jeudi 18 novembre 2010

Liste des rues de Reims : S

- Sabart, passage (disparu) Baptisé du nom d’un habitant. La veuve Sabart y tenait un magasin d’ameublement. le passage a été démoli en 1864. Ce passage donnait sur la rue du Cloître et la rue de la Peirière.

- Sabier, impasse -Baptisée du nom d'un habitant.

- Sabine, allée Thierry (créée en 1987) Organisateur de rallyes dont Paris Dakar (13/06/1949-14/01/1986) Il est décédé au Mali dans un accident d’hélicoptère pendant la course.

- Saboterie, chemin de la
Un nom précédent.
-1-A- La Saboterie, lieu-dit (toujours existant)

- Sac, rue au – voir Warnier, rue Jules

- Sacres, pont des - Fléchambeau, porte

- Sacs, rue des – Voir Arbalète, rue de l’

- Sacy, rue de (créée en 1887) Commune prés de Reims. En 1884, la rue allait de la rue de Courlancy dans les champs. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.

- Sadi-Lecointe, rue Joseph (créée en 1958) Aviateur de la première guerre mondiale (11/07/1891 - décédé suite aux tortures de la gestapo le 15/07/1944) En 1914, il fut envoyé à Avord où il forma 1500 pilotes. En 1917, il devint pilote d'essai chez Blériot. Il a battu le record mondial d’altitude : le 11/05/1919, 8155 m puis 11145 mètres le 30/10/ 1923 ainsi que 8 records de vitesse, le dernier à 375 km/h. En 1922, il a eu un accident , son avion s'écrasa , il en sortit indemne. le 20/04/1934, il doit s'éjecter de son avion en flamme à 4000 mètres. Il a été résistant pendant la 2ème guerre mondiale.

- Sadi-Lecointe, square joseph

- Sainct Marcel les Parys, faubourg  - Donné par Jean Pussot en 1579.

- Saint-Adrien, tour (construite au 14ème siècle.- Disparue depuis) C'était la 19ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle. 7 saints ont porté ce nom. Une église Saint-Adrien hors les murs existait à proximité et a été rasée en 1358.

-Saint-Albert, rue – Voir Grandval, rue
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- Saint André, impasse
En 1864, elle donnait place Saint André. Premier apôtre de Jésus, dit "protoklite" La croix de son supplice était en forme de X. Elle a donné son nom à ce type de croix.

- Saint-André, parvis et square – Voir Warnier, parvis du chanoine

- Saint-André, place – voir Chevrier, place du docteur

- Saint-André, rue, parvis et square – Voir Guyot, rue Raymond.

- Saint-André, rue – Voir , Prieur de la Marne rue.

- Saint-André, rue Haute – Voir Prieur de la Marne, rue

- Saint-André, rue Traversière – Voir Mabillon, rue
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- Saint Ange, cour -disparue
Elle donnait dans la rue du Barbâtre en 1864. Ce nom fait référence à l'archange Saint Michel..

- Saint-Antoine, chemin de – Voir Henrot, rue Henri

- Saint-Antoine, passage – Voir Gaulle, avenue Général De

- Saint-Antoine, rue et place– Voir Université, rue de l’

- Saint-Antoine, tour (construite au 14ème siècle.- Disparue depuis) C'était la 29ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle.

- Saint-Benoît, rue (créée entre 1906 et 1911) - Voie différente de ci-dessous Elle longe l’église du même nom construite en 1911. Saint-Benoit de Nurcie (480/490-547) créa l’ordre des Bénédictins. La rue était située prés de l’église de ce nom. Une chapelle Saint-Benoit dans le même quartier , construite en 1895 a été démolie en 1974.
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- Saint-Benoît, rue – Voir Colasse, rue - Voie différente de ci-dessus

- Saint-Bernard, fontaine (construite au 14ème siècle-disparue) Elle était située entre la rue de Vesle et la rue de Thillois.

- Saint-Bernard, rue (baptisée en 1765- nom repris en 1841) - Voie différente de ci-dessous -Ce nom rappelait le prieuré de Saint-Bernard du 16ème siècle dont l’entrée était rue du Bourg de Vesle. La rue était déjà connue à cette époque. Elle reliait la rue Chantereine à la rue Tournebonneau. Elle a disparu dans la restructuration du quartier Saint-Remi. En 1869, elle était recouverte d’un plancher. Saint-Bernard de Fontaine était abbé de Clairvaux (1090-20/08/1153) qu’il avait fondé et qui possédait plusieurs maisons dans Reims au 18ème siècle.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Versailles, chemin de 
-1-B- Versailles, rue de -Cette rue a été regroupée avec la rue Saint-Bernard à une date non précisée (postérieure à 1756). Son nom viendrait du latin « versus. » C’était une rue mal pavée où les chariots versaient. (aucun rapport avec la ville)
-2-A- Lycurgue, rue de (baptisée en 1794) Philosophe de Sparte (3ème siècle ) Son nom signifie « Celui qui tient les loups à l’écart » Regroupée en 1841.

- Saint-Bernard, rue (créée en 1972) -Voie différente de ci-dessus Nouvelle rue dans le même quartier donnant sur la rue des Capucins.

- Saint-Bernard, rue – Voir Chanteraine, rue -Voie différente de ci-dessus

- Saint-Berthault, rue – (créée au 17ème siècle. - disparue depuis) Ce nom n’existe pas dans la liste des saints . Il aurait vécu au 12ème siècle. A priori, il n’y a pas eu d ‘édifice religieux de ce nom à Reims. La rue était située près de la rue du Cadran.

- Saint-Brice, ancien chemin ou chemin de – Voir Bruyant, rue

- Saint-Brice, impasse de - (disparue en 1929).

- Saint-Brice, pont de

- Saint-Brice, route de -La Neuvillette (créée en 1952)

- Saint-Brice, route de – Voir Maître, rue Pierre -Même voie que ci-dessou

- Saint-Brice, route de – Voir Renan, rue Ernest -Même voie que ci-dessus

- Saint-Brice, rue de (créée en 1840) Commune de la communauté de communes de Reims.C’était aussi un diacre de Saint-Martin qui lui succéda à l’évêché de Tours, mort en 443. En 1864, la rue partait de la rue de Trianon.

- Saint-Brice, rue de (la Neuvillette) (créée en 1970)

- Saint-Bruno, parc et église du même nom. - Dans le quartier Croix Rouge.

- Saint-Bruno, rue (créée en 1887) Théologien (1035-1101) Fondateur du couvent de la Grande Chartreuse en 1084. L'établissement du Mont-Dieu, rue du Barbâtre, faisait partie du même ordre. Chanoine à Reims. Il est présenté dans certains écrits comme archevêque de Reims. Son nom n’a pas été trouvé dans la liste de ces prélats. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Saint-Celsin, porte – Voir Sainte-Balsamie, porte

- Saint-Charles, impasse. (créée en 1929) C’est le nom d’un village qui a disparu, et aussi à cause de la présence d’une statue du saint dans la rue. Il doit s’agir de Saint-Charles Borromée, mort en 1584. Voir noms fantaisistes donnés par un imprimeur.

- Saint-Charles, passerelle
Sur le canal, elle donne avenue Brébant.

- Saint-Charles, place

- Saint-Charles, rue (baptisée en 1894) Origine : une statue du saint sur une maison. La rue a été nommée par les habitants. 10 saints ont porté ce nom. Mais il doit s’agir de Saint-Charles Borromée.
Un nom précédent
-1-A- Saint-Charles, lieu-dit -Des étangs permettaient l’hiver de patiner. Cette possibilité était signalée par des drapeaux entre autre place Royale jusque dans les années 1950. Ce lieu-dit donnait rue du Bois d’Amour.

- Saint-Christophe, rue – Voir Boulard, rue -Voie perpendiculaire

- Saint-Christophe, rue – Voir Brûlée, rue -Voies parallèles

- Saint-Christophe, rue – voir Fuseliers, rue des -Voies parallèles

- Saint-Cosme, rue – Voir Bonne Femme, rue de la -Voie différente de ci-dessous

- Saint-Cosme, rue – Voir Saint-Julien, rue -Voie différente de ci-dessus- Saint-Crépin, rue – Voir Forum, place du
.
- Saint-Crespin, rue - Voir Forum, place du

- Saint-Denis, Ile (connue en 1328) Île sur la Vesle au bout de la rue du Jard actuelle, disparue à la construction du canal.

- Saint-Denis, impasse – Voir Libergier, rue

- Saint-Denis, porte - construite au 11ème siècle
Modifiée au 13ème siècle. des vestiges ont été retrouvés lors de fouilles en 1998 dans la rue Rockefeller. En 1776, un projet d'élargissement de la voie qui mène à cette porte indique les maisons à démolir : N° 1296 (à gauche) - N° 1297 et 1245 à 1250 ( à droite) Rappel : a l'époque les rues étaient numérotées en suivant depuis la porte de Vesle. La porte était située au bout d'une petite voie sans nom bordée par les maisons ci-dessus. Cette voie sans nom débouchait rue Saint Denis sur le côté de l'église du même nom. Une église Sainte Catherine existait à l'angle des 2 rues après la maison 1250.
Un nom précédent
-1-A- Saint-Denis, poterne (disparue en 1651) Remplacée par la porte. Elle se situait au niveau de la médiathèque Falala.
.Note : Certains auteurs la place en antécédent de la rue de l'Âge Viril (soit rue Chanzy)
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- Saint-Denis, rue – Voir Chanzy, rue

- Saint-Eloi, faubourg – Voir Martin-Peller, rue

- Saint-Eloi, grande rue du faubourg – Voir Epernay, avenue d

’- Saint-Esprit, rue – Voir France, cours Anatole

- Saint-Étienne, chemin de – Voir Lesage, rue - Même voie que ci-dessous

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Saint-Étienne, chemin de – Voir, Husselle, rue de la - Même voie que ci-dessus

- Saint-Étienne, impasse Baptisée du nom de l’église détruite en 1795 et qui se trouvait à l'angle de la place Godinot et de la rue de l'Université, côté cathédrale. Saint-Étienne était un apôtre, de Stéphanos « le Couronné » Mort en 36 ap. JC. Elle ouvrait 48 rue Saint-Symphorien.
Particularité : Il n’y a aucune ouverture sur les bâtiments alentour, il y a 3 murs aveugles.

- Saint-Etienne, place (disparue en 1791)

- Saint-Étienne, ponts de

- Saint-Étienne, rue- Voir France, cours Anatole -Même voie que ci-dessous

- Saint-Étienne, rue – Voir Université, rue de l’ -Même voie que ci-dessus

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Saint-Étienne, rue – Voir Lesage, rue Voie différente de ci-dessus -Même voie que ci-dessous

- Saint-Étienne, rue – Voir Husselle, rue de la Même voie que ci-dessus

- Saint-Exupéry, rue Antoine Jean Baptiste Roger de (baptisée en 1958) Aviateur, écrivain (29/06/1900-31/07/1944) Sa mort a longtemps été un mystère. L’épave de son avion a été retrouvée en Méditerranée en 2004 puis suivi par les aveux d’un aviateur allemand en 2008 qui a reconnu avoir tiré sur un Lightning (chasseur bimoteur américain) Il était un pilote distrait, les mécaniciens l’avaient surnommé « Pique la Lune » Un sommet argentin de 2558 m porte son nom.
Un nom précédent.
-1-A- Potencière, rue de la

- Saint-Fiacre, rue -Moine celte (vers 610-670) Patron des maraîchers et des jardiniers nombreux dans le quartier. Même voie que ci-dessous

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Saint-Fiacre, rue – Voir Bocquaine, chaussée Même voie que ci-dessus

- Saint-Georges, tour - Voir Plomberie, tour de la

- Saint-Gilles, cour - (créée en 1876) mais connue en 1791 .Origine grecque, Aegidius (550- 590) Elle s’ouvre 110 rue du Barbâtre et 120 rue Ponsardin.

- Saint-Guillaume, rue – voir Sarrail, rue du généra

-l- Saint Hilaire, cour (disparue en 1914) La cour ouvrait 5 rue Saint-Hilaire.

