jeudi 18 novembre 2010

Liste des rues de Reims : L

- Laberte, rue Adolphe, Marie, Pierre (créée en 1967) Adjoint au maire (06/01/1878-26/08/1962) Vice-président de la commission administrative des hospices civils qu’il réorganisa après la 2ème guerre mondiale. Il a été aussi gérant du journal "L'Union". La rue a été prolongée en 09/2009; inauguration le 28 septembre.
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- Labori, rue Fernand, Gustave, Gaston. Avocat né à Reims à la gare, domicile de fonction de son père (18/04/1860-14/03/1917) Le 14/08/1899, il a été victime d’une tentative d’assassinat lors du procès Dreyfus qu’il défendait. Il défendit aussi Émile Zola en 1898. Il collaborait à la gazette du Palais.
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- Labru, cour -créée en 1892 d’après l’annuaire Matot Braine.
Elle ouvrait au 34 rue du Cimetière de la Madeleine.
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- Lacatte-Joltrois, rue François Nicolas Lacatte (baptisée en 1934) Journaliste, analyste, historien (23/08/1776-22/02/1859) Le nom de sa 2e épouse était Joltrois. Il publia des « Mémoires Historiques sur la Ville et les Faubourgs de Reims. » et des recherches sur la Sainte Ampoule.
2 noms précédents simultanés.
-1-A- Fosse-Julien, rue de la (ou ci-dessous)
-1-B- Fossé Saint-Julien, rue du -Voie privée reprise par la ville .
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- Lacs italiens, allée des (créée en 1966)
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- Ladame, place du Chanoine (baptisée en 1972)
Du nom du chanoine Jean Adolphe Ladame (07/08/1867-18/11/1941 ) Prêtre en 1891. Professeur puis Supérieur du Petit Séminaire de Reims. Il fut nommé curé doyen de Saint Rémi en 1926. Chanoine honoraire de Reims et du Mans, il fut conseiller municipal de Reims du 19/05/1941 à sa mort. Après la première guerre mondiale, il s'employa ardemment à obtenir la restauration de la basilique qui avait été sérieusement endommagée le 01/08/1918. La place se situe devant le parvis de l'église . Elle est jointive à la place Lenoncourt et la place Saint Rémi. C'est sur ce terrain que l'on trouve la basilique Saint Remi. (voir mon blog: Histoire des lieux de cultes à Reims)
2 voies précédentes avec des noms successifs.
-1-A- Saint-Rémi, cour (baptisée en en 1765) Elle existait avant l’édification de l’église et donnait place Lenoncourt. D'après le plan Colin de 1665, au milieu de cette cour se trouvait un colombier en 1657. A l'est, de l'autre côté de l'église, il existait un cimetière sur le terrain du jardin de Saint Rémi.
-1-B- Braves, cour des - (baptisée en 1794)
-1-C- Hôtel-Dieu, cour de l’ - (baptisée en 1827)
Lorsque cet établissement hospitalier quitta son emplacement précédent rue du Puits-Terra (prés de la cathédrale) pour laisser la place au palais de justice et s'installer dans les locaux de l'abbaye. Dans un mur de l'établissement, il existait un tour des enfants trouvés ou l'on pouvait anonymement déposer des bébés. Cet équipement a été supprimé en 1862. A l'emplacement de l'hôtel Dieu, au début du 19ème siècle , on trouvait le Clos Saint Rémy ou poussaient des vignes réputées. Notons qu'une 1ère proposition de transfert depuis la place du Puits-Taira avait été faite en 08/1787
-1-D- Hostel-de-Dieu , cour de l' -d’après le plan Chastillon.
-1-E- Hôtel-Dieu, place de l’ - (baptisée en 1841) - Vu sur le plan de Reims de l'Atlas National de 1875.
-1-F- Hôpital Civil, place de l’ - (baptisée en 1903) Après le changement de nom et de statut juridique de l'hôpital. Notons qu'en 1914, celui-ci fut transféré au collège des Jésuites, place Museux.
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- Laennec, Allée René Théophile Hyacinthe (créée en 1966) Médecin (17/02/1781-13/08/1826) A 15 ans, il était médecin à l’hôpital militaire de Nantes. Il étudia l’anatomo-pathologie et les problèmes du cœur. Il inventa le stéthoscope ( appelé d'abord pectoriloque ). Mort de la tuberculose.
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- Lafite, rue Charles (créée en 1966) Ingénieur agricole né à Reims 6 rue Bertin (08/05/1878-07/02/1963) qui créa et géra la Ferme des Anglais. Il fit de nombreux travaux sur la sélection des semences de céréales. La décision de prolongation de cette rue a été prise par délibération du conseil municipal du 23/5/2008 jusqu’à l’allée des Tourterelles, prise sur le chemin rural n° 29 dit des Moines.
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- Laforgue, allée Jules ( Voie piétonnière créée en 1978) Poète -(16/08/1860-20/08/1887) Adepte des mouvements Décadents et Symbolistes. Mort de phtisie.
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- Lagrange, impasse Léo - Elle donne dans la rue de Courlancy.
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- Lagrange, parc Léo - (baptisé en 1978)
Un nom précédent.
-1-A- Courlancy, parc
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- Lagrange, rue Léo - (baptisée en 1946) Sportif et Homme politique (28/11/1900-09/06/1940) Sous-secrétaire d’état aux Sports. Socialiste, rédacteur au journal « Le Populaire » Engagé volontaire, tué en combat à Evergnicourt dans l’Aisne. La rue fut baptisée sur ordre du gouvernement.
Un nom précédent.
-1-A- Pont-neuf, rue du - (créée en 1887) Au N° 40, en 1930, on trouvait la fabrique " au jouet de Reims"
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- Lagrive, rue Rémy Joseph Charles (baptisée en 1892) Militaire, Adjoint au maire (06/03/1814-27/04/1891)
Note : Un projet d'extension de la rue de l’Équerre jusqu'à la rue Lagrive montré sur le plan de l'Atlas National de 1875 n'a jamais été réalisé.
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- Lallement, rue du Chanoine Joseph, Étienne, Albert - (baptisée en 1961)(14/08/1866-03/10/1953) Né à Reims 201 rue du Barbâtre. Premier curé de la basilique Sainte-Clotilde. Elle a été appelée rue après percement.
Un nom précédent.
-1-A- Champfleury, impasse de – (créée en 1929) Elle a été nommée officiellement en 1958. Elle ouvrait 76 rue de Champfleury et prolongée en boucle.
