisée en 1794) Elle allait de la rue Notre-Dame de l’Epine au boulevard Lundy.
-4-D- Berry, rue de - nom repris au 19ème siècle.
-4-E- Écoles, rue des (baptisée en 1849) Prolongement de la rue de Monsieur, sur l’emplacement des remparts démolis. Elle allait de la rue Notre-Dame de l’Epine au boulevard Lundy.
-5-A- Monsieur, rue de - nom repris. Regroupement des rues précédentes en 1887. Dans cette rue on voyait l'hôtel Rogier de Monclin du 18ème siècle démolie en 1914.
- Coursalin, quarrel de – Voir Salin, cour et rue
- Courtemartin, rue de – voir Courtes Martin, rue des
- Courteille, fontaine (construite au 18ème siècle. – Disparue en 1842) Elle était située rue des Marmouzets actuelle et dédiée à Monsieur Courteille de Saint Contest de la Chataigneraie. Intendant de Champagne. ( …/1784)
- Courtes Martin, chemin des (créé en 1894) -Même voie que ci-dessous C’est la déformation du nom d’un village : Courtmartin, prés de Witry les Reims, créé au 8ème siècle. Il a été détruit en 1650. (dans la guerre contre les Espagnols) . Prolongation prévue se terminant dans les champs sur la commune de Cernay les Reims. Jean Pussot l'appelle "Comartin"
- Courtes Martin, chemin des – Voir Divry, rue du caporal chef -Même voie que ci-dessus
- Courtes Martin, impasse des (créée entre 1925 et 1933)
- Courtes Martin, rue des (ou ci-dessous )L’annuaire Matot-Braine dit aussi « Courses Martin » erreur d’orthographe. En 1882, elle allait du faubourg de Laon dans les champs.
Un nom précédent.
-1-A- Courte-Martin, lieu-dit. Ce nom était encore signalé en 08/1789 (Journal de Champagne)
-1-B- Courtemartin, rue de
- Coussy, rue de – Voir Coucy, rue Robert de
- Coussy, rue de – Voir Temple, rue du
- Coustellerie, rue de la – Voir Cérès, rue
- Coustelliers, rue des - (créée en 1487 - disparue depuis) Elle était située prés de la rue du Gué. Des fabricants de couteaux y étaient installés.
- Cousture des Meulles - Voir Talleyrand, rue de
- Cousture ou se fait la Foire – Voir Drouet D’Erlon, place
- Coutellerie, rue de la – Voir Cérès, rue
- Coutier Marion, rue Pierre Martin (créée en 1894) Epicier, maire ( 29/07/1751-1794/1795-25/01/1819) . Marion était le nom de sa femme. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
- Couture, croisée de la (créée au 12ème siècle) Voir place de la Couture (place d’Erlon) Elle était située au croisement de la rue Large, de la rue de l’Etape et des Coutures. En son centre, il existait une croix du 12ème siècle. Lieu de châtiment : flagellation.
- Couture, rue et place de la – Voir Drouet d’Erlon, place
-
- Couture, porte de la – Neuve, porte
- Couture aux Meules, rue de la – Voir Talleyrand, rue
- Coutures, chemin rural des (disparu en 1887)
- Coutures, chemin des -Voie différente de ci-dessous
- Coutures, chemin des – Voir Houzeau-Muiron, rue - Voie différente de ci-dessus
- Coutures les Gougeons, chemin des (baptisé en 2007) Après le rond point de la 161ème escadre.
- Coutures les Gougeons, lieu-dit des
- Coutures, chemin de ronde dit des (créé en 1854 - disparu) Il était parallèle au boulevard Cérès (aux boulevards Pasteur et Victor Hugo actuels. )
- Coutures, rue des (crée en 1887) -Même voie que ci-dessous A cette époque, elle était dans les champs. Elle partait de l’avenue de la Suippe. Il faut y voir un rappel de l'ancien quartier de ce nom (voir place d'Erlon )
Un nom précédent.
-1-A- Roulage Walbaum, rue du -La rue menait aux entrepôts Walbaum, manufacturier au 19ème siècle. Henri Walbaum faisait partie d'une dynastie d'origine allemande qui s'intéressa aussi au champagne et aux assurances. La société de transport existe toujours. La rue faisait suite à la rue du Levant.
- Coutures, rue des – Voir Philipe, rue Gérard – Même voie que ci-dessus. .
- Crau dans le Fer, rue du – Voir Clou dans le Fer, rue du
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- Crau d'Enfer, rue du - Voir Clou dans le Fer, rue du
- Crayères, rue des (baptisée en 1887) C’était des excavations dont on tirait les matériaux pour la construction. Les premiers chrétiens célébraient leur culte dans ces crayéres, puis les protestants. En 1878, la rue allait du square Saint-Nicaise au moulin de la Housse.