- Saint-Hilaire, rue -nom repris.Le nom de ce saint vient de » hilarité » ou Altus (315/367)Une cour ouvrait au numéro 5 de la rue. A l’origine, la rue menait à l’église du même nom surnommée l’« Église de la Noblesse ». Colbert y fut baptisé en 1619. L'église fut vendue en 09/1791 au titre des Biens Nationaux pour la somme de 18000 livres (Journal de la Champagne) Son portail s'ouvrait au numéro 10 de la rue; en 1855; elle fut prolongée jusqu’aux remparts. Elle  était tortueuse entre plusieurs cours. En 1852, la rue a été pavée. En 1864, elle allait de la rue Andrieux au boulevard de Mars.
2 noms précédents.
-1-A- Saint-Hilaire, rue
Note : une autre église du même nom avait été construite hors les murs sous Saint Rémi, devant la porte Mars.
-1-B- Gloire, rue de la - (baptisée en 1794)

- Saint-Hilaire, tour . C'était la 20ème tour depuis la porte à Vesle. Située près de l'église du même nom.
2 noms précédents.
-1-A- Myneau derrière Clermaretz, tour du (construite au 14ème siècle)
-1-B- Moineau, tour du (baptisée en 1846) Ces 2 noms sont des sobriquets car il semblait que la toiture était prête à s’envoler comme un moineau au moindre coup de vent.
Autre explication : un moineau était un ouvrage de défense devant un rempart, ouvrage à éperon destiné à protéger les fossés et disposés environ tous les 60 mètres, d’après Dürer et le bulletin archéologique breton de 1899. Dans l’ouest, on disait « Moennaux » et dans le nord "Mosnet" A Reims, des moynetz (pluriel) ont été construits en 1470 entre la porte Chacre et la porte Régnier-Buiron; En 1513, entre la tour Serpentine et le Champ de la Bellangière, puis d’autres en 1517, 1531, 1553. Un ouvrage de ce genre aurait été démoli au 17ème siècle et remplacé par la tour du Moineau. Ces 2 noms sont donnés par Brissart-Binet.

- Saint-Honoré, rue - (créée au 18ème siècle - Disparue depuis) Évêque d’Amiens, mort en 600.

- Saint-Hubert, rue dite – Voir Guernier, rue

- Saint-Jacques, impasse et rue – Voir Condorcet, rue

- Saint-Jacques, passage - (renommé en 1903) Il ouvre 26 rue de Vesle et donne dans le square Saint-Jacques prés de l’église du même nom, Saint-Jacques le Majeur, du 12ème siècle au 14ème siècle, la plus ancienne église de Reims encore debout actuellement. A la révolution , elle devint écurie, caserne puis prison. Rendue au culte en 1802. Autrefois ce passage était prolongé en angle droit par l’impasse Saint-Jacques devenue rue Condorcet après percement (D’après l’annuaire Matot-Braine de 1878) Un plan parcellaire de 1880 place le passage Poterlet collé à l’arrière de l’église Saint-Jacques. Il y a doute avec un emplacement du passage à la place de la galerie Condorcet.
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- Saint-Jacques, place - Nom non officiel donné par certains éditeurs de cartes postales pour la partie de la place Drouet-d'Erlon située près de l'église du même nom et ou se trouve la fontine de la Solidarité.
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- Saint-Jacques, plate-forme – Voir Neuve, porte

- Saint-Jacques, rue – Voir Dormoy, rue Marx Voies perpendiculaires

- Saint-Jacques, rue – Voir Condorcet, rue Voies perpendiculaires

- Saint-Jacques, square - (créé en 1925) Derrière l’église du même nom. On y accède côté rue de Vesle par le passage Saint Jacques et par un passage sans nom sous un avant-porche gothique.
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- Saint-Jacques, tour (construite au 14ème siècle. -disparue) C'était la 8ème tour des remparts depuis la porte a Velle. Elle était située derrière les Promenades actuelles. Elle aurait  été située approximativement au niveau du 47 rue de  vesle.

- Saint-Jacques le Joustier, rue – voir Bertin, rue Henri

- Saint-Jacques le Joutier, rue – Voir Bertin, rue

- Saint-Jean, impasse - (créée en 1876 - disparue après 1892)

- Saint-Jean, place – Voir Rousseau, place

- Saint-Jean, rue – Voir Rousseau, rue Jean Jacques -Voie différente de ci-dessous

- Saint-Jean, rue – Voir Venise, rue de - Voie différente de ci-dessus

- Saint-Jean, square - La Neuvillette (créé en 1970)

- Saint-Jean, terrasse de -Elle était située derrière l’église Saint-Jean-Césarée.

- Saint-Jean Baptiste, parvis -Devant l'église du même nom. En grec, leo kanann dit Jean le Baptiste ou Saint-Jean le Baptiste, mort en 28 après JC. Suite à des fouilles dans les années 1970, on a découvert une salle romaine ronde avec pilier central qui pouvait servir d’hypocauste.
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- Saint Jean Baptiste de la Salle, rue - Voir Jacquin, rue et rue de l'Arbalète

- Saint-Jean Césarée, impasse - (créée en 1929 - disparue depuis) Elle était située prés de l’église Saint-Jean construite au 12ème siècle et détruite à la Révolution. Elle formait une partie de la voie ci-dessous. ( voir cour Brûlée) En 1892, elle ouvrait 26 rue Saint-Jean d’après l’annuaire Matot-Braine de 1891 ou 16 rue Saint-Jean Césarée d’après l’annuaire de 1920.
2 noms précédents pour partie.
-1-A- Caesarea, voie (connue au 2ème siècle - En partie)Flodoart parle d’une voie Casarea  
-1-B- Brûlée, cour - (baptisée en 1883)

- Saint-Jean Césarée, rue -Elle donnait place Saint-Nicaise. Elle rappelait que la voie empruntait une partie de la voie Césaréa gallo-romaine. On y a trouvé des traces de l’aqueduc romain de la Suippe. En 1864, la rue allait de la place Saint-Nicaise au boulevard Cérès.
3 voies précédentes regroupées.
-1-A- Saint-Jean-Césarée, rue dite (ou ci-dessous)
-1-B- Césarée dite Saint-Jean, rue
-2-A- Tout n’y Faut, rue de -Elle disposait de 3 puits.
-3-A- Gracques, rue des - (baptisée en 1794) Les 2 frères Gracchus, hommes d’état romains du 2ème siècle av. JC. (A rapprocher de la rue Cornélie)

- Saint-Jean Césarée, rue dite – Voir Saint-Jean Césarée, rue

- Saint-Jean Pied de porc, rue – Voir Venise, rue de

- Saint-Jean Pied de Port, rue – Voir Venise, rue de

- Saint-Jean sur le Jard, rue – Voir Venise, rue de

- Saint-John-Perse, parc (Alexis Saint-Léger, dit) (créé en 1973) Poète, diplomate (31/05/1887-20/09/1975) En 1924, il signait ses œuvres Saint-John Perse ou Alexis Léger-Léger.

- Saint-Joseph, cour - (créée en 1876 - disparu depuis) Dit de Nazareth, mari de Marie mère de Jésus .La cour s’ouvrait sur le cimetière de la Madeleine. Elle était connue en 1861 d’après La Vie Rémoise.

- Saint-Julien, impasse (disparue) En 1884, elle ouvrait au 17 rue Saint-Julien d’après l’annuaire Matot-Braine.

- Saint-Julien, porte – Voir Harmet, porte

- Saint-Julien, rue -. (1880) Même voie que ci-dessous. Le nom vient de Julius, ou Jubilius dit « l’Hospitalier » évêque du Mans, mort en 313 ( voir le martyrologe édité à Florence en 1486) Un oratoire puis une église avec les reliques du saint arrivés ici s’y trouvaient, abandonnés et détruits à la Révolution. L’église finit comme auberge. Les vestiges de l’église ont été transportés en 1912 au chevet de Saint-Rémi. La rue donne dans la rue Dieu-Lumière.
6 voies précédentes aux noms concomitants ou successifs.
-1-A- Lombards, rue des -Des changeurs italiens y étaient établis pour les foires de Saint-Remi.
-2-A- Lombardie, rue de la (ou ci-dessous)
-2-B- Lombarderie, rue de la
-3-A- Saint-Cosme, rue - Elle regroupe la rue des Lombards et la rue de la Lombardie.
-4-A- Saint-Julien, rue- (baptisée en 1765) En 1864, elle allait de la place Saint Thimothée à la place Saint Rémi.
-5-A- Bonne Femme, rue de la (baptisée en 1765) En 1792, d'après "L'Associé Rémois" du 05/06/1792, on voyait au numéro 7 la maison de la "Bonne Femme". Origine : enseigne avec 2 interprétations : 1- une femme sans tête, enseigne d’un charcutier ou 2- une femme arrachant son mari aux délices de la vie. En 1884 elle allait de la rue de Courlancy dans les champs. Les voies 4 et 5 ont été regroupées.
-6-A- Peuple, rue du - (baptisée en 1794)
-7-A- Bonne Femme, rue de la - nom repris.

- Saint-Julien, rue – voir Bonne Femme, rue de la Même voie que ci-dessus

- Saint-Just, rue Louis Antoine de – (baptisée en 1903) Homme politique (25/08/1767-21/07/1794) guillotiné. Il était surnommé « l’Archange de la Terreur « ou « l’Archange de la Révolution. » . En 1886, la demande de baptême d’une rue à ce nom a été rejetée.
4 noms précédents..
-1-A- Longueau, rue de (baptisée au 14ème siècle.) Les moines du monastère du même nom près de Châtillon sur Marne y avait une maison de ville.
-1-B- Anglais, rue des - (baptisée au 17ème siècle)
Nommée à cause du collège des Anglais qui s’y trouvait. Rue baptisée en partie, entre la rue de l’Université et la rue de l’ École de Médecine. Autre partie rue Voltaire (ou ci-dessous) Saint Just, étudiant à la faculté de Droit a habité dans cette rue en 1787 au N° 4, chez le boulanger Fouet. On voyait aussi dans la rue une maison canoniale du Petit Saint Antoine d'après les archives de l'archevêché.
-1-C- Anglois, rue des (D’après le plan Legendre de 1765)
-1-D- Américains, rue des - (baptisée en 1793) En souvenir de la guerre d’indépendance d’Amérique. Rue baptisée en partie, l’autre partie rue Voltaire.

- Saint-Laurent, place (créée en 1976) Martyr (210/220-258) Une église à ce nom existait devant Saint-Rémi au 17ème siècle.

- Saint-Léonard, chemin de -Ermite du 5ème siècle baptisé en même temps que Clovis. C'est aussi une commune au sud de Reims. En 03/1773, on disait aussi Saint-Liénard (Journal de champagne) En patois rémois de 1845, on disait "Saint Yénard"

- Saint-Léonard, cité (créée en 1929) Implantation d’habitations populaires.

- Saint-Léonard, impasse – Voir Butot, rue

- Saint-Léonard, pont de -Il a été construit eb 1782.

- Saint-Léonard, rue - (créée en 1887) Aux alentours de l’an 500, il a été baptisé par Saint-Rémi. Origine du nom : léos+nudus = odeur du peuple.
2 noms précédents.
-1-A- Sillery, rue de -En 1878, cette rue allait du boulevard Gerbert dans les champs.
-1-B- Sillery, vieux chemin de

- Saint-Liez, tour (construite au 14e siècle -Disparue depuis) C'était la 41ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle. Inconnu dans la liste des saints. Il n’y a pas d’église de ce nom à Reims. Voir déformation de Saint-Lié ( voir la chapelle près de Villedommange) ou Saint-Leu.