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- Lallement, rue Aimée -(baptisée en 04/2011) (1898-1988) -militante associative, Présidente des Droits de l'Homme, correspondante départementale de l'Action Laïque, présidente des Aides Ménagères Rémoises, sportive. Elle a caché des familles juives pendant la 2ème guerre mondiale, déclarée "Juste" par l'état hébreu. La rue relie la rue Legros à l'avenue Eisenhower.
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- Lalou, rue René (créée en 1976) Avocat, homme d'affaire, Directeur du champagne Mumm ( 1877-12/08/1973) Il fit construire la chapelle décorée par le peintre japonais naturalisé français Foujita Tsugurahu, (Léonard) (27/11/1886-29/01/1968.)
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- Lamartine, rue Alphonse Marie de Prat (ou Pratz ) De. (Créée en 1965) Poète du mouvement romantique et homme politique (21/10/1790-28/02/1869) Garde du corps de Louis XVIII, il démissionna après Waterloo, il fit une carrière diplomatique en Italie. Élu député. Chef du gouvernement provisoire en 1848, il échoua à l’élection présidentielle (0,28% des suffrages ) . Il a été paralysé en 1867. Mort ruiné.
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- Lambert, boulevard Jean Marie Victor (baptisé en 1913) Directeur des caves Pommery, bienfaiteur (05/07/1831-16/10/1912) Conseiller municipal en 1904. Il donna l'argent pour finir la construction de ce boulevard. D'après une carte anniversaire de sa mort, il aurait aidé 157 associations ou sociétés de la Marne. Ce boulevard prolonge le boulevard Victor Hugo.
Une voie précédente.
-1-A- Chainia, cul de sac du -Il donnait dans la rue des Chats. Pour la signification, voir Grande impasse des Cloîtres.
-1-B- Chamie, cul de sac de (connu en 1775)
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- Lamiral, allée Henri (ordonné en 11/2007) Bienfaiteur du quartier Maison Blanche (1913-2007 ) Il fonda l’Étoile Gymnique et l'Aide Ménagère Rémoise en 1957.
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- Lamouche, rue Auguste Désiré (créée en 1925) Même voie que ci-dessous Comptable (1845-20/08/1909) Président du Cercle Républicain. (Voir rue Roland Dorgelès) La rue a été baptisée à la demande des notables du canton.
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- Lamouche, rue – voir Dorgelès rue Roland Même voie que ci-dessus
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- Lamy, rue du Commandant François Joseph Amédée (créée en 1936)(07/02/1858-22/04/1900) Il donna son nom à Fort-Lamy, actuelle Njamena, capitale du Tchad. La rue avait été nommée précédemment par les habitants. Officialisée en 1936.
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- Landais, allée des (créée en 1972)
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- Landais, square des (créé en 1972)
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- Landiers, rue des – Voir Aindiers, rue des
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- Landouzy, impasse (d’après l’annuaire Matot-Braine) En 1884, elle ouvrait au 38 rue Landouzy.
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- Landouzy, petite rue de – Voir Rogelet, rue Victor
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- Landouzy, rue Marc Hector (créée en 1876) Médecin (06/01/1812-01/03/1864) Fondateur de l’Académie Nationale de Reims. En 1900, on y trouvait "l'hôtel de la Paix"
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- Langlet, Cours Jean Baptiste Nicaise (baptisée en 1924) Médecin, maire né à Reims 46 rue du Bourg Saint Denis ( 07/09/1841-1908/1919-07/03/1927) Il avait été pris comme otage par les Allemands en 1870.Au cours de fouilles, on a trouvé des traces de voie romaine, ainsi que des trous de poteaux de constructions en bois de 50 Av JC et des fours domestiques. On a également trouvé plusieurs voies médiévales perpendiculaires au cours Langlet actuel. Avant la première guerre mondiale, il y avait 3 rues parallèles. A la reconstruction le plan Ford prévoyait que les immeubles situés à l’angle de chaque rue devaient comporter une coupole. Seul l’immeuble du 30 cours Langlet, angle rue du Cadran Saint-Pierre a respecté cette donnée. En 1930, il y avait 2 monuments en bout du cours (vers la gare) : un monument en honneur aux 132ème, 332ème RI et 46ème RT, installé en 1926 et déplacé ensuite place Léon Bourgeois en 1934 et la fontaine des Boucheries, vers la chambre des notaires en 1926 puis recentrée en 1934 et de nouveau déplacée en 2009 place Jules Lobet pour laisser le passage au tramway. Dans ce cours, on peut voir aussi l'hôtel de Bezannes , une construction Renaissance.
5 voies regroupées ayant porté plusieurs noms
-1-A- Cygne, rue du -Du nom d’une enseigne.
-1-B- Grosse Clef, rue de la (connue au 15e siècle) Enseigne d’un serrurier. Le tracé a été confirmé en 11/2007 après des fouilles. Elle reprenait le tracé d’une rue gallo-romaine. En 12/1778, au n uméro 682, on y voyait l'auberge de "la Ville de Paris"
-1-C- Clef, rue de la - (connue en fin 18e siècle.-Disparue en 1924) Un serrurier y habitait. La rue avait une longueur de 80 mètres. et était très étroite, à peine 3 m. Elle était prolongée par la rue des 2 Anges.– Les 3 noms ci-dessus étaient simultanés. L’hôtel de Bezannes était en bordure de cette rue et a été déplacé à la création du cours après la première guerre mondiale. De même , 2 baraques en bois pour des commerces ont été édifiées en 1920.
-2-A- Maillet Vert, rue du (connue au 16ème siècle.) Du nom d’une enseigne d’un tonnelier connue sous le nom de "Maillet Verd" en 03/1777.
-2-B- Carrouge, rue du (baptisée en 1841) Rue disparue en partie en 1924 - Voir rue du Carrouge.
-3-A- Serrurerie, rue de la
-3-B- Vieille Serrurerie, rue de la - (baptisée au 17ème siècle)
-3-C- Ferronnerie, rue de la - (baptisée au 17ème siècle)
-3-D- Belle Image aux Deux Anges, rue de la -Origine : une sculpture sur une maison.