2 noms précédents.
-1-A- Crayéres, lieu-dit Les - En 1584, Jean Pussot l'appelle les " Crayères des Champs".
-1-B- Crayères, chemin des
-1-C- Cernay, chemin de - vu sur le plan de l'Atlas National de 1875 . On le trouve actuellement hors les murs sous le nom de chemin de Saint Nicaise à Cernay.
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- Créneaux, rue des – Voir Goïot, rue -Même voie que ci-dessous
- Créneaux, rue dess - Voir Marin la Meslée, rue du commandant -Même voie que ci-dessus.
- Créneaux, rue des - (baptisée en 1794) - Même voie que ci-dessus. Voir rue Marin la Meslée. La rue est établie sur l’emplacement d’un ancien fort crénelé construit sur les terres de Saint-Nicaise. En 1864, la rue allait de la rue du Barbâtre à la place Saint Thimothée. En 1868, on y installa une foire aux comestibles 3 jours par semaine. En1884, elle allait au moulin de la Housse
2 rues ayant chacune porté 2 noms.
-1-A- Fust, rue du -Origine : Une croix en bois dressée dans cette rue. Explication de Fust, vieux français pour fût, tonneau.- par extension, bois .
-1-B- Grosse Enclume, rue de la -Enseigne d’une brasserie en 1786 au numéro 2804 (numérotation de 1766) (Journal de la Champagne)
-2-A- Cardinaux, rue des -En souvenir du cardinal de Lenoncourt.
-3-A- Bonnet de la Liberté, rue du (baptisée en 1794)
- Creusat, rue du Docteur Robert (créée en 1995)(07/09/1912-05/09/1981) Membre du conseil supérieur de la Médecine du Travail.
-Créneaux Prolongée, rue des - en 1884, elle allait de la rue Salins à la rue Saint Tiimohée
-Crès, rue Jean Le. disparu. connue en 1251. Apparait sur un livre concernant le Temple écrit par le comte de Barthèlemy. Pas d'autre référence.
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- Crèvecoeur, tour- voir Canonniers, tour des
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- Crevée, rue – Voir Armonville, rue
- Crevés, quarrel des (connu en 1328) Y a t’il un lien avec la rue des Ecrevés ?
- Crevisse, rue de la – Voir Ecrevisse, rue de l’
- Crime, cour du – Voir Gambetta, rue
- Croc d’Enfer, rue du – voir Clou dans le Fer, rue du
- Crochet, rond point Jules (créé en 1996) Docteur (02/06/1902-24/02/1974) qui soigna des enfants de la coqueluchepar un baptême de l’air entre 1934 et 1950 (avec interruption pendant la guerre.) Rond-point situé près du champ de course actuel ou était installé un petit aérodrome à cette époque dont il reste encore un hangar semi-circulaire en tôle sur l'avenue R.Schumann.
- Crocs, impasse et ruelle des – Voir Forum, place du
- Croeux, ruelle aux (d’après Jadart) (connu en 1673) N’est -ce pas une erreur d’orthographe pour Crevèes. Appellation non trouvée ailleurs.
- Croisée de Mars – Voir République, place de la
- Croissy, rue Charles Colbert de (créée en 1925) Plénipotentiaire à Aix la Chapelle et au traité de Nimègue. (05/08/1629-28/07/1696) Frère de Jean Baptiste Colbert. La rue était située dans la cité Gauthier.
- Croix, rue de la – Voir Bourgeois, rue René
- Croix, rond point de la – voir République, place de la
- Croix Blandin, lieu-dit- Situé à l’est de la ville, nom d’une ZAC, à l’est de la caserne Jeanne D’Arc. Viabilisation en cours en 06/2008. On y a découvert un aqueduc romain venant de la Suippe.
- Croix d’Argent, lieu-dit (connu en 1865) Il était situé près de la porte Dieu-Lumière. Il a été le lieu d'un crime odieux qui a bouleversé la population.
- Croix de Fer, rue de la - Voir Clou dans le Fer, rue du
- Croix de la Lieue, chemin de la (La Neuvillette) (créé en 2007)
- Croix d’Enfer, rue de la – Voir Clou dans le Fer, rue du
- Croix d’Or, allée de la (baptisée en 1958)
Un nom précédent.
-1-A- Croix d’Or, lieu-dit
- Croix Dauphinot, rue de la – Voir Bourgeois, rue René.
- Croix Jobart, rue de la (créée entre 1922 et 1923) Elle allait de la rue de l’Octroi dans les champs. Et actuellement, depuis la rue Pierre Semard. Jobart était un religieux de Tinqueux, connu au début du 19ème siècle.