- Saint-Louis, chaussée (baptisée au 18ème siècle-disparue depuis)
Située entre les voies actuelles : rue de l'Abreuvoir et impasse du Moulin Brûlé. Baptisée du nom de l’hôpital créé par Godinot pour les cancéreux en 1740. Ou autres origines du nom :Saint-Louis =Louis IX Roi de France : (1226-1270), ou Saint-Louis, évêque de Tours.
2 noms précédents, successifs ou concomitants.
-1-A- Morille, rue de la - (baptisée au 16ème siècle.)
-1-B- Buerie, chemin de la (ou ci-dessous) En 1668, c’était le lieu d’implantation de l’hôpital des pestiférés; En 1778, l’hôpital a été transféré de l’hôpital des cancéreux à cet endroit.
-1-C- Burie, chemin de la (baptisée en 1769) Le chemin était situé au bout du faubourg de Velle.
-2-A- Buanderie, chemin de la . Vu sur le plan de l'atlas national de 1875. Les 3 noms précédents ont la même origine: Lieu ou on lavait le linge de l’hôpital.

- Saint-Louis, impasse et rue – Voir Boussinesq, rue Georges

- Saint-Marceaux, boulevard Augustin Marie Guillaume de Paul de (créé en 1885) Maire (04/03/1790-1835/1837-01/04/1870) Fondateur d’une maison de champagne. Il encouragea les Lettres et les Sciences. Il réorganisa le musée des Beaux Arts et la bibliothèque municipale. A l’angle avec la rue Edouard Vaillant, on trouve une fontaine Wallace (voir explication place J. Ferry.)
Note :L'usine Holden dans ce boulevard possédait une cheminée, la 2ème plus haute de France (85 mètres). Elle était située à 1700 mètres des tranchées allemandes en 1914. Les allemands la considérant comme un point d'observation potentiel la bombardèrent pendant 4 ans ( du 13/09/1914 à octobre 1918 ) sans réussir à l'abattre.

- Saint-Marceaux, Petit boulevard de – Voir Berru, rue de

- Saint-Martin, chaussée ( ou Mauron ) Évêque de Tours dit « le Miséricordieux » (vers 316-397) qui passa à Reims en 385. Au 19ème siècle, on découvrit un caveau antique dans l’église du même nom. Cette église était située près de la porte Collaticia.

- Saint-Martin, tour . (construite au 14ème siècle.-Disparue depuis) C'était la 39ème tour des remparts du 14ème siècle depuis la porte a Vesle.

- Saint-Maurice, ban de (connu en 1358 - disparu depuis) Pour caractériser les gens de ce ban, on disait « les gens de par en haut »

- Saint-Maurice, place – Voir Museux, place

- Saint-Maurice, rue ( créée au 17ème siècle et nom repris au 19ème siècle) Martyr en 286. La rue a été établie près de l’église du même nom, fondée par Saint-Martin en 385. L’église actuelle date du 13e Siècle, restaurée plusieurs fois dont la dernière après l'incendie du 3/05/1942. En 1854, en patois rémois, on disait "Saint Maurize" En 1864, la rue allait de la rue du Barbâtre à la rue Neuve. En 1867 au début de la rue on voyait l'auberge de la "Croix Verte"
Un nom précédent
-1-A- Sans Culottes, rue des - (baptisée en 1794) Les révolutionnaires portaient des pantalons et non des culottes.

- Saint-Maurice, tour (construite au 14e siècle - Disparue depuis) C'était la 28ème tour du rempart du 14ème siècle depuis la porte a Vesle.

- Saint-Nicaise, ban de (créé en 1358 - disparu depuis)

- Saint-Nicaise, boulevard, - Voir Hugo, boulevard Victor.

-Saint Nicaise à Cernay, ancien chemin (chemin rural n° 25)
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- Saint-Nicaise, chemin de - Voir Lanson rue

- Saint-Nicaise, cour -Vue sur le cadastre napoléonien de 1819. Elle se situait au bout de la rue du même nom.

- Saint-Nicaise, cul de sac de – voir Sainte-Balsamie, impasse

- Saint-Nicaise, impasse – Voir Sainte-Balsamie, impasse

- Saint-Nicaise, place Voie différente de ci-dessous -baptisée au 19ème siècle, nom repris. Elle est située dans le prolongement des boulevards créés après la démolition des remparts. Elle rappelle le nom de l’abbaye construite pour commémorer le nom du saint, Nicasius, évêque de Reims martyrisé en 407 par les Vandales ou, pour d’autres auteurs, en 450 par les Huns ! L’abbaye faisait suite à une église Saint-Agricole et Saint-Vital, créée par le général gallo-romain Jovin en 365 pour honorer son parent, Agricole, martyr. Saint Nicaise y fut inhumé. L’église a été plusieurs fois réparée mais était fort délabrée au 12ème siècle. La construction d’une splendide abbatiale fut entreprise entre 1229 et 1263, on l'a appelé la "Sainte Chapelle de Reims". l’abbaye était très riche. Elle possédait son propre rempart qui fut incorporé plus tard dans les remparts de la ville dont elle formait une excroissance appelée Pointe Saint Nicaise. Elle passa longtemps à son époque pour une des plus belles églises de France. Elle fut démolie à la Révolution, Saint Rémi dans le même secteur lui ayant été préféré. On peut encore voir les caves de l'abbaye dans les sous-sols de la maison de champagne Taittinger au nord de la place. Sur cette place s'ouvraient 2 autres églises en avant de Saint Nicaise : Sainte Balsamie à gauche et Saint Jean Baptiste, dit aussi Saint Jean Césarée à droite. On pouvait aussi voir une fontaine déménagée du Marché aux Draps de la place des Marchés.
Un autre nom :
-1-A- Lucrèce, place - Baptisée en 1794.
Philosophe latin épicurien (-98 /-54 avant JC )

- Saint-Nicaise, place ou pointe – Voir Gouraud, place du général Voie différente de ci-dessus

- Saint-Nicaise, porte (ou poterne)- (créée en 1220,murée en 1358.) Elle avait été rebaptisée ‘Porte Condamnée » Remplacée par la porte Dieu-Lumière construite en 1620, démolie en 1818. Elle était située au bout de la rue Saint-Jean Césaré.
Un nom précédent
-1-A- Martyrs, porte des -Parce qu’elle donnait accès à la Pompelle ou des martyrs chrétiens ont été exécutés.

- Saint-Nicaise, rue Voie différente de ci-dessous

- Saint-Nicaise, rue de – Voir Lanson, rue Voie différente de ci-dessus

- Saint-Nicaise, square - appelé aussi "Parc des buttes Saint Nicaise" (créé en 1870) Sous le rempart Dieu-Lumière. Sur la butte qui est comprise dans ce square, on peut voir les ruines de la Tour du Puits du 14ème siècle. Un projet de rénovation de 2007 a été annulé par la nouvelle municipalité en 2008. A la base de cette butte, on peut voir l'entrée d'un souterrain. Également sur le terrain qui borde la place du général Gouraud, on peut voir une sculpture de Paul Landowski intitulée " le premier architecte" . Ce monument se trouvait précédemment dans le jardin des Tuileries à Paris; il a été donné à la ville de Reims en 1932.
4 noms précédents successifs ou concomitants.
-1-A- Tour du Puits, place de la (ou ci-dessous)
-1-B- Tour du Puits, rue de la - En 03/1793, on disait aussi -rue du Tour du Puits. Et en 07/1802, les Affiches de Reims indiquent la vente d'une maison rue Tour du Puits.
-1-C- Réservoirs, place des - (ou ci-dessous) (baptisée en 1841) Elle donnait rue des Réservoirs.
-1-D- Réservoir, place du (D’après Tarbé) Située près de la porte Saint-Nicaise.

- Saint-Nicaise à Cernay, chemin rural de- Voir Crayères, rue des

- Saint-Nicolas, cour (disparue) Dit « de Myre » ou « de Bari » car ses reliques auraient été volées par des marins de cette ville et il y aurait été ré inhumé (270-310 ou 345) La cour s’ouvrait 11 rue Dieu-Lumière en 1878.

- Saint-Nicolas, place (D’après l’annuaire Matot-Braine de 1912) Elle existait en 1865. Elle va de la rue Irénée Lelièvre à la chaussée du Port. Elle se situait à l'angle de la rue des Créneaux.

- Saint-Patrice, rue et cour– Voir Université, rue de l’

- Saint-Philippe, tour (construite au 14e siècle.- disparue depuis) C'était la 9ème tour depuis la porte a Velle. Apôtre. Origine du nom : Philos + Iper. Mort en 62.

- Saint-Pierre, cul de sac ou impasse de–Voir Carrouge, impasse ou cul de sac du

- Saint-Pierre, corps de garde de (tour du) (construite au 14e siècle.- Disparue depuis) Près de Chativesle.
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- Saint-Pierre, cour - disparue au 19ème siècle.

- Saint-Pierre, impasse (disparue) Elle donnait 7 place du Quarrouge en 1884 . En 1914,  l'imprimerie Matot-Braine y était installée.
Un nom précédent.
-1-A- Petite Rigole de Saint-Pierre C’était une voie étroite et souvent inondée.

- Saint-Pierre, place – Voir Godinot, place

- Saint-Pierre, quarrel de (connu en 1328) Situé autour de l’église Saint-Pierre le Vieil.

- Saint-Pierre, terrasse de   -Elle était située derrière Saint-Pierre les Dames.

- Saint Pierre, tour de - Voir Tirelire, Tour de

- Saint-Pierre aux Dames, rue (ou ci-dessous)
2 noms concomitants ou successifs
-1-A- Saint-Pierre les Dames, rue - autre nom. (Baptisée au 15e siècle) Elle a été percée à travers le domaine de l’abbaye du même nom du 6ème siècle. Appelée aussi Saint-Pierre aux Nonnains à la Renaissance. (Nonnes) Elle donnait rue du bois de Vincennes. En 1864, l rue allait de la place Godinot à la rue des Murs. Au 15ème siècle, on y pratiquait la vente pour les chaînes de fils de lin. En 1666 un décret lui en réservait la vente.
Anecdote :Le 18 septembre 1914, une bombe a atteint une maison de la rue faisant voler une chaise au plafond ou elle est restée accrochée. Ce n'est pas un cas unique ( voir avenue d’Épernay- la chaise au plafond ou café des Sportsman) Cette maison ayant été rasée et non reconstruite, seul reste en souvenir la maison de l'avenue d’Épernay
-1-B- Saint-Pierre les Dames,
rue neuve

- Saint-Pierre et Saint-Paul, rue – Voir Trois Raisinets, rue des

- Saint-Pierre et Saint-Pol, rue – Voir Trois Raisinets, rue des- Saint-Pierre le Joutier, rue – Voir Cadran Saint-Pierre, rue du- Saint-Pierre le Vieil, rue de – voir Cadran Saint-Pierre, rue du

- Saint Pierre le Joutier, rue - Voir Cadran Saint Pierre, rue
.
- Saint Pierre le Vieil, tourelle. Elle faisait partie du rempart du 14ème siècle. C'était la 14ème tour depuis la porte a Vesle.

- Saint-Pierre le Vieux, rue de – voir Cadran Saint-Pierre, rue du

- Saint-Pierre le Viez, rue de – Voir Cadran Saint-Pierre, rue du

- Saint-Pierre les Dames, corps de garde (tour du) (14ème siècle. Disparue depuis) C'était la 24ème tour depuis la porte a Velle. Et poterne ou, en 1191, l'évêque de Liège, Albert y aurait été assassiné par des envoyés de l'empereur germanique. (ou ci-dessous) La poterne a été mure en 1358.Elle était située au bout de la rue du Levant.
Un nom concomitant.
-1-A- Neuve, porte. Au niveau de la place du Général Giraud actuel ( plan du 14ème siècle) Murée en 1358. Rouverte épisodiquement. Est-ce la même que la tour Saint-Pierre ?

- Saint-Pierre les Dames, fontaine (construite au 18ème siècle) En 1842, reconstruite et en 1904, reconstruite de nouveau. Elle était située place Godinot actuelle. Dite aussi fontaine Godinot .