-3-E- Deux Anges, rue des - (baptisée au fin 18ème siècle) Rue disparue en 1924. Elle était très étroite, à peine 3 m de large Elle donnait au carrefour avec les rues des Élus et de l’Hermitage et place du palais de justice. C’était le prolongement de la rue de la Clef. très étroite. En 1769, on a procédé à un alignement et un élargissement de la rue. En 07/1776, on y voyait au numéro 821, la maison dite de "La Belle Image"En 03/1782, on y voyait l'auberge de la " Ville de Thionville. En 1860, l'épicerie Lecygne au numéro 1 de la rue (numérotation 1791) fut la première à Reims à disposer d'une machine à couper le sucre en morceau ( 90 ou 140 morceaux au kilo) Auparavant le sucre était livré en pains de 10 kg. En 1867, on trouvait le café du "Gros raisin".
-4-A- Deux Anges, cul de sac des -Il donnait rue des 2 Anges.
-4-B- Deux Anges, impasse des (disparue en 1924) Elle ouvrait au 10 rue des 2 Anges.
-5-A- Piques, impasse des - (C'est l'impasse des 2 Anges rebaptisée en 1794 et qui a repris son nom ensuite)
-5-B- Piques, rue des (C'est la rue des 2 Anges rebaptisée en 1794 et qui a repris son nom ensuite) Nommée rue après percement.
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- Lanson, rue Victor - (baptisée en 1894) Négociant en champagne, adjoint au maire (02/02/1808-08/01/1893) La maison Lanson et Greno a été créée en 1837 puis est devenue Pommery et Greno en 1857. En 1895, la rue allait de la rue Coquebert dans les champs.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Saint-Nicaise, chemin de
-1-B- Saint-Nicaise, rue de - En 1864, la rue allait de la place Saint Nicaise à la rue Ponsardin.
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- Lantiome, rue Jules Edmond (baptisée en 1924) Avocat ( 19/03/1835-30/06/1896) Il légua une collection d’armes au musée. Lors de fouilles, on a trouvé des traces du Cardo dans la rue.
Un nom précédent.
-1-A- Lempereur, rue . Dénommée par les habitants du nom d’un entrepreneur. Non officialisée. C’était une voie privée qui allait de la rue de Chevigné à la rue Saint-Louis.
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- Laon, avenue de - (baptisée en 1885) Rebaptisée suite à une pétition. C’est la voie la plus longue de Reims : 2626 m, puis poursuivie par une ancienne voie romaine vers l’extérieur qui menait à Thérouane (Tervana Morinorum pour les Romains, une des 12 cités de la Belgique Seconde). Au niveau du 227, une ruelle sans nom existe en 2008. En face de la rue Henri Lecompte, on peut voir une borne de grès rose qui indique le point de départ de l'offensive victorieuse de 1918. Sur cette borne il était écrit "ici a été repoussée l'invasion allemande" ce qui est erroné car la ville fut entièrement envahie du 4 au 19 septembre 1914. 120 bornes ont été posées en 1921, de la mer du nord à l'Alsace pour marquer le départ de la grande offensive générale qui a amené la victoire. Des bornes similaires existent route de Witry et sur la nationale à Tinqueux, ainsi qu'au fort de la Pompelle (2 qui ont été offertes par les anciens combattants du Mexique) Ces bornes ont été posées à l'initiative du Touring club de France et de celui de Belgique. 240 étaient prévues mais faute de fonds , on s'est arrêté à 120. Suivant le front des armées alliées, elles différent par la représentation du casque qui la surmonte, français, belge ou anglais. En 1906, une vespasienne était installée à l'entrée de l'avenue près de l'entrée de la gare de marchandise et une autre au carrefour avec la rue de Neufchatel ( Émile Zola) c'est une des 3 rescapées que l'on pouvait encore voir pendant quelques années après la 2ème guerre mondiale.
3 voies précédentes avec des appellations successives. Pendant l’occupation allemande de 1914, des documents portaient le nom de « Laoner Strasse »
-1-A- Saint-Thomas, faubourg de
-1-B- Mars, faubourg de (Rebaptisée en 1794)
-1-C- Saint-Thomas, faubourg de (rebaptisé en 1856. )
-1-D- Neuvillette, faubourg de la
-2-A- Papeterie, rue de la -Du nom de l’industrie qui s’y trouvait.
-3-A- Laon, faubourg de (baptisée en 1841 )Regroupement des rues 1 et 2. En 1875, elle allait de la voie ferrée à l'église Saint Thomas. Depuis l'église jusqu'aux confins de la ville, elle était appelée Route de Laon.
-3-B- Laon, rue du faubourg de - (baptisée en 1841) La rue était longée par le mur de l’octroi en 1855, démoli en 1886.
-3-C- Laon, rue de - Elle garda ce nom quelques jours en 1885. Préfecture de l’Aisne.
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- Laon, faubourg de – Voir Laon, avenue de
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- Laon, rue du faubourg de – Voir Laon, avenue de
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- Laon, pont de -Devant la menace allemande de faire sauter le pont à la fin de la 2e guerre mondiale, un groupe de défenseurs du maquis se constitua pour le défendre. Ils étaient 12 en 1944, et au moins 100 ? ! autoproclamés dés le 30 août 1944.
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- Laon-Pouillon, square (créé en 1987)
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- Laoner Strasse - Voir Laon, avenue de
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- Lapie, rue Paul - (baptisée en 1935) Philosophe, pédagogue, recteur de l’Académie de Paris (04/09/1862-26/01/1927)
Un nom précédent.
-1-A- Jardins, impasse des - (créée en 1887) Elle fut percée pour aboutir rue des Jardins.
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- Laplace, rue Pierre-Simon de -Comte d’empire puis Marquis en 1817 (créée en 1967) Astronome, physicien, mathématicien (23/03/1749-05/03/1827) Il étudia la mécanique céleste et la théorie des probabilités ( loi de Bayes-Laplace sur les statistiques interférentielles.) Nommé ministre de l'intérieur sous le consulat, il fut révoqué au bout de 6 semaines pour médiocrité . Il prit des positions déterministes.
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- Larch, bourg de – Voir Marc, rue du
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- Larderie, rue de la – Voir Royale, place
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- Large, rue – Voir Buirette, rue
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- Latéral à l' A26, chemin
Zone de la Neuvillette.
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- Latéral à la Voie Ferrée, chemin rural dit
Dans la zone Farman , parallèle à la rue des Macécliers.
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- Latéral au Canal, chemin rural n° 13 dit
Zone de la Neuvillette.
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- Latéral Nord Ouest, chemin
Zone de la Neuvillette.
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- Latham, rue Hubert (créée en 1958) Aviateur.(10/01/1883-07/06/1912) En 08/1909, il battit le record d’altitude à 155 m Il est mort au cours d’une partie de chasse au Maroc.