- Croix-Rivard, rue de la (créée en 1929- Disparu)
- Croix Rouge, impasse de la – Voir Rogier, impasse
- Croix Rouge, lieu-dit -Quartier populaire important de la périphérie rémoise. Une partie de ce quartier était sur les terres de Bezannes. Un échange de terrain avec Reims a eu lieu en 1970 pour permettre la construction de logements. Un sous-quartier s’appelle « La Lézardière » Un lieu-dit »La Lézarde » existe entre Reims et Tinqueux. Autres sous quartiers : les Hautes Pièces, le Soleil Couchant, les Hauts de Murigny
- Croix Saint-Albert, rue de la – Voir Grandval, rue
- Croix Saint-Marc, rue (baptisée en 1876) Origine : Ancienne chapelle de Saint-Marc aux Cachots ou chapelle de Saint-Médard à Cachots (Sanctus Medardus en 1215) ou rattaché au martyr de Saint-Albert, évêque de Liège réfugié à Reims, assassiné par des envoyés de l’empereur en 1192 et déposé dans le caveau des évêques. Ses restes furent réclamés par les liègeois au 16ème siècle. Des ossements leur furent adressés et il s’avéra, lors des fouilles de Henri Deneux en 1919 que l’on avait retourné les restes de Odalric, mort en 966. L’échange fut effectué en toute discrétion. La croix aurait été érigée à l’emplacement du martyre. En 1887, la rue a été prolongée par reprise des voies ci-dessous. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
4 noms précédents.
-1-A- Corbeau, rue du -Enseigne d’une auberge.
-1-B- Croix du Saint-Martyre, rue de la
-1-C- Croix Saint-Mart, rue de la
-1-D- Croix Saint-Marc, rue de la
- Croix Saint-Mart, rue de la – Voir Croix Saint-Marc, rue de la
- Croix du Saint-Martyre, rue de la – Voir Croix Saint-Marc, rue de la
- Croix Saint-Victor, carrefour de la – Voir Théatre, carrefour du
- Croix Simonart, rue de la – voir Ferrand de Monthelon, rue
- Cronsdtadt, rue de – Voir Bonhomme, rue
- Croutelle, rue Théodore (baptisée en 1887) Manufacturier en tissage (25/03/1791-31/12/1870) Son usine a été détruite par un incendie lors des émeutes de 1848. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
Un nom précédent.
-1-A- Union, rue de l’ (baptisée en 1794)
- Cuday, rue de – Voir Vauthier-Buiron, rue
- Cuisinier, rue Maxime (créée en 09/2007) Entrepreneur. (1898-1993)
- Cul de Sac, rue du – Voir Gousset, rue du Cardinal
.
- Culeron, rue du - En 07/1794, les "Affiches de Reims" indiquent la vente d'une maison dans cette rue située près de la porte Mars. Le culeron est une pièce de harnachement qui entoure la queue d'un cheval.
NOTE: Il faut vraisemblablement faire le rapprochement avec la via (ou rue) du Culorum (voir à ce nom) En effet, les 2 voies sont situées dans le même poérimètre (Porte de Mars) Plusieurs rues de la ville ont ainsi vu leur nom changer par les habitants qui ne devaient pas avoir de culture latine et ont cherché un nom s'approchant. Quelqu'un connaisseur en art chevalin a dû trouver ce nom qui a vraisemblablement été officialisé puisqu'un notaire et un journal de l'époque l'ont retenu.
- Culorum, via et rue – Voir Andrieux, rue
- Cure d’air, parc de la (créé en 1814) A la limite de Reims et Tinqueux , sur le site de la bataille de Reims. On y trouve quelques monuments ayant trait à cette bataille de 1814.
- Curie, rue Pierre - Physicien (15/05/1859-19/04/1906) qui découvrit la radioactivité. Il obtint le prix Nobel de Physique avec sa femme (polonaise) et Becquerel. Il découvrit aussi le Polonium et le Radium. Renversé par une voiture. Pendant la 1ère guerre mondiale les voitures radiologiques de l'armée étaient surnommées "petites Curies".
- Cuvier, rue -Jean Léopold Nicolas Frédéric Dagobert, dit Georges (créée en 1975) Naturaliste (23/08/1769-13/06/1832) Père de l’anatomie comparée, il promulgua la loi de corrélation des formes permettant la reconstitution de squelettes. En zoologie, il entama le début de la classification. Père de la paléontologie. Mort du choléra. La rue se termine en impasse
- Cygnes, île des - sur l'étang près de la tour de la Magdeleine.
- Cygne, rue du – Voir Langlet, cours
- Cygnes, tour des - Voir Madeleine, tour de la -ou Belle-Vue, tour
jeudi 18 novembre 2010
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