- Saint-Pierre les Dames, place – Voir Godinot, place

- Saint-Pierre les Dames, rue – Voir Saint-Pierre aux Dames, rue de

- Saint-Pierre les Dames, rue Neuve – Voir Saint-Pierre aux Dames, rue de

- Saint-Pol, Avenue du Général Jules de - (baptisée en 1887)(16/12/1810-08/09/1855) En 1831, il a été envoyé par la France pour organiser l’armée belge. Il a combattu en Italie, en Afrique. Décédé à la bataille de Sébastopol, à la prise de la tour de Malakoff. En 18898, elle allait du boulevard Dieu-Lumière à la rue Tournebonneau.
Un nom précédent.
-1-A- Dieu-Lumière, boulevard intérieur de

- Saint-Quentin, impasse de (créée en 1929) Impasse baptisée suite aux appellations fantaisistes d’un imprimeur. On lui a donné le nom d’un apôtre venu en Gaule et martyrisé dans la 2ème moitié du 3ème siècle. La voie a été prolongée suite à une délibération du conseil municipal de 09/2007. Cette dernière partie a été baptisée suite à des accords culturels avec la ville de Saint-Quentin dans l’Aisne.

- Saint-Rémi, ban de (connue en 1358 - disparu depuis)

- Saint-Remi, clos (disparu) Terrain donnant rue Fléchambault ou derrière le parc Pommery ( d'après les articles sur l'atterrissage de Farman à Reims en 1909.) La première situation est la plus vraisemblable. Voir avenue Farman.

- Saint-Rémi, cour – voir Ladame, place du chanoine

- Saint-Rémi, halle – Voir Marché Saint Remi

- Saint Rémi, île - En 1333 elle existait au milieu des bras de la Vesle devant la porte Fléchamabault . Elle aurait été le siège d'une mairie dont le 1er maire aurait été "Gérard le Jardinier"


- Saint-Rémi, parc (créé en 1976) Évêque de Reims (vers 437-533) Il fait partie des 5 patrons catholiques de la France. Il convertit Clovis roi des Francs en 496 (environ)

- Saint-Rémi, place -Apôtre des Francs (437-533) Guizot signale que l'on trouve dans les écrits anciens: Remides ou Remidius. Place située devant le transept sud de la basilique achevée en 1050. Notons que le plan Legendre de 1765 indique la Cour Saint Rémi et met la place Saint Rémi en façade. Un plan de 1768 indique "Champ de Foire" En 02/1793, on trouvait la "grange Saint Laurent" et la maison dite la "Cense de Saint Rémi". Victor Hugo, lors d’un passage à Reims remarqua le sonneur de l’église dont il fit son personnage Quasimodo.

Au cours des siècles, il y a eu 3 églises de ce nom au même lieu.
-1-A - Peuple, place du  - Baptisée en 1794
Au début du 20ème siècle , on pouvait voir sur la place une vespasienne prés d'un marchand de vin ! et l'édicule portait une publicité pour Byrrh.

- Saint-Rémi, porte- Voir Droits de l’Homme, place des

- Saint-Rémi, route de – Voir Gambetta, rue

- Saint-Rémi, rue – voir Navier, rue
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- Saint Rigobert, cour - En 1864 elle ouvrait rue du Grand Cerf. Saint Rigobert, né en 630 (date attestée par plusieurs auteurs) ou Saint Robert, moine bénédictin qui devint archevêque de Reims en 698. Il fut exilé par Charles Martel (il avait refusé de lui ouvrir les portes de la ville) et rappelé par Pépin. Il mena ensuite une vie d'ermite. Il est mort en 743.

- Saint-Saëns, rue Camille (créée en 1982) Compositeur romantique. (09/10/1835-16/12/1921) Il donna son premier concert à 11 ans. Premier organiste du monde d’après certains. En 1870, il s'engagea dans la garde nationale puis voyagea en Angleterre et en Russie. Il fut le premier à introduire l'orgue dans la symphonie. Il était chauvin et rejetait tous les compositeurs étrangers.
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- Saint Sixte, cour
Une chapelle dédiée à cet évêque existait depuis le 5ème siècle. Elle fut démolie en 1710 du fait de sa vétusté. Des habitations furent construites et l'espace central prit ce nom . Cette cour était toujours visible en 1823.

- Saint-Sixte, rue (ou ci-dessous) ( nom repris au 19ème siècle) Pape de 432 à 440. Son nom vient de Sion (dieu) et status (état) ou Sixte : assis. La rue était située prés de l’oratoire du même nom créé par Saint-Sixte, premier évêque de Reims. Cet oratoire est considéré comme la première cathédrale de Reims, édifiée à l'emplacement des N° 14 et 16 de la rue actuelle démolie en 1676 car elle ne comptait plus que 2 paroissiens. Saint Pierre l'aurait envoyé pour évangéliser les habitants de la ville. La rue est parallèle à la rue du Cloître. Elle donne rue Césarée. Une cour sans nom a son accès au 6 de la rue.
2 noms précédents,
-1-A- Saint-Xixte, rue ( D’après un plan de 1791)
-1-B- Patriotes, rue des - (baptisée en 1794)

- Saint-Soussin, porte – Voir Sainte-Balsamie, porte

- Saint-Symphorian, rue – Voir Saint-Symphorien, rue

- Saint-Symphorien, impasse (baptisée en 1929) Elle donnait dans la rue du même nom.

- Saint-Symphorien, quarrel de (connu en 1328)

- Saint-Symphorien, rue - (ou ci-dessous) (nom repris en 1841) Martyr en 280. Son nom viendrait de « symphonie » d’après Averroës. La rue doit son nom à l’église éponyme qui aurait été érigée à la place d'une chapelle édifiée par Saint Sixte. La tour servait de beffroi ou tour de guet. Lors de fouilles en 2008 on a découvert une riche demeure de l’époque d’Auguste (20 Ap JC) comportant une mosaïque, un mur datant d’environ 2000 ans, un ensemble thermal du 4ème siècle et un habitat du 16ème siècle ainsi que des sculptures. L’ancienne église Saint-Symphorien détruite en 1796 s’ouvrait dans cette rue. En 1864, la rue allait de la rue Sainte Marguerite à la place Godinot. En 1900, lors de fouilles, on a découvert les traces d'une voie romaine parallèle à la rue à environ 20 mètres au nord et qui devait passer devant l'église du même nom.
3 rues précédentes ayant porté plusieurs noms concomitants ou successifs.
-1-A- Saint Symphorien, rue (ou ci-dessous)
-1-B- Saint-Symphorian, rue (D’après un plan de 1791) Elle donnait dans la rue Sainte-Marguerite et allait jusqu’à la place Saint-Pierre les Dames près de l’église du même nom détruite à la Révolution. En patois rémois de 1845, on disait "Saint Syphorien".
-2-A- Targavant, rue (ou ci-dessous)
-2-B- Tarvagant, rue (ou ci-dessous)
-2-C- Tervagant, rue -d’après Jadart (baptisée en 1548) Tervagant ou Tarvagant était un dieu souvent cité en incantation, lié à Mahomet (1395) Certains historiens de l’époque parlaient de l’infâme culte de Tervagant suivant le Dictionnaire des Légendes du Christianisme. Tervagant était aussi le nom d’un oncle de Roland (chanson de Roland) Le nom « Targavant » est apparemment inconnu, il doit s’agir d’une déformation.
-3-A- Héroïsme, rue de l’ - (baptisée en 1794)
-4-A- Petit Pas, rue du - enseigne (ou ci-dessous)
-4-B- Petits Pas, rue des (d’après Tarbé) Elle aurait donné dans la rue du Bois de Vincennes.
-5-A- Bois de Vincennes, rue du (ou Bois de Vincelles)( baptisée en 1836) Prolongement de la rue du Petit Pas.

- Saint-Thiery, chemin de – Voir Vaillant-Couturier, rue Paul.

- Saint-Thiery, impasse de – Voir Maillefer, rue

- Saint-Thierry, rue - (créée en 1840) Même voie que ci-dessous Origine : un village prés de Reims ou Guillaume de Saint-Thierri, ermite (1075-1148) En 1964, la rue allait du faubourg de Laon dans les champs.

- Saint-Thierry, rue – voir Fouriaux, rue Marie Clémence Même voie que ci-dessus

- Saint-Thierry à Reims, chemin de

- Saint-Thimote, place – Voir Saint-Timothée, place

- Saint-Thimothée, fontaine (ou ci-dessous) (construite au 18ème siècle avant les fontaines « Godinot » pour amener l’eau de la Vesle sur la place du même nom). Elle était située en haut de la rue des Créneaux.
Un nom concomitant. 
-1-A- Saint-Timothée, fontaine

- Saint-Thimothée, place – Voir Saint-Timothée, place de

- Saint-Thion, rue – Voir Saint-Yon, rue

- Saint-Thomas, place (créée en 1866 ) Apôtre – Saint-Didyme en grec. Dans la première moitié du 19ème siècle, il n’y avait que des champs sauf en 1800, une auberge à l’angle des avenues de Laon et Neufchâtel actuels. Avec l’arrivée du train à Reims, des employés et ouvriers du chemin de fer vinrent s’installer dans ce secteur. Le cardinal Thomas Goussez (01/05/1791-22/12/1866) archevêque de Reims depuis le 13/07/1840 puis cardinal le 30/09/1852 fit construire une église sur un terrain nu près de l’emplacement des anciennes arènes. L’église fut consacrée le 11/04/1864. Le corps du cardinal repose dans l’église. Un buste en bronze du cardinal, érigée à gauche de l'église a été emporté par les allemands pendant la 2ème guerre mondiale. Le nom de l’édifice rappelle un ancien oratoire et un cimetière tous deux disparus et ayant portés ce nom. Ils étaient situés au début de l ‘avenue de Laon actuelle. En 1929, après la première guerre mondiale, on pouvait voir sur la place, à gauche de l'église, 3 baraquements provisoires. La paroisse du faubourg de Laon dont l’église fait partie a un patron en date du 15/03/2009, en la personne de Marcel Callo, typographe de Rennes (06/12/1921-19/03/1945) parti au STO en Allemagne (service du travail obligatoire) ou il eut une action importante auprès des catholiques allemands. Arrêté et interné le 19/04/1944 dans un camp de concentration ou il est décédé, il a été déclaré « Bienheureux » par le Pape Jean Paul II.
On situait les arènes gallo-romaines sur cette place et même sous l’église. Des fouilles de janvier 2008 ont invalidé cette option, elles auraient été situées plus à l’est sous la rue Périn et la rue Maillefer, parallèle à l'avenue de Laon. Leur emplacement exact a toujours fait débat. Un acte notarié du 11/04/1853 pour la vente d’un terrain à l’adresse actuelle du 3 bis boulevard Charles Arnould ( à environ un kilomètre à l’ouest) indique qu’il s’agit du lieu-dit « Mont des Areines « Voir à ce nom.