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- Lattaignant, rue de - Voir Atteignant, rue de l’
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- Lattre de Tassigny, Boulevard Général Jean Joseph Marie Gabriel De (créée en 1956) Maréchal (02/02/1889-11/01/1952) Il reçut 4 blessures au combat en 1914-1918. Il n’a pas reconnu l’Armistice de 1940. Il a été arrêté, condamné à 10 ans de prison. Évadé le 03/09/1943, il passa en Angleterre puis à Alger. Il fut commandant des forces françaises en Indochine et surnommé « le Roi Jean » Il est mort le 11/01/1952 d’un cancer de la hanche.
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- Lattre de Tassigny, place du Général de (créée en 1958)
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- Laurencin, rue Marie (créée en 05/2010)
Peintre (31/10/1883-09/06/1956) Décédée d'une attaque cardiaque. Elle a participé à l'aventure du " Bateau Lavoir" immeuble de Paris ou plusieurs artistes avaient leur atelier. La rue va de la rue Raoul Dufy vers l'avenue Léon blum.
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- Laurent, rue Alexandre, Gustave - (baptisée en 1950) Greffier du tribunal, historien (28/02/1873-09/11/1949) Adjoint au maire. Il termina l’ » Histoire de Reims » de Georges Boussinesq. En 1955, une pétition pour revenir au nom précédent, suite à confusions avec la rue Jules Laurent, est restée sans suite.
Un nom précédent.
-1-A- Bétheniville, rue de - (créée en 1887) Commune prés de Reims. En 1941, au N° 23, on trouvait la fabrique de jouets "Lachaux"
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- Laurent, square Gustave (créé en 2004)
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- Laurent, rue Jules - (baptisée en 1935) Professeur , naturaliste (21/08/1860-30/04/1918)
Un nom précédent.
-1-A- Ristourne, rue de la
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- Laurent-Déramez, rue Arthur Maximilien (baptisée en 1901) Conseiller municipal (15/12/1850-15/05/1896) Négociant en vin. Déramez était le nom de sa femme.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Magister, cour du (créée en 1703)
-1-B- Sœurs, cour des (baptisée en 1836- mais connue en 1782 sous ce nom) ouverte en 1782 pour devenir la ruelle des Soeurs (voir à ce nom) Ouverte en 1901. Une école religieuse s’y trouvait. La cour ouvrait 45 faubourg Cérès d’après l’annuaire Matot-Braine.
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- Lausanne, allée de (créée en 1966) Ville de Suisse.
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- Laval, rue Michel (baptisée en 05/2010)
PDG de sociétés et Président d'associations. C'est une rue en fer à cheval donnant rue de Courcelles.
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- Laveurs, rue des - (créée en 2008) En souvenir de l’usine de peignage Holden et en général de tous les ouvriers du peignage et du tissage, importants à Reims au 19ème siècle. Située dans la zac Dauphinot.
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- Lavoirs, chemin des (Existait au 19ème siècle.) Dite aussi rue du Lavoir en 1875. Elle partait de la rue de Fléchambault, comprise entre 2 bras de la Vesle et se terminait en impasse.
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- Lavoisier, rue Antoine Laurent de (créée en 1973) Chimiste, philosophe, économiste (26/08/1743-01/05/1794) Père de la chimie moderne. Percepteur des impôts, Fermier Général en 1767. Il a été guillotiné à la Révolution. le Président du tribunal déclara « La République n’a pas besoin de savants » La formule » Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme » n’est pas de lui mais du grec Anaxagore de Clazoménes.
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- Lebeau, passage Marius, Alfred (créé entre 1922 et 1925) Horticulteur (19/06/1857-01/05/1921) Madame Lebeau y habitait encore entre les 2 guerres. Il allait du 273 avenue de Laon à la rue de Cormicy.
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- Lebrun, rue – voir Brun, rue Le
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- Lebrun-Lepreux, rue – Voir Bausonnet, rue
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- Leclerc, boulevard du Général Philippe François Marie, Comte de Hauteclocque dit (21/11/1902-28/11/1947) Élevé à la dignité de maréchal. (Voie baptisée en 1949) Il a été plusieurs fois blessé en 1914-1918. Il participa à la guerre du Rif. En 05/1940 il a été fait prisonnier et s’évada. Le 15/06/1941, blessé, prisonnier. Le 17/06/1941, il s‘évada de nouveau. Il entra en résistance sous le nom de Philippe Leclerc, puis sous le nom de François Leclerc. Il rallia le Cameroun, le Tchad, le Congo et le Gabon à la « France Libre » Il a commandé la 2e DB qui s’illustra à Koufra. Il libéra Paris et Strasbourg et ira jusqu’au nid d’aigle d’Hitler. Il a été muté en Indochine. Victime d’un accident d’avion en Algérie le 28/11/1947. Certains disent qu’il s’agissait d’un faux accident prémédité, on aurait retrouvé un corps de plus que les personnes embarquées. Ce boulevard a été établi sur l’emplacement des remparts du 4ème siècle. .
NOTE : L'immeuble du N° 45 porte une deuxième plaque indiquant "ancien 91"
2 noms précédents successifs.
-1-A- Promenades, boulevard des (créé en 1841) Voir boulevard Foch. Il a aussi été créé sur une partie du cour Lepelletier. En 02/1853, l'Industriel de la Champagne signale que le futur embarcadère du chemin de Fer sera face au numéro 19. En 1871, l'occupant allemand avait construit sur ce boulevard à l'angle avec la rue Chativesle, un autel en hommage au dieu Wotan. Il a bien sûr été détruit dés leur départ.
-1-B- République, boulevard de la - (baptisé en 1885) Baptisé en partie, voir Boulevard Foch. En 1890, on y a construit la première vespasienne de la ville à l'angle de la rue Chativesle. Notons que la plupart de ces édicules furent construits près de cafés, était-ce voulu ?
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- Leclerc, place du général – Voir Boulingrin, place du
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- Lecointre, rue Pierre Rose François Eloi (baptisée en 1876) Président du tribunal de commerce, conseiller municipal ( 01/12/1788-13/01/1868) La rue allait de la rue de Saint-Thiery dans les champs en 1876.
Une voie postérieure pour partie.
-1-A- Vaillant Couturier, rue Paul (rue postérieure à ci-dessus) Homme politique, journaliste, écrivain (08/01/1892-10/10/1937) Il a été blessé 2 fois en 1914-1918. La rue comprend une partie de la rue Lecointre, au droit de la place Verte.