- Saint-Thomas, faubourg de – Voir Laon, avenue de

- Saint-Thomas, rue – Voir Thomas, rue du docteur

- Saint-Timothée, fontaine – voir Saint-Thimothée, fontaine

- Saint-Timothée, place (ou ci-dessous) (baptisée en 1841) -La place a été nommée d’après une église du même nom , dédiée aussi à Saint Apollinaire qui se trouvait à proximité. Église dégradée au 10ème siècle, restaurée et embellie du 11ème au 13ème siècle. La rue était longée par les remparts du Bour Saint Rémi. Elle glorifiait les martyrs rémois à la Pompelle (butte au sud de Reims, à l’ouest de la route de Chalons), Ces martyrs étaient Timothée, Apollinaire et Maure. Le premier était venu d’Orient au 2ème siècle d’après Guizot pour évangéliser les Rémois. Son nom viendrait de « Timor » créature de Dieu. C’était une des plus anciennes églises de Reims, vraisemblablement du 10ème siècle et qui a été détruite à la Révolution. Cette église était le point de départ de la procession vers la Pompelle ou ils ont été martyrisés avec une cinquantaine de prosélytes. En 1738, on découvrit un mausolée du 3ème siècle doté de fresques  sous le clocher. Lors de la vente au titre des biens nationaux de l'église en 01/1791, obligation était faite à l'acquéreur de maintenir ce lieu en parfait état. Jusqu’en 1914, la place ne comportait que des maisons moyenâgeuses. Actuellement, il n’en reste plus que 3 debout. En 1914,  on trouvait le "Bazar saint Timothée" et l'épicerie "Meisterzheim". En 1914, le café "A l'aviation", le serrurier "Niclot", la pharmacie "Lartilleux" et la menuiserie " A.Poisy" est devenue "veuve Poisy" revendeuse. La boulangerie "Belmair jeune" . Sur cette place on trouvait également une fontaine qui était la première des fontaines « Godinot » inaugurée le 5 août 1747. Elle était située à l’angle de la rue des Créneaux et communiquait avec un lavoir situé rue des Martyrs. Elle a disparu vers 1850. En 1869, on pouvait voir un cadran solaire au N° 8. En 1875, les rues du Cerf, Aubert et Dieu-Lumière y aboutissaient.
Il y a eu plusieurs noms précédents de 2 voies distinctes.
-1-A- Ban de Saint Remy, place du -D’après Maurice Hollande.
-1-B- Saint Thimothée, place ( ou ci-dessous)
-1-C- Saint Thimote, place (d’après un plan de 1791)
-1-D- Halle Saint Rémi, place de la (baptisée en 1765) Une halle y était implantée au centre de la place. Un gibet y était installé.
-1-E- Saint Rémy, halle (connue en 1650)
-1-F- Halle de la Montagne, place de la -baptisée en 1794. Ce pouvait être parce que cette place était située dans les parties hautes de la ville, mais aussi, étant donné la date du baptême, le rappel du groupe politique de la Convention lors de la Révolution. Ce groupe siégeant sur les bancs les plus hauts de l’hémicycle était emmené par Danton, Barat et Robespierre.
-1-G- Bonnet de la Liberté, place du -Baptisée en 1794.
-1-H- Marché Saint-Rémi. La halle a été démolie en 1841.

- Saint-Thomas, square (créé en 1988) Près de l’église du même nom.

- Saint-Urbain II, rue – Voir Marteau, rue

- Saint Victor, cour -  Située près de la cour du même nom.

- Saint-Victor, tour – voir Vesle, porte de

- Saint-Vincent, cul de sac de (D’après un plan de 1769) Il existait 11 saints du même nom. Celui-ci doit être « de Saragosse « ? Martyr en 304. Le cul de sac donnait rue du Bois de Vincennes.

- Saint-Vincent de Paul, place (créée en 1966) Prêtre (24/04/1581-27/09/1660) Aumônier des galériens. Il a été capturé par des pirates en 1605, évadé 2 ans après. En 1625, il fonda la Congrégation de la Mission qui devint les Lazaristes. En 1633, il fonda les « Filles de la Charité » En 1643, Louis XIII est mort dans ses bras. Il fut proclamé Saint en 1737.

- Saint-Xiste, rue – Voir Saint-Sixte, rue

- Saint-Yon, rue (ou ci-dessous, plus vraisemblable) (baptisée en 1765) En 1856, de la rue Macon à la rue Marqueuse. En 1864, elle allait de la rue Sainte Marguerite à la rue Macon. En 1876, elle allait de la rue du faubourg Saint-Thomas dans les champs
2 noms précédents concomitants ou successifs.
-1-A- Saint-Thion, rue (d’après certains auteurs.) Saint-Yon ou Thion aurait été disciple de Saint-Denis l’Aéropagite, évêque d’Athènes au 4ème siècle. certains privilégient Saint-Yon. Tarbé le rapproche de Saint-Denis, l’apôtre des parisiens. Qui a bon ? Il existait également une famille Saint-Yon qui a peut-être habité dans le quartier.
- 1-B- Désintéressement, rue du - (baptisée en 1794)

- Sainte-Anne, faubourg – voir Fléchambault, rue

- Sainte-Anne, place (créée entre 1906 et 1911) Au 12ème siècle, la léproserie du même nom ( dite aussi Saint-Ladre aux Femmes) réservée aux femmes s’y trouvait depuis 1146.
Autre nom .
-1-A- Sainte-Anne, cité de (Baptisée brièvement en 1911)

- Sainte-Anne, rue (disparue) Mère de la Vierge Marie ; le nom vient de l’hébreu Hannah. C’est aussi la patronne des bretons. La rue était baptisée du nom d’une chapelle qui s’y trouvait, démolie en 1750. Une auberge proche a récupéré la croix érigée pour en marquer l’emplacement pour en faire son enseigne.

- Sainte-Anne, tour (construite en 1494) C’est la 3ème tour au nord de la porte Mars.
Un nom précédent.
-1-A- Poterne du Temple, tour de la -Elle aurait remplacé la porte Mars murée par Saint-Rémi.

- Sainte-Balsamie, impasse - (baptisée en 1843) Elle ouvre au 8 rue des Salines. Elle rappelle l'église de ce nom. Elle conduisait à l’église Saint-Martin. Elle était connue sans nom en 1665.
3 noms précédents.
-1-A- Saint-Nicaise, cul de sac de
-1-B- Salines, impasse des - (baptisée en 1794)
-1-C- Saint-Nicaise, impasse

- Sainte-Balsamie, porte (disparue)
Autres noms concomitants.
-1-A- Saint-Celsin, porte (ou ci-dessous)
-1-B- Saint-Soussin, porte -Disciple de Saint-Rémi .

- Sainte-Balsamie, rue – voir Salines, rue des Même voie que ci-dessous

- Sainte-Balsamie, rue -(baptisée en 1856) Même voie que ci-dessus Rappel l ‘église de ce nom démolie à la Révolution. On appelait aussi Sainte-Balsamie « Sainte-Nourrice » Elle était la nourrice de Saint-Remi d’après Tarbé ou sa mère d’après Flodoard. Elle était d’origine romaine. Près de l’église il existait une porte dite aussi de Saint-Celsin ou Saint-Soussin, (voir ci-dessus) En 1864, la rue allait de la rue des Salines à la rue Ponsardin et en 1875, du boulevard Dieu-Lumière au boulevard Gerbert.
Autre nom :
-1-A- Salines, rue des - En 1864, elle allait de la rue du Barbâtre à la rue Ponsardin

- Sainte-Barbe, rue - (baptisée au 16ème siècle. -Disparue depuis) Sainte du 3ème siècle. Son nom viendrait de « Barbara »

- Sainte-Catherine, rue – Voir Rockefeller, rue Même voie que ci-dessous

- Sainte-Catherine, rue – Voir Libergier, rue Même voie que ci-dessus

- Sainte-Claire, impasse – Voir Soussillon, impasse

- Sainte-Claire, place (baptisée en 1935) Prieuré de Clairmarais et béguinage. En 1914, on y voyait la buvette de la société rémoise qui devint après la 2ème guerre mondiale le dancing "Le Boléro"
Un nom précédent.
-1-A- Sainte-Claire, lieu-dit -Le château de la Muire, propriété du marquis de Sainte-Claire y était construit. Il a été détruit en 1760.
-1-B- Sainte Claire , cour - Origine : Une statue de la sainte sur une maison. Claire d'Assise née Chiara Offreduccio di Favarone (16/07/1194-11/08/1253) issue d'une famille noble se réfugia auprès de Saint François d'Assise. Ce dernier créa un monastère des "Pauvres Dames" qu'il confia à Claire qui accepta sous réserve d'avoir le privilège de ne pas avoir de privilèges. Les religieuses furet appelées "Clarisses" Claire a été sanctifiée en 1256. Sainte Claire a été déclarée Patronne de la TV en 1958 par le pape. Des religieuses de cet ordre vinrent à Reims pour créer la première communauté de l'ordre en France. Leur monastère, précédemment à Tinqueux est situé actuellement à Cormontreuil.

 - Sainte-Claire, rue – Voir Soussillon, rue

- Sainte-Clotilde, Avenue (créée entre 1906 et 1911) Baptisée du nom de l’église construite en 1880. Clotilde ou Clothilde ou en germain Crochtehilde, était la 2ème épouse de Clovis (vers 465-545) qui le poussa à se faire baptiser. La crypte contient 2000 reliquaires de toute la France.

- Sainte-Clotilde, place -Elle est située devant l’église du même nom.

- Sainte-Geneviève, moulins de (disparus)
Un lieu précédent.
-1-A- Belle-Vue, moulins de - (baptisés en 1794)

- Sainte-Geneviève, rue - (baptisée en 1903)
Elle était située prés de l’église « Sainte-Geneviève aux Champs » du 7ème siècle. détruite en 1760. Elle a été suivie par l’église Sainte-Geneviève actuelle construite en 1877. La sainte voit son nom venir de « Genova », « Fille du Ciel » ( 423 -502 ou 512) Dans cette rue existait une cité-jardin achetée par l’ Union Foncière. En 1878, le quartier était surnommé « la petite Chine. » Y a-t'il corrélation avec le fait que les chinois sont surnommés "Fils du ciel"? Jusqu'en 1877, l'emplacement de l'église fut occupée par des vignes.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Rosnay, rue de (créée en 1892) Commune prés de Reims.
-1-B- Sainte-Geneviève, avenue - (créée en 1892) Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.

- Sainte Hélène, lieu-dit  - Près du cimetiére du Sud.d'après l'annuaire Matot-Braine de 1889.

- Sainte- Marguerite, rue – Voir Desteuque ; rue Eugène

- Sainte-Marie, rue – Voir Forain, rue

- Sainte-Thérèse, place (créée en 1981) C’était l’église des Carmélites.

- Sainte-Thérèse, rue (créée en 1965) Thérèse Martin dite Sainte-Thérèse de Lisieux ou de l’Enfant Jésus ou de la Sainte-Face (02/01/1873-30/09/1897)
.
- Sakura, promenade des (baptisée en 05/2010)
Une des nombreuses variétés de cerisiers. C'est la fleur nationale non officielle du Japon.

- Salaire, rue Maurice Léon (baptisée en 1925) Commandant des pompiers (1866-1914) tué par un éclat d’obus.
2 voies précédentes.
-1-A- Ulmann, rue
-1-B- Emile, rue (disparue) Il existait aussi la rue Emile Ulmann, cité comme musicien en 1875 d’après La Vie Rémoise

- Salengro, rue Roger Henri Charles– (baptisée en 1946) Ministre (30/05/1890-suicide le 17/11/1936) Prisonnier des Allemands en 1915. Après 1918, il devint secrétaire de la SFIO. Il a été la cible de calomnies de la part de l’extrême droite. Accusé de désertion , il avait été blanchi par le conseil de guerre. Nom imposé par le gouvernement.
2 noms précédents.
-1-A- Courcy ; chemin de - (créé en 1840)
-1-B- Courcy, rue de - (baptisée en 1903) Baptisée en partie, voir rue du Docteur Schweitzer. Commune des environs de Reims où se trouve la B.A 112.

- Salin, rue - (baptisée en 1768) Après percement de la rue Rouillé. En 1864, elle allait de cette rue à la rue de Prouilly..
Note : Une ruelle sans nom d’après le plan de 1665 donne dans cette rue. Elle allait de la rue Salin au Marché aux Chevaux.
3 noms précédents.
-1-A- Coursalin, quarrel du - (connu en 1328) Origine : Jehan de Coursalin, connu en 1240. Ex Vicus de Coursalano ou Allodium de Curti Salonis (d'après Varin) On y voyait une maison de 1524 portant le numéro 747 (numérotation 1766) détruite à une date inconnue (Archives de l'Archevêché)
-1-B- Salin, cour - (attestée en 1065) Il ne semble pas y avoir de rapport avec un grenier à sel ou la gabelle.
-1-C- Salin, rue (baptisée en 1727) Ouverte au percement de la rue Rouillé.

- Salines, impasse des – Voir Sainte-Balsamie, impasse

- Salines, rue des - Même voie que ci-dessous (existait en 1875) Origine : dépôt de sel.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Saubourg, rue de -Même étymologie que Salines. Pierre Varin indique "ou Bailla" ce qui est vraisemblablement faux.
-2-A- Sainte-Balsamie, rue -Elle donne rue du Barbâtre. Dans cette rue, une ruelle sans nom allait vers l ‘église Saint-Martin en 1665.