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- Lecompte, rue Émile, Henri (créée en 1955) Expert comptable (06/12/1890-25/09/1951) Directeur de l'école supérieure de commerce.
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- Lecompte, square Henri
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- Ledoux, allée du Docteur Alfred
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- Ledoux, rue du Docteur Joseph Alfred Eugène (créée en 1991) Médecin né à Reims 3 rue Saint Bernard (08/07/1898-17/09/1969)
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- Ledru-Rollin, impasse
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- Ledru-Rollin, rue Alexandre Auguste de Ledru, dit (baptisée en 1903) Avocat, homme politique (08/02/1807-31/12/1874) Initiateur du suffrage universel. Il a été ministre de l’intérieur du gouvernement provisoire de 1848. Candidat à la Présidence de la République arrivé en 3ème position. La rue comporte une voie en impasse au lieu-dit « Parc de Vesle »
2 voies précédentes.
-1-A- Bains Froids, chemin des (en partie) Ou chaussée des Bains Froids dont le propriétaire était Pierre Napoléon Guinot.
-1-B- Bains, chaussée des (en partie)
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-Lefèvre, rue Ernest Onézime (créée en 1925) Compositeur (07/06/1853-02/11/1913) Il dirigea la musique municipale puis fut le premier directeur de l’école de musique.
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- Lefort, rue du Docteur Marie-Louise (créée en 1956) (1875-1951) Américaine née de parents français. Elle est venue en France en 1918 avec une équipe de 5 médecins et 32 infirmières pour soigner les blessés gazés. A ce titre, elle installa un hôpital temporaire 88 rue Chanzy. En 01/1919, le comité américain pour les blessés français décida de fonder un hôpital pour enfants. l'emplacement choisi fut Reims. C'est l'origine de l'American Memorial hospital. Le docteur Lefort en devint directrice jusqu’en 1939, date de son retour aux USA.
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- Legendre, rue Jean Gabriel - ou Le Gendre (baptisée en 1841) Ingénieur des Ponts et Chaussées ( …-1770) Il créa la place Royale et les Promenades. A l’origine, la rue s ‘arrêtait à la rue du Petit Arsenal puis fut prolongée jusqu’au Marché à la Laine. En 1864, la rue allait de la rue Cérès à la rue de l'Avant Garde.
Regroupement de 3 voies.
-1-A- Cheval Blanc, rue du - (pour partie) (baptisée en 1610) Origine : une enseigne. La rue formait un coude avec la rue du Petit Arsenal. Ce coude a été percé pour accéder au Marché à la Laine. En 12/1803, à l'entrée de la rue ou voyait l'ancienne poste aux lettres.
-2-A- Tonnelet, rue du - (baptisée au 17ème siècle.) Origine : une enseigne.
-3-A- Marché à la Laine, rue du
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- Legros, rue François Louis (créée en 1969) Bienfaiteur (25/04/1878-07/08/1958)
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- Legros, rue Jean, Louis, Léon (créée en 1988) Pharmacien, astronome (07/12/1907-10/08/1978) On lui doit une horloge astronomique installée au Collège des Jésuites. Il composa aussi quelques œuvres musicales.
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- Lejeune, rue Henri, Alfred (créée en 1934) Voie parallèle Professeur (03/05/1824-08/02/1860) Avocat, polémiste.
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- Lejeune, rue Alfred – Voir Butot. rue
Voie parallèle, mais la rue fait un coude pour rejoindre la rue Legendre. Elle pourrait donc être la même.
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- Lelarge, rue Henri (créée en 2001) Bâtonnier des avocats né à Reims 11 rue Bonhomme (18/10/1906-25/01/1987) Rue inaugurée en 10/2002 -Elle se prolonge vers Courcy.
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- Lelièvre, impasse
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- Lelièvre, rue Constant Irénée - (baptisée en 1908) Mécanicien (26/04/1832-21/08/1899) Il créa la société mutuelle immobilière de l'Union Foncière.
2 noms précédents successifs.
-1-A- Tannerie, rue de la (connue en 1328) Avant le baptême de la rue, un tanneur Jehan de Vitry y habitait au 12e siècle. En 1864, la rue allait de la rue de Vesle au boulevard fléchambault.
-1-B- Tanneurs, rue des -d’après le plan de 1769 Pour l’activité qui s’exerçait dans cette rue.
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- Lemaire, jardin Marcel, Louis, Arnould, Joseph - La Neuvillette (créée en 1986) Ou Espace de loisirs Marcel Lemaire -Sénateur (07/05/1906-15/11/1985) Président de nombreuses organisations agricoles.
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- Lemmer, jardins Maurice Marie Paul Antoine (créés en 1978) Président de la Société des Jardiniers né à Reims 103 avenue de Laon (08/02/1913-29/02/1976) Jardins familiaux.
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- Lemoine, rue – Voir César Poulain, rue
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- Lemoine, rue du Docteur Armand Victor (baptisée en 1913) Naturaliste. (12/04/1837-24/03/1897) . Dans cette voie a été créé le siège des Établissements Économiques, en 1866, premier établissement à succursales multiples et dont l'adresse était devenue 76 rue du docteur lemoine. Ces établissements ont disparus.
3 noms précédents successifs.
-1-A- Jacquart, rue
-1-B- Jacquart Prolongée, rue
-1-C- Lemoine, rue Victor (2e prénom du docteur) (baptisée en 1913) Erreur du conseil municipal, la rue a été rebaptisée Armand dans la foulée et l’extension a été décidée pour partie de la rue Jacquart, entre la rue du Champ de Mars et le pont Huet.
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- Lemoine, rue Victor – voir Lemoine, rue du docteur
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- Lempereur, rue – Voir Lantiome, rue
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- Lenain, rue Louis – Voir Nain, rue Louis Le
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- Lenoir, rue Camille Valéry Antoine (baptisée en 1932) Ouvrier puis commerçant (buraliste), Adjoint au maire, député (04/05/1859-17/03/1931)
Un nom précédent.
-1-A- Bétheny, rue de - (créée en 1845) Baptisée en partie, entre le boulevard Lundy et la place du Docteur Knoëri.
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- Lenoncourt, place Robert de - (baptisée en 1843) Archevêque de Reims, Duc et Pair (…-1532) Il sacra François Ier. Un neveu portant les mêmes noms et prénoms était évêque de Metz en 1551. La voie se trouvait près d’une rue du Châtelet, disparue. Elle donnait rue du Pistolet, sur l’emplacement d’un cimetière gallo-romain. elle était située entre la place du chanoine Ladame et la place Saint Rémi. Un ruisseau parcourait encore la place de 1899.
2 places précédentes.
-1-A- Écaille, place de l’ -Place en pente située près de Saint-Rémi, qui recevait les eaux pleines d’écailles de poissons des cuisines des Minimes qui en mangeaient. Les Minimes (ordre fondé par Saint François de Paule - (27/03/1416-02/04/1508) se sont installés à Reims en 1572 sur le prieuré Saint Cosme et Saint Damien, donné par l'archevêque Charles de Lorraine. Ils venaient de Bracancourt, prés de Vignory dans la Haute Marne car leur couvent avait été détruit par les calvinistes. Leur nouveau couvent était établi au sud de la place . La porte de l'église était encore visible en 1890. Une fontaine dite des Minimes a été construite contre le mur du couvent au 18ème siècle. Autre explication : Il s'agirait d'un four banal de l’Eschamme qui y était installé avant l’arrivée des Minimes.
-2-A- Quille au Bâton, Place de la -Origine ; jeu prisé à l’époque. Il s'agissait de faire tomber des quilles, non pas avec une boule mais avec un bâton.
Les 2 places ci-dessus ont été réunies pour former la place Lenoncourt.
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- Lenoncourt, rue Robert de
Nom relevé sur une carte postale de 1919 montrant les démolitions de la première guerre mondiale. La photo montre aussi l'église Saint-Rémi à peu de distance. Cette rue serait donc située au sud de l'église . Il s'agît peut-être de la place du même nom ou de la rue Saint Julien qui en sort ? Pour certains auteurs, la rue Lenoncourt aurait donné place Robert de Lenoncourt. Il y a doute de son existence.
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- Lentin, rue – Voir Nain, rue Louis Le
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- Lepagnol, cour (baptisée en 1856) Origine : nom de propriétaire. Elle s’ouvre sur la rue du Barbâtre, au 101 (89 actuel) et la rue Ponsardin au 116.
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- Lepagnol, place Charles Zéphir (créée en 1979) Directeur d'école, adjoint au maire né à Reims 27 route de Cernay ( 21/11/1886-28/03/1979)
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- Lepelletier, cour – Voir Foch, boulevard
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- Lepelletier, rue – Voir Bertin, rue Henri
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- Lepointe, allée Marcel Paul Marie (créée en 1965) Lieutenant colonel, comptable, conseiller municipal (14/01/1899-01/04/1962)
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- Lesage, impasse Étienne (créée entre 1906 et 1911) Ouvrier tisseur (07/06/1815-29/09/1868) Il créa la Caisse de Prévoyance pour la Retraite. L’impasse ouvrait 84 rue Lesage.
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- Lesage, rue Étienne - (créée en 04/1873)
Au N° 115 en 1900, on trouvait le mécanicien "Frissart"
4 noms précédents successifs.
-1-A- Poteau Rouge, chemin du -Un poteau indiquant la limite de Reims y était implanté. Le chemin allait de la rue Havé dans les champs .
-1-B- Bourgogne, chemin de -Du nom d’une commune prés de Reims.
-1-C- Saint-Étienne, chemin de-
-1-D- Saint-Étienne, rue de - (baptisée en 03/1873)
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- Lescrevisse, rue de – Voir Ecrevisse, rue de l’
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- Lescuyer, rue Émile César (créée en 1989) Instituteur, conseiller municipal (19/10/1865-20/09/1941) -Administrateur du bureau de bienfaisance.
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-Lespagnol, cour Nicolas Claude (de Bezannes) (disparue en 1929) L’hôtel de Bezannes actuellement cours Langlet lui aurait appartenu. Lieutenant des habitants au 17e siècle.
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- Leu, cour du -connue en 1774 -Située au milieu de la rue de Contrai. Le nom vient du latin lupum : loup. Le mot leu est une interprétation francienne. D’après un acte notarié, Jean-Baptiste de la Salle y avait acheté une maison.
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- Levant, impasse du - D’après un plan de 1843 Elle prend 10 rue du Levant, actuelle rue Marie Stuart. Elle était sensiblement dirigée vers l’est.
A l'entrée, une grille était fermée la nuit.
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- Levant, rue du – Voir Stuart, rue Marie
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- Levy-Souplet, rue du Docteur Jean Joseph (créée en 1972) Chirurgien (07/05/1895-09/07/1958) Résistant. Caché dans sa clinique, il soigna des aviateurs alliés. Souplet était le nom de sa femme.
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- Lézarde, lieu-dit La – Voir Croix Rouge, lieu-dit
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- Lézardière, lieu-dit La – voir Croix Rouge, lieu-dit
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- Libergier, rue Hugues (ou Hues d’après sa pierre tombale) (inaugurée le 15/12/1835) - Même voie que ci-dessous Il vécut au 13ème siècle. Constructeur de l’église Saint-Nicaise. (Robert de Coucy étant l’architecte) En 1857 la rue a été prolongée jusqu’au canal après suppression du couvent des Carmélites. En 1886 la proposition de la nommer rue Robert de Coucy est classée sans suite. En 1905 il y avait une halte du CBR au niveau de la passerelle sur le canal. En 1910, les bâtiments restants du couvent des Carmélites se trouvaient toujours au niveau des n° 40 à 46 de la rue, c’était la maison de retraite du clergé. . En 1920 un bureau provisoire des postes fut implanté dans la rue, la poste centrale de la rue Cérès ayant été détruite. En 1919, la sous-préfecture s'installa provisoirement au numéro 26, à l'hôtel de La Morinerie, laissé libre par ses propriétaires. En 1910, au coin de la rue Clovis devant le lycée, il y avait une vespasienne. De 1920 à 1960, l'école des Beaux arts et des Arts Appliqués était installée au N° 12. Depuis 1962, après reconstruction elle est devenue l’École Supérieure d'Arts et de design.
4 rues précédentes aux noms successifs.
-1-A- Porte Saint-Denis, rue de la -Elle menait déjà à la cathédrale et la rue Libergier et donnait dans la rue des Fuseliers. Près de cette porte en 1750, on y voyait une maison dite "La Véronique" d'après les archives de l'archevêché, détruite à une date inconnue.
-2-A- Age Viril, rue de l’ - (baptisée en 1794)
-3-A- Sainte-Catherine, rue (baptisée en 1886) Regroupement des 2 rues précédentes. La rue se trouvait sur l’emplacement de l’aumônerie du même nom, construite au 12ème siècle. Des égouts y ont été creusés en 1866. Cette rue se trouve aussi rue Rockefeller.