- Salines, rue des – Voir Sainte Balsamie, rue Même voie que ci-dessus

-
Salle, impasse J.B. et A.R. de la (créée en 1856 ) Elle ouvre 5 rue de la Salle. Le plan de la ville avant 1914 place l’impasse de l’autre coté de la rue, côté des numéros pairs.

- Salle, place Saint-Jean Baptiste de la – Voir Bergier, rue Nicolas

- Salle, rue J.B. et A.R. de la (baptisée en 1840) Voie différente de ci-dessous Rue créée pour honorer : Saint-Jean Baptiste de la. -Prêtre. (30/04/1651-07/04/1719) qui fonda la congrégation des Frères des Ecoles Chrétiennes et aussi pour honorer Antoine Félix de Rivals de la Salle, maréchal de camp et bibliophile. La rue existait en 1769. Les plaques de rue indiquent « J.B. et A.R. de la Salle. » Dans cette rue prend l’impasse J.B. et A.R. de la Salle. Notons que J.B. de la Salle quitta définitivement Reims en 1699.
2 voies précédentes ayant porté plusieurs noms successifs ou concomitants.
-1-A- Châtelains, rue des - (ou ci-dessous) (baptisée aux 14-15ème siècles.)
-1-B- Châtelain, rue du -Certainement le nom d’une riche famille de Reims dont Pierre Chastelain, bénédictin au 18ème siècle qui publia un journal. Il existait rue de Tambour un hôtel Chastelain qui a pris ensuite le nom d’hôtel des Comtes de Champagne
-1-C- Chatelin, rue des -vu sur le plan Colin de 1665
-1-D- Porte Enseigne, rue du - (baptisée en 1694) Le porte drapeau de la milice aurait été choisi parmi les habitants de la rue.
-1-E- Plume d’Or, rue de la (baptisée au 18ème siècle.) Origine : une enseigne.
-2-A- Piarde, rue de la (suivant un registre de 1328) Il est précisé « Dame de Coursalin »
-2-B- Pacarde, rue de la (Sur le plan Legendre de 1765) Cette rue donnait rue de l’Hermitage et rue du Puits de Taira. Dans cette rue prenait une impasse sans nom (Ou ci-dessous)
-2-C- Picarde, rue de la (ou ci-dessous) (baptisée en 1791) Réminiscence du nom d’une famille connue en 1328, Marguerite la Pacarde, abbesse de Clairmarais. S’agit-il d’une erreur d’orthographe ? La plupart des auteurs retiennent Marguerite la Picarde. Dame de Coursalin. Et Ameline la Picarde. En 02/1773, on y voyait une maison dite "des 3 Nations" (Journal de Champagne)
-2-D- Picardie, rue de la -On a oublié l’origine ci-dessus, donc on a transformé le nom. Origine : une enseigne.

- Salle, rue Saint-Jean Baptiste de la – Voir Jacquin, rue du docteur Voie différente de ci-dessus

- Salpêtrière, rue de la – Voir Augustins, rue des

- Salzbourg, rue de - (créée en 1969) Ville autrichienne jumelée avec Reims en 1964.

- Sampaix, rue Lucien - (créée en 1955) Même voie que ci-dessous -Syndicaliste (13/05/1899-15/12/1941) communiste , journaliste à l'Humanité. Arrêté en 1931, il effectua 9 mois de prison. Le 28 juillet 1939, jugé, acquitté. En 01/1940, arrêté, interné; il s'évada le 25/12/1940. Le 27/03/1941, arrêté, condamné aux travaux forcés. Fusillé sur l'ordre des allemands avec 11 autres personnes. Nouvelle voie nommée à la place de la rue du même nom (rue Thiers débaptisée qui a repris son nom en 1955)

- Sampaix, rue Lucien – Voir Thiers, rue Même voie que ci-dessus

- Sand, rue George (Amandine Aurore Lucille Dupin, baronne Dudevant, dite (créée en 1975) Ecrivain (01/07/1804-08/06/1876) Son pseudonyme vient de son premier amant, Jules Sandeau . (Elle signait ses œuvres : J.Sand) Le prénom « George » (sans S) fut ajouté ensuite pour promouvoir l’égalité de l’homme et de la femme. Elle s'habillait en homme et fumait la pipe. Elle a été aussi la maîtresse , parmi beaucoup d'autres, de Musset puis Chopin.

- Sans Culottes, rue des – Voir Saint-Maurice, rue

- Sans Nom, rue - Vue sur un plan du 19ème siècle. Elle n’existait plus en 1874. Elle donnait dans la rue de Bétheny.

- Sansonnets, allée des (créée entre 1922 et 1925)

- Santé, rue de la (baptisée en 1876 – disparue) Nom donné par D. Pellus et trouvé sur l’annuaire Matot-Braine de 1876, mais inconnue en 1874 et à partir de 1878 sur le même annuaire. Elle allait de la rue de Courlancy dans les champs.

- Santos-Dumont, allée Alberto (créée en 1987) L’allée donne dans la rue du même nom et est parallèle à l’avenue Farman.

- Santos-Dumont, rue Alberto (créée en 1980) Aéronaute, ingénieur brésilien (02/07/1873- Il s’est suicidé le 23/07/1932) Il battit le premier record de l’aviation le 27/10/1906. Il s’envola avec l’avion 14 bis du parc de Bagatelle et couvrit 220 m en 21 secondes. Il construisit « la Demoiselle » avion dont il donna les plans à qui voulait la construire. Les utilisateurs étaient appelés « demoisellistes » Retourné au Brésil, il souffrit de sclérose en plaque et il se suicida.

- Sanzio, rue Raphaël -(Raffaello) La Neuvillette (créée en 1970) Artiste peintre italien de la Renaissance (06/04/1483-06/04/1520) connu aussi comme Raffaello Santi (nom de son père) ou Raffaello da Urbino ou Raffaello Sanzio da Urbino. Ami du Pérugin. En 1500, il devint « Maître » Il put donc avoir son atelier. Appelé à Rome, il devint conservateur des antiquités du Vatican.

- Sarazin, square Joseph Alexandre Charles (restructuré en 1966 -baptisé le 15/10/1966)
Archéologue et historien rémois. Né à Reims 52 rue Cérès-(25/12/1879-21/11/1953) Il n'y a plus de plaque indicatrice depuis son vol en 2007.
-1- A- Pluche, square (créé en 1920) Il a été créé sur l'emplacement d'une maison démolie pendant la première guerre mondiale non reconstruite et qui appartenait à Noël Antoine Pluche (voir au nom de la rue)

- Sarrail, rue du Général Maurice Paul Emmanuel - (baptisée en 1929)(06/04/1856-23/05/1929) Il s’est illustré à Verdun et dans l’armée d’Orient. Voie privée donnée à la ville par les époux Voos-Tasté. Pendant la 2ème guerre mondiale, la komandantur allemande fut installée dans cette rue ainsi que place Godinot. La rue allait de la place de l’hôtel de ville à la rue de la Grosse Ecritoire. Précédemment, il existait une ruelle sans nom d’après le plan Colin de 1665 qui menait au Marché aux Chevaux.
6 rues précédentes concomitantes ou successives.
-1-A- Hôpital, rue de l’ – (baptisée au 17e siècle) Elle allait de la rue de la Grosse Ecritoire à la rue des Ecrevées.
-1-B- Charité des filles, rue de la (ou ci-dessous) Baptisée du nom de la maison, aussi appelée « La Renfermerie « qui recueillait les enfants abandonnés, infirmes, les filles de mœurs légères, les vieilles femmes.
-1-C- Hôpital des Filles, rue de l’
-2-A- Consuls, rue des - juges pour des contestations commerciales.
-2-B- Amis de la Patrie, rue des - (baptisée en 1794)
-2-C- Consuls, rue des - nom repris au 19ème siècle.
-3-A- Saint-Guillaume, rue
-3-B- Jemmapes, rue de - Ville de Belgique (baptisée en 1794)Victoire des armées révolutionnaires le 06/11/1792 .
-3-C- Saint-Guillaume, rue - Nom repris au 19ème siècle - nommé aprés l'hôpital des filles. Baptisée du nom de Guillaume de Malavalle ou Maleval, mort en 1157 qui a fondé l’ordre des « Guillemites » Cette rue prolongeait la rue des Consuls et regroupait les rues 2 et 3. Son nom viendrait aussi de la chapelle de l’hôpital des Filles dédiée à ce saint. Elle existait précédemment mais de nom inconnu. A la jonction de la rue des Consuls et de la rue Saint- Guillaume s’embranchait la rue de la Grosse Écritoire. Elle donnait dans la rue du Petit Cerf.
-5-A- Petit Cerf, rue du - regroupée avec la rue Saint Guillaume . (Baptisée en 1827) Origine : une sculpture au-dessus d’une porte. Cette rue allait de la rue des Ecrevées au boulevard Foch . L’autre partie était regroupée dans la rue Saint-Guillaume. Elle donnait aussi dans la rue Basse du Rempart.
-6-A- Rempart, rue basse du - En partie, voir le boulevard des Promenades . Regroupée dans la rue Saint-Guillaume

- Sarre, rue de la – Voir Brûlée, rue

- Sarrée, rue de la – Voir Brûlée, rue

- Sarry, rue (disparue)

- Satie, rue Alfred Erik Leslie-Satie, dit (créée en 1982) Compositeur, pianiste (17/05/1866-01/07/1925) Engagé volontaire en 1914. il s’est fait réformer après 3 semaines. Il entra dans l’Ordre Kabbalistique de la Rose Croix puis il fonda l ‘Eglise Métropolitaine d’Art de Jésus Conducteur. Il en était le grand prêtre, le trésorier et l’unique fidéle. Il composa une oeuvre «Vexation» qui reprend 840 fois le même thème et dure 20 heures !

- Saubinet, rue (disparue) Origine :Etienne Saubinet aîné ( 1792 -1869 ) On lui doit une étude sur le"bas langage rémois " Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Saubourg, rue de – voir Salines, rue des

- Savoyards, allée des (créée en 1972)

- Savoye, cité - (créée en 1929 - Nom tombé en désuétude)

- Savoye, rue Jean Baptiste Savoye-Belloy (créée en 1841) Négociant en vin. Rédacteur du cahier du Tiers-Etat en 1789 (02/1731-23/06/1807) Il prit l'initiative d'une pétition demandant le rétablissement du culte à la cathédrale. Le nom de la rue a souvent été déformé en rue de Savoye ou Savoie (d’après Tarbé) En 1864, la rue allait de la rue de Bétheny dans les champs.
Un nom précédent.
-1-A- Ouest, rue de l’

- Sayen, rue Robert Jean-. (créée en 1991) Directeur d’école (23/06/1913-13/05/1987) Il fonda l'union sportive des amicales laïques. La rue se termine en impasse.

- Schleiss, rue Paul Lucien (créée en 1971) Résistant né à Reims 78 rue Lecointre ( 23/07/1913-fusillé le 29/08/1944)

- Schmith, rue Adam – Voir Kellermann, rue

- Schneiter, rue Marie François André (créée en 1971) Courtier en vins de champagne. résistant  né à Reims, 3 rue de la Renfermerie ( 27/06/1914 - fusillé le 29/08/1944) Arrêté en 1943, il s’évada. De nouveau arrêté
.
- Schneiter, jardin François Charles Pierre -
Courtier en vins de champagne, résistant, maire (13/05/1905-1957/1959-18/03/1979) né à Reims, 67 rue Chanzy Le jardin a été séparé de la Patte d’Oie en 1841 et restructuré en 1982 . Un zoo y fut implanté de juin 1961 jusqu'à novembre 1974.
noms précédents.
-1-A- Bains de madame Lagrange - connus en 1850.
-1-B- Horticulture, jardin d’ - Le plan de 1875 indique la présence de pépinières à cet endroit.