-4-A- Saint-Denis, impasse - (baptisée en 1828)En 1835, elle a été percée et inclue dans la rue Libergier.Voir NOTE à De Gaulle pour l’existence du chemin Hannier en prédécesseur de la rue Libergier en 1883 ? Hanier était marchand de charbon , décédé en 1905 rue Libergier?
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- Libergier, rue – Voir Rockefeller, rue Même voie que ci-dessus.
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- Liberté, impasse de la (d’après l’annuaire Matot-Braine ) (créée en 1912)
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- Liberté, passage de la – Voir Grigny, rue Nicolas de
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- Liberté, place de la (La Neuvillette) (créée en 1970)
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- Liberté, place de la – Voir Royale, place
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- Liberté, rue de la (créée en entre 1912 et 1913) Voie différente de ci-dessous Au N° 3, on trouvait les Ets "Dupont" électricité industrielle.
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- Liberté, rue de la - (créée en 1676 - disparue depuis) Voie différente de ci-dessus. Située prés de la rue de la Grosse Écritoire.
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- Liberté, rue de la – Voir Martyrs, rue des Voie différente de ci-dessus.
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- Liberté, rue de la (La Neuvillette) (créée en 1970) Voie différente de ci-dessus Elle ouvre rue de Neufchâtel.
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- Liberté, voie de la -appellation non officielle. Elle recouvre plusieurs rues de la ville. Cette voie commémore depuis 1947 l’avancée des troupes américaines depuis le débarquement de 1944. L'existence de cette voie a été officialisée en 1947. Elle va de Sainte-mère-église (borne 0) et Utah Beach (borne 00) à la frontière française initialement puis, à la demande des américains jusqu'à Bastogne en Belgique (ou s'est illustrée la 101ème division aéroportée US ) en suivant le parcours de la 3e armée du général Patton. Les bornes d’origine ont été remplacées par des moulages en matière synthétique sauf une, restée d’origine en béton, à Champillon, entre Épernay et Reims . Beaucoup de ces bornes ont disparu , donné en cadeau à divers ayants-droit ou musées. En ville , cette voie passait avenue d’Épernay, avenue de Paris, rue de Vesle, place Myron T. Herrick (où une autre borne existait- voir au nom de la place ) , rue Carnot, puis remontait le boulevard de la Paix.
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- Liéga, cour - connue en 1794. Elle ouvrait rue du Barbâtre. Il s'agit vraisemblablement du nom d'un habitant. En 01/07/1794, les Affiches signalaient la vente d'une maison dans cette rue. En 04/1799, les Affiches de Reims orthographient Liégat.
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- Lilas, rue des (créée entre 1906 et 1911) Un clos de lilas s’y trouvait. La rue va de la rue de Courcelles à la rue Bruyant.
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- Limoges, rue de (créée en 1930) Cette ville donna de l’argent pour la reconstruction de la ville après la première guerre mondiale.
ANECDOTE: A la déclaration de guerre de 1914 il fallut créer de nombreuses divisions supplémentaires et donc aller chercher des généraux en retraite et âgés pour leur commandement. Un grand nombre se montrèrent incompétents; ils furent alors destitués et assignés à résidence à Limoges. D’où l'expression "limogés".
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- Limousins, allée des (créée en 1972) L’allée se termine en impasse.
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- Lingat, rue Robert - (créée en 2006) Académicien, professeur (1892-1972) -Historien de la loi indienne. Enseignant à Bangkok puis en 1941 en Indochine, puis en 1956 au Cambodge jusqu’en 1961.
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- Linguet, lieu-dit Le -Le long de la route de Witry. En 1915, les tranchées Françaises et Allemandes étaient à 40 mètres l'une de l'autre.
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- Linguet, rue Simon Nicolas Henri – (baptisée en 1840) Avocat radié après 10 ans de carrière pour déloyauté (14/07/1736-27/06/1794) homme de lettre; publiciste, cultivateur. Il était opposé au libéralisme économique de la Révolution. Il s'est exilé à Londres en 1777. revenu à Paris, il est embastillé de 1780 à 1782. Il est guillotiné pour des faits antérieurs à la Révolution. Dans cette rue, on peut voir le "Pavillon de Muire" construit en 1565, rare exemplaire de l'architecture Renaissance à Reims qui appartient à une maison de champagne. La rue a été pavée en 1852. Voie différente de ci-dessous -Réunion des 3 rues précédentes ayant porté plusieurs noms successifs ou simultanés
-1-A- Petits Pâtés, rue des -Elle allait de la rue du Marc à la rue du Temple. Elle était appelée ainsi à cause de l’hôtel de Muire que l’on appelait aussi la maison des gros et des petits pâtés d’après sa décoration.
-1-B- Pied de Bœuf, rue du -Origine :une enseigne. Cette rue donnait dans la rue du Grenier à Sel et la rue du Bureau de la Draperie.
-2-A- Monginglon, rue - (ou ci-dessous) (connue en 1328)
-2-B- Montienglon, rue (voir rue Mansuy(ou ci-dessous)
-2-C- Montjenglon, rue (ou ci-dessous) (connue en 1328)
-2-D- Mont-Jainglon, rue (baptisée au 15ème siècle)
-2-E- Mont Jinglon, rue -Tous ces noms d’après Tarbé. Cela viendrait d’un monticule formant plate-forme devant une rue.
-3-A- Bouchers, rue des -Depuis la rue du Temple, elle faisait un coude pour aboutir rue Monginglon. la rue finissant par en prendre le nom. En 1888, on vit dans cette rue l'installation de la première sonnette électrique sur un immeuble.
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- Linguet, rue – Voir Mansuy, rue Voie différente de ci-dessus.
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- Lion d’Or, galerie du -privée (créée en 1960) Du nom d’un ancien hôtel construit sur cet emplacement en bordure de la place d’Erlon et qui a été démoli dans les années 1950.
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- Lisbonne, allée de (créée en 1966) Capitale du Portugal.
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- Lisieux, place de (créée en 1961) Cette ville donna de l’argent pour la reconstruction de la ville. Son nom a été oublié sur la liste des villes à honorer après la première guerre mondiale.
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- Lisieux, rue de – Voir Dunkerque, rue de
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- Lobet, place Jules (créée en 1925) Ouvrier, syndicaliste, conseiller municipal d’Ay, député (31/07/1871-28/04/1925) Le 16 avril 2009, la place a reçu la fontaine des boucheries déménagée du cour Langlet pour permettre le passage du tramway ( voir à ces noms )
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- Lobet, rue Louis – (créée en 1994) Employé (01/01/1881-18/01/1938)
Un nom précédent.