- Schock, rue du Lieutenant Colonel André (créée en 1974)(22/04/1914-12/10/1973) Condamné à mort en 1940 pour activité gaulliste. Parachuté en France, il organisa la résistance dans le nord-est sous le pseudonyme » Diagonale » Arrêté, il a été déporté en 06/1944. Dans cette rue ouvre le cimetière de l'ouest créé par madame Roederer-Boisseau en 1893. C'est le seul de Reims dont la grille d'entrée est surmontée d'un crucifix; en effet le maire anticlérical, Charles Arnould avait en 1900 fait supprimer toutes les croix et inscriptions mais il n'a pas osé le faire pour ce cimetière.

- Schuman, avenue Robert (créée en 1972) Homme politique (29/06/1886-04/09/1963) Allemand de naissance, arrêté par la gestapo, il s’évada. Il a été plusieurs fois ministre. Il a créé la CECA ( Communauté économique du charbon et de l’acier) qui est à l’origine de l’Union Européenne. Il a été appelé «le Père de l’Europe » Procès en béatification ouvert en 1991.

- Schweitzer, rue du Docteur Albert (baptisée en 1965) Médecin, musicien (14/01/1875-04/09/1965) Né au Luxembourg de parents allemands. Il a été arrêté par l’armée française en 1917. Après la guerre, il créa un hôpital à Lambaréné en Afrique. En 1978, la rue a été prolongée jusqu’à la rue de Bétheny.
Un nom précédent
-1-A- Courcy, chemin de (créé en 1840)
-1-B- Courcy, rue de - (baptisée en 1903) En partie - voir rue Roger Salengro.

- Scott, rue Robert Falcon (créée en 1966) Explorateur anglais (06/06/1865-29/03/1912 ) Il monta 2 expéditions : en 1901/1904, il découvrit la terre du roi Edouard VII et en 1910, Il atteignit le pôle sud le 18/01/1912. Il décéda au retour avec ses compagnons, apparemment le 29 mars 1912. Les corps et le journal furent retrouvés par une expédition de secours le 12/11/1912. Contrairement à Amundsen qui avait utilisé des chiens de traîneau groenlandais, il avait utilisé des poneys qu'il fallut abattre rapidement.

- Sculpteurs Jacques, rue des (créée en 1925) Lignée de 4 sculpteurs rémois du 16ème au 18ème siècle qui ont œuvrés entre autre pour la cathédrale. On comptait : Pierre Jacques ( vers 1520-1596) Nicolas Jacques (vers 1578-1649) François Jacques (1628-1664) et Nicolas Jacques II (1653-1726)
.
- Sébastopol, allée de (créée en 1995)

- Sébastopol, rue de - (créée en 1887) En référence à la guerre de Crimée. De 1853 à 1856, les Français et les Anglais alliés aux Ottomans firent campagne contre les Russes. Bataille de 11 mois en 1854. La rue existait en 1876. On y a découvert des traces de voie romaine. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Sécherie, rue de la – Voir Clovis, rue

- Sedan, rue de – Voir Réville, rue Albert

- Ségal, rue Jankel - (baptisée en 1965) Médecin (15/01/1887-01/01/1945) Appelé « Le médecin des pauvres » Mort en déportation.
Un nom précédent.
-1-A- Réservoir, rue du.

- Seine Maritime, rue de la (baptisée en 1961) Après le changement de nom de plusieurs départements.
Un nom précédent
-1-A- Seine Inférieure, rue de la

- 16ème et 22ème Dragons, rue des - (baptisée en 1967) Régiments stationnés à Reims en 1914. Le 16ème, ex régiment d’Orléans en 1793 dont la devise était »Les louanges et le nom resteront » Le 12 septembre 1914, l’escadron du lieutenant De Gironde a détruisit 10 avions allemands (au sol) Ce régiment avait été précédé par le 14ème régiment de Dragons. La devise du 22ème était « Nomen landesque manebut » !
Un nom précédent.
-1-A- Pontfaverger, rue de - (créée en 1887) Commune prés de Reims. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.

- Sellette, rue de la – Voir Temple, rue du Même voie que ci-dessous

- Sellette, rue de la – Voir Notre Dame de l’Epine, rue Même voie que ci-dessus

- Sémard, rue Pierre - (baptisée en 1947) Secrétaire du PCF (15/02/1887- fusillé le 07/03/1942) Le parti communiste ayant été dissout, il fut arrêté pour avoir continué une action à ce titre. Il a été fusillé comme otage à la demande des allemands.
Un nom précédent
-1-A- Octroi, rue de l'

- Séminaire, tour du – Voir Plomberie, tour de la Même lieu que ci-dessous

- Séminaire, tour du – voir Saint-Georges, tour Même lieu que ci-dessus

- Senart, rue Emile Charles Marie (baptisée en 1934) Savant orientaliste né à Reims 23 rue de Talleyrand (26/03/1847-21/02/1928) On lui doit de nombreuses traductions de textes boudhistes et hindous.

- Sénéchal, rue Adrien (créée en 1975) Artiste peintre rémois né à Reims 17 rue Saint Symphorien (05/07/1895-28/08/1974) Il a fait plusieurs tableaux de la cathédrale.

- Senefelder, rue Aloys (créée en 1968) Auteur et acteur (06/11/1771-26/02/1834) Il découvrit la lithographie en 1796 pour imprimer ses œuvres.

- Sens à Trèves, route impériale de - Voir Carnot et Cérès, rues

- Sept Maisons, rue des – Voir Belly, rue

- 7 et 8 mai 1945, allées des - (baptisées en 1965) Pour la commémoration de la signature de l’Armistice de la 2e guerre mondiale. Signature à Reims le 7 mai à 2h41 du matin pour un "cessez le feu" en vigueur le 8 mai à 23h01 . Le général français Sevez n'a signé que comme témoin. Nouvelle signature à Berlin à la demande des Russes, le 9 mai à 0 h 28 du matin, le général De Lattre de Tassigny y était parti prenante pour la France. En Russie, c’est le 9 mai qui est retenu comme date anniversaire.
3 noms précédents dont les 2 derniers concomitants.
-1-A- Hautes Promenades, allée des
-1-B- Est, allée de l' - D’après l’annuaire Matot-Braine de 1920.
-1-C- Ouest, allée de l’ -D’après l’annuaire Matot-Braine de 1920.

- Sergiers, rue des - (créée en 2008) Souvenir des Peignages Holden dans la Zac Dauphinot et en général de tous les ouvriers du peignage et du tissage, importants à Reims au 19ème siècle. Elle donne dans la Promenade du Peignage et la rue Charles Fandre.

- Serpentine, tour (construite au 14ème siècle.- disparue depuis) La rivière serpentait à ses pieds; mais c'est aussi le nom d'une pièce d'artillerie (plus vraisemblable) Elle était située prés de la porte de Vesle.
Un nom précédent.
-1-A- Belle-Vue, tour -Belle vue sur la vallée de la Vesle.
-1-B- Deux Guérites , tour des - Il y avait 2 postes de guetteurs.
-1-C- Cygnes, tour des
Les 2 derniers noms ont été donné par Brissart-Binet.

- Serre porte - Voir Cérès, porte

- Serres, rue Olivier de -Prénom ajouté ensuite. (créée en 1932) Industriel qui créa l’industrie de la soie (1539-12/07/1619) sur un terrain donné à la ville par Monsieur Petit (voir rues Petit-Delbourg et Petit-Hutin)

- Serrurerie, rue de la – Voir Langlet, cours

- Séscherie, rue de la – Voir Clovis, rue

- Sèze, rue Charles Maurice Marie Paul de (créée en 1986) Prêtre, éducateur (21/01/1919-25/04/1984) Directeur de l’école Saint-Joseph.

- Sfax, rue de (créée en 1914)Ville de Tunisie.

- Shakespeare, rue William (créée en 1989) Poète, dramaturge, écrivain anglais (23/04/1564 date approximative de naissance-23/04/1616) . De 1580 à 1592, il a mené une existence inconnue. Il n’a pas de descendance directe. Un buste a été édifié prés de sa tombe à Stratford on Avon dont la main est munie d’une plume d’oie remplacée tous les ans le 23/04.
.
- Sibérie, rue de - Voir Coucy, rue Robert de.

- Sicre, parc Michel (créé en 1974)

- Sicre, rue Michel (créée en 1974) Maire (29/09/1903-1945/1947-05/12/1972) Président du Comité Départemental de la Libération. Il faisait partie de la CGT. La rue se termine en impasse.

- Sidaner, rue Jean Marie Le (créée en 1995) Poète. professeur de philosophie né à Reims 99 rue des Capucins (24/05/1947-25/02/1999) Décédé brutalement lors d'une promenade en forêt, sur le site des faulx de Verzy.

- Sidi Bel Abbès, rue de (créée en 1929) Siège de la Légion Etrangère à cette époque en Algérie. La ville de Sidi Bel Abbès a été créée par le génie militaire français en 1843, et baptisée d’abord Biscuit-Ville puis Bel Abbés Napoléon en 1859, puis Sidi Bel Abbès. Le siège de la Légion est maintenant à Aubagne dans les Bouches du Rhône. La rue avait été baptisée à la demande des habitants. A la fin de la "guerre d'Algérie" des familles de Harkis rapatriés y furent logés sous l'égide d'un "chef de village", ex capitaine de S.A.S (sections administratives spécialisées).

- Siégel, rue Jean Marie (ou ci-dessous) (baptisée en 1988) Conseiller municipal né à Reims 7 rue Jeunehomme (10/12/1912-21/06/1982)
Un nom concomitant.
-1-A- Siégel, allée Jean Marie

- Siegfried, rue Jules (créée en 1925) Homme politique (11/02/1837-26/09/1922) Industriel. Il fonda de nombreuses écoles de commerce. La loi « Siegfried » encourageait la construction d ‘habitats sociaux, ancêtres des HLM.

- Sillery, rue de - (baptisée en 1887) Commune au sud de Reims . La famille Brûlart de Sillery en est originaire. Charles Brûlart de Sillery avait émigré en 1790 et avait été condamné à mort. Tous ses biens ont été vendus au titre des biens nationaux en 03/1794 (Journal de champagne)
Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895 ni en 1901.
2 noms précédents.
-1-A- Verzenay, avenue de - (créée en 1876) Commune de la montagne de Reims. En 1876, elle allait du boulevard Gerbert dans les champs.
-1-B- Sillery, avenue de

- Sillery, vieux chemin de – voir Saint-Léonard, rue

- Simon, rue – voir Pistolet, rue du

- Simon, rue Charles Marie – (créée en 1856- connue précédemment) Chirurgien (1782-09/02/1830) Il fonda une maison de santé dans cette rue où on a trouvé des traces de la première enceinte. Il donna l’argent pour construire un asile d’aliénés. En 1890, une vespasienne était installée à l'angle avec la place du chanoine Ladame ( nom actuel) C'était l'une des 3 dernières que l'on pouvait encore voir pendant quelques années à la fin de la 2ème guerre mondiale. De 1792 à 1832, on y voyait le cimetière du sud qui fut ensuite recréé boulevard Dieu-Lumière. En 1864, la rue allait de la rue des Moulins à la place de l'hôtel-Dieu.Jusqu'en 1950/1955, un petit bureau de l'octroi était implanté au milieu de la rue(entre les 2 sens de circulation devant la basilique Saint Rémi.

- Simon, allée Jacques Paul (créée en 1974) Maître verrier né à Reims 52 rue de l'Université (10/03/1890-10/03/1974) D’une famille de verriers de la cathédrale depuis 1768. On lui doit la restauration des vitraux de la cathédrale après la première guerre mondiale ainsi que la création de nouveaux vitraux ainsi que ceux de la cathédrale de Metz.

- Simon, square Jacques (créé en 1972)

- Simon, rue Michel (Michel François, dit) (créée en en 1977) Acteur Suisse (09/04/1895-30/05/1975) Acteur de théâtre puis de cinéma. Il aurait été un agent secret soviétique.

- Simonin, rue du Lieutenant Colonel Marcel Emile Gabriel (créée en 1968) (20/04/1893-18/08/1968) Engagé en 1914 comme simple soldat, il finit comme capitaine. Il devint conseiller commercial. En 1939, il a été mobilisé. Il commanda le groupe de bataillon de chars 507 sous les ordres du colonel De Gaulle, commandant des chars. Président de l’Union Nationale des Combattants. La rue fait une boucle complète.
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- Sinzot, rue Hortense (créée en 05/2010)
Ouvrière de verrerie au 20ème siècle . La rue va de la rue de Courcelles en direction de la rue Maldan.

- Six Cadrans, place des – voir Loges Coquault, place des

- Smith, rue Adam – Voir Kellermann, rue

- Sobriété, rue de la – voir Cordeliers, rue des

- Sœur Boudsocq, rue de la – Voir Jobert-Lucas, rue

- Sœurs, cour des – Voir Laurent-Déramez, rue

- Sohier, rue Odette Adrienne . (créée en 1965) Conseillère municipale née à Reims 1 place Luton (24/05/1920-19/04/1964) Mère de 12 enfants.

- Soissons, porte de - Voir Herrick, place Myron T.

- Soissons, rue de – voir Magdeleine, rue de la

- Solferino, rue de – la plaque de rue indique : rue Solférino. Ville d’Italie. Souvenir de la bataille du 24/06/1859 qui a incité Henri Dunant à créer la Croix Rouge.

- Solidarité, fontaine de la (créée en 1982) Située sur la place d’Erlon. Elle avait été surnommée « Solidarnosc «du nom d'un syndicat polonais par le syndicat F.O. en 1983.
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- Solidarité, place de la - Nom non officiel donné par certains éditeurs de cartes postales pour cette partie de la place d'erlon ou est érigée la fontaine du même nom.
-1-A- Saint-Jacques, place - nom non officiel donné en 1900 par des éditeurs de cartes postales du fait de sa proximité avec l'église du même nom.

- Solitaire, rue du – voir Noël, rue Nicolas

- Solon, rue – Voir Chatelet, rue du

- Somme, allée de la -En souvenir des combats de la première guerre mondiale. De juillet à novembre 1916, 3 millions d'hommes de 20 nations s'y sont affrontés au prix de 1 million de morts ou disparus.

- Somme, avenue de la (ou ci-dessous) (créée entre 1922 et 1925)
Un nom concomitant.
-1-A- Somme, rue de la

- Somnanbule, lieu-dit Le (D’après l’annuaire Matot-Braine de 1925) Il était situé au bout du boulevard Dieu-Lumière, près du cimetière du Sud.

- Son, rue Nicolas de (créée en 1937) Graveur (1601-vers 1630)
Il fit de nombreuses gravures de la cathédrale et s'inspira beaucoup de Jacques Callot.

- Soupirs, allée des (baptisée au 18ème siècle) Elle était située dans la plantation du Bois D’Amour d’après Tarbé.

- Sources, allée des - (créée en 1958) Elle est située près du lieu-dit « les Sources » où ont été creusés les premiers puits d’eau potable.

- Sousse, rue de (créée entre 1914 et 1922) Ville de Tunisie.

- Soussillon, impasse (créée au 19ème siècle) Elle ouvre 31 rue Soussillon.
2 noms précédents
-1-A- Jardins, impasse des -Elle ouvrait sur la cour Sainte-Claire, en 1892.
-1-B- Sainte-Claire, impasse

- Soussillon, rue Jean Pierre Lucien - (baptisée en 1903) Commerçant en tissus, philanthrope (27/101835-01/10/1903) Bienfaiteur de la ville. En 1925, la rue a été prolongée jusqu’à la rue Clairmarais.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- César, rue ( disparue en 1873) Baptisée du nom du propriétaire du terrain. Cette voie n’a pas été reconnue par l’administration en 1892. Elle était située entre la rue de Saint-Brice et le canal.
-2-A- Sainte-Claire, rue - (baptisée en 1873) Sainte-Claire d’Assise, fondatrice des Clarisses (1194-1253) En 1876, la rue allait du 5 rue de Saint-Brice au canal. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.

- Souvenir, place du (créée en 1922) - Située dans le quartier de la Maison Blanche. Elle est entourée par plusieurs rues portant le nom de villes qui ont donné de l’argent pour la reconstruction de la ville de Reims après la première guerre mondiale. Aucun antécédent car il s’agissait d’un nouveau quartier.

- Souvenir Français, place du (créée en 1989) Association créée en 1872 en Alsace et en Lorraine par le professeur Niessen en mémoire des soldats français tués en 1870 pour entretenir 88000 tombes. Son but s’est étendu en 1887 à la mémoire des guerres (En général) puis celles des 2 guerres mondiales, relayé par le service national des sépultures en 1920.

- Souyn, rue – Voir Gaulle, avenue du Général de Même voie que ci-dessous

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Souyn, rue – Voir Guillaume, rue Eugène Même voie que ci-dessus

- Soweto, allée de (créée en 1978) Ville d’Afrique du Sud en banlieue de Johannesbourg créée en 1950. Elle a failli s’appeler Verwoerdsville, ministre partisan de l’apartheid. En 1976, des émeutes contre l’apartheid ont éclaté dans ce township.

- Square Saint Thomas, rue du - connue en 1884    

- Staat, rue Jules Frédéric Henri . (créée en 1987) PDG de Sociétés (02/01/1896-26/12/1980) La rue se termine en impasse.

- Stalingrad, place - (baptisée en 1946) Ville de Russie, actuelle Volgograd. La rue a été baptisée en référence à la bataille de la 2ème guerre mondiale du 23/07/1942 au 03/01/1943 qui fut un tournant de cette guerre et une des plus sanglantes de la guerre. C’était la première grande défaite de l’armée allemande qui amena leur retraite jusqu’à Berlin. Une seule maison était restée debout (un moulin) En comptant les civils il y eut entre 1 et 2 millions de morts. Le corps d’armée du maréchal Von Paulus capitula en perdant 400000 hommes (90000 prisonniers seulement.) Une immense statue de la « Mère Patrie » 85 mètres de haut a été érigée sur la berge, sur la colline de Mamayev Kunzan. La coutume veut que tous les bateaux qui naviguent sur la Volga ralentissent à son niveau et que l’on jette des fleurs dans le fleuve, ce qui ce fait toujours actuellement.
Un nom précédent.
-1-A- Magdeleine, place de la (créée en 1924) L’église Sainte Marie Magdeleine construite à la fin du 14ème siècle car l’extension entre Couture et Vesle nécessitait l’implantation d’un lieu de culte. Elle a été démolie à la Révolution, en 1794. Elle était de construction simple ; un dicton disait « a la Madeleine la pauvreté « Elle se trouvait à l’angle des rues Bacquenois et de la Magdeleine, tout près de la place. En 1521, François 1er fonda la foire de la Magdeleine sur la place pour la vente des produits des fermes de la région.
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-Stand, rue du
Pendant la première guerre mondiale , l'école située au 12 de la rue logeait un groupe de 80 soldats. (Voir rue du Tir ou quartier du Tir au Pigeon.)

- Stendhal, rue Henri Bayle, dit (créée en 1980) Ecrivain (23/03/1783-23/03/1842) Pseudonyme, soit le nom du village de naissance (Stendal en Saxe) En 1808, il a ajouté un « H » pour faire plus allemand ou anagramme des îles Shettland. Officier de dragons dont le nom est connu aussi en médecine pour le « Syndrome de Stendhal » stress dû à une « overdose » de contemplation d’œuvres d’art dont il souffrit en visitant Florence. En 2007, l’hôpital de Florence recensait encore une dizaine de cas annuels. Mort d’une attaque cardiaque.

- Stoïcisme, rue du – Voir Trois Raisinets, rue des

- Strasbourg, rue de - (créée en 1870) Rue édifiée pour loger les immigrés d’Alsace. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895 .

- Stravinsky, rue Igor Fiodorovitch (créée en 1982) Compositeur néoclassique et chef d’orchestre russe (17/06/1882-06/04/1971) Naturalisé français en 1934 puis naturalisé américain en 1945. En 1950 il devint adepte de la musique sérielle.

- Stuart, rue Marie - (baptisée en 1925) Reine d’Ecosse (07/12/1542-08/02/1587) Elle s’exila en France ou elle épousa François II. Elle devint Reine de France. Veuve, elle s’est réfugiée à Reims, au couvent Saint-Pierre les Dames où est enterré sa mère, la Reine d’Ecosse. En 1562, elle retourna en Ecosse puis s’enfuit en Angleterre. La Reine Elisabeth la fit arrêter et enfermer pendant 18 ans. Elle la fera condamner à mort. Le boureau était ivre, il eut besoin de 3 coups de hache pour remplir son œuvre. Elle avait souhaité être enterrée à Reims, souhait non réalisé. Rue baptisée en souvenir de son séjour à Reims .
Un nom précédent.
-1-A- Levant, rue du - (créée en 1845) Pour faire penchant avec la rue du Couchant et du fait de son orientation. Elle menait à la poterne de Saint-Pierre les Dames et la rue du Bois de Vincennes. La rue fut perçée à l’emplacement de l’église de l’abbaye Saint-Pierre les Dames. En 1864, elle allait de la place Godinot à la rue Ponsardin.

- Subé, fontaine - Voir Drouet D'Erlon, place

- Subé, passage Auguste Frédéric - galerie commerciale. (créé en 1906) Négociant en tissus, bienfaiteur né à Reims rue de la Vieille Couture (12/12/1807-17/06/1899) Il donna l’argent pour construire la fontaine au centre de la place d’Erlon. Le passage (privé ) relie la rue de l’Etape à la rue Condorcet.

- Sud, esplanade du - (disparue en 1929) Elle allait du boulevard Dieu Lumière au cimetière de l’Est.

- Sud, quai du (créé en 1961) Le long du port des péniches dans la zone industrielle ouest.

- Suessionensis, porte – Voir Soissons, porte de

- Suessionica, porte – Voir Soissons, porte de

- Suessonensis, porte – voir Soissons, porte de

- Suessonica, porte – voir Soissons, porte de

- Suhard, rue du Cardinal Emmanuel (créée en 1965) Evêque de Bayeux puis Archevêque de Reims en 1930 (05/04/1874-30/05/1949) Puis nommé cardinal de Paris en 1940. Il oeuvra beaucoup pour éviter la destruction de Paris voulue par Hitler. Le plan IGN indique à tort « rue du cardinal Suchard » Cette voie se ferme en boucle.

- Suippe, avenue et rue de la – voir Clemenceau, avenue georges

- Sully, rue Maximilien de Béthune, Duc de Sully, Pair de France, Prince d’Archemont, Prince de Boisbelle , Marquis de Rosny, Marquis de Nogent le Rotrou, Comte de Muret, Comte de Villebon, Vicomte de Meaux (19/12/1560-22/12/1641) (Rue créée en 1976) Ministre de Henri IV .

- Susin, rue – Voir Hincmar, rue

- Suson, place – Voir Suzanne, place

- Sutaine, cité -Nom tombé en désuétude. En 1920, elle allait de la rue de Courlancy dans les champs.

- Sutaine, rue Jean-Baptiste. (baptisée en 1903) Famille de notables rémois. Lieutenant des habitants (…-07/08/1765)
Un nom précédent
-1-A- Vignes, impasse des (baptisée en 1912)

- Suzain, rue du – voir Hincmar, rue

- Suzanne, place - (nom repris au 19ème siècle ) Origine : Femme condamnée à mort ou nom de l’abbesse du couvent érigé sur le lieu du supplice. Occupée un temps par le Marché au Charbon en 1711. La place donnait rue des Martyrs. En 1861, à cause du froid et de la situation économique, il fut ouvert un "fourneau économique " pour les indigents sur cette place.
3 noms précédents
-1-A- Suzanne, place (ou ci-dessous)
-1-A- Suson, place (plan de 1775)
-1-B- Charité, place de la - (baptisée en 1794) Eugène Dupont (la Vie rémoise) donne le nom de « Chasteté » et ne parle pas de « Charité »

. Suzin, rue – Voir Hincmar, rue

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