-1-A- Lobet, allée Louis - Voie privée (créée en 1974 - disparue en 1994)
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- Loge Cocaut, place des – Voir Loges Coquault, place des
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- Loges Coco, place des – Voir Loges Coquault, place des
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- Loges Coquault, fontaine des (construite en 1747.- démolie en 1852) Elle était située à l’angle de la rue de Contrai actuelle. Cette fontaine était dédiée à Coquebert. En 1769, elle était aussi appelée « Fontaine Coco. »
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- Loges Coquault, place des - (baptisée en 1903)
L’immeuble qui a donné son nom à la place a été démoli en 1852. il était situé face à la rue du Bourg Saint Remi qui longe la place, donc derrière le petit lycée actuel. Il portait le nom de Oudard Coquault, un négociant. La famille Coquault existait au 13ème siècle. En 1855, louis Paris appelle le propriétaire soit Oudart Coquault soit Odarl Coquault. Il était l’auteur de chroniques sur Reims de 1640 à 1694. Dans la famille il y eut également le chanoine pierre Coquault, auteur d’une histoire de l’église, ville et province de Reims. C’est grâce à lui et aux dessins de jacques Cellier que l’on a conservé la mémoire du labyrinthe dessiné sur le pavement de la cathédrale, détruit au 18ème siècle (dessin qui sert d’emblème aux « Monuments Nationaux ») Mais il faut noter que par ignorance, il a détruit nombre de documents d'archives.En 1654, le roi Louis XIV venant se faire sacrer à Reims a passé quelques heures dans ce logis. Le plan de 1769 indique « loges Coco » et l’état de recensement des biens du clergé de 1795 porte le nom de « loge Cocaut. » Le mot « loge » est d’origine germanique et on en a tiré le mot « logis. Notons qu’au 10ème siècle, une voie sans nom partait de ce lieu pour monter en haut de la rue du Barbâtre. Son tracé avait été repris en partie par la rue du Bour Saint Remi et la rue de Contrai.. Au 19ème siècle, on pouvait y voir un calvaire qui avait été édifié d'abord dans le Grand Jard en 1757 puis déplacé en 1802 sur cette place . En mauvais état, il avait été reconstruit en 1876. Il a disparu depuis.
Plusieurs appellations ont précédé le nom actuel de la place :
-1-A- Loges Coquault, lieu-dit -connu en 1328.
-1-B- Boule, loges de la - Du nom d’un hôtel de "la Boule" qui y était implanté.
-1-C- 6 cadrans, place des - Une colonne supportant 6 cadrans horaires avait été installée en 1832. Suite aux destructions de la révolution, il n’y avait plus de clocher avec horloge dans les environs immédiats. Les horloges étaient réputées donner 6 heures différentes. La colonne a été détruite pendant la première guerre mondiale. En 1904, on pouvait voir derrière la colonne des horloges une maison portant à son fronton l'inscription "Aux loges Coquault"
En 1925, un projet de jardin appelé square des Anglais est resté sans suite. Sur cette place se trouvait un cinéma, le Familial, construit après la première guerre mondiale, fermé depuis les années 1970 il est maintenant le siège d’un mouvement religieux. Dans cette même période on pouvait encore voir à sa droite une cabane en bois, dernière de celles érigées un peu partout en ville en 1920 pour abriter les commerces renaissants. Cette cabane abritait un cordonnier. Elle a malheureusement été détruite pour laisser la place à une palissade. En 1999, la municipalité de l’époque avait instauré une « voie des sacres » appellation non officielle pour relier la cathédrale à Saint Remi. Pour marquer cette décision, une sculpture, la Pierre d’Heure a été érigée vers la rue de Contrai. Elle a été financée grâce au mécénat. En 1935, un kiosque à journaux que l'on voyait encore après la 2ème guerre mondiale était implanté à la place de cette sculpture.
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- Loges de la Boule, place des – Voir Loges Coquault, place des
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- Loges Saint-Pierre, rue des – (créée en 1505 - disparue)
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- Loi, rue de la – Voir Prison du Bailliage, rue de la
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- Loiseau, rue Marcelle, Pierrette (créée en 1973) Étudiante, résistante née à Reims 13 boulevard Saint Marceau (11/06/1924 – 26/03/1945) disparue en déportation.
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- Lombarderie, rue de la – Voir Saint-Julien, rue
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- Lombardie, rue de la – Voir Saint-Julien, rue
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- Lombards, rue des – Voir Saint-Julien, rue
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- Londres, rue de (créée en 1966) Capitale de l’Angleterre et de la Grande Bretagne.
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- Longpré, rue de – Voir Cellier, rue Jacques
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- Longue Épée, rue de la - (créée au 14ème siècle. - Disparue depuis)
Au 10ème siècle, il aurait existé un Guillaume Longue-Épée à Reims. A-t-il réellement existé ? Notons que les chanoines Flodoart et Richer, de Reims ont tous deux écrits des ouvrages sur Guillaume 1er de Normandie, dit" Guillaume Longue-Épée" au 10ème siècle. N'y aurait-il pas un amalgame quoique ce surnom fut fréquent à l'époque.
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- Longueau, rue de – Voir Jard, rue du -Même voie que ci-dessous
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- Longueau, rue de – Voir Saint-Just, rue Même voie que ci-dessus
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Longes Royes, lieu-dit les - Voir Reimd Perdu, lieu-dit les
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- Lormerie, rue de ou de la – Voir Dormoy, rue Marx
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- Lorrain, rue Claude (Gellée, dit - ou Le Lorrain) (créée en 1934) Artiste peintre, paysagiste classique (vers 1600-23/11/1682) Pâtissier, il apprend la peinture chez son maître à Rome. Il a passé toute sa vie de peintre à Rome et a fait pleurer Nietzsche devant un de ses tableaux. Il souffrait de la goutte.
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- Lorent Le Bedel, rue - (connue au 14ème siècle.- Disparue depuis) Nom d’un habitant de la rue.
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- Lorraine, rue du Cardinal Charles de - (baptisée en 1844) Archevêque de Reims (1524-26/12/1574) Cardinal à 23 ans. Il réorganisa l’Université et favorisa l’installation d’imprimeurs.
3 voies précédentes avec des noms successifs.
 1-A-Corbeau , rue du - pour partie de la rue de Lorraine. Origine : une sculpture sur une maison. A l'occasion de la loi de séparation de l'église et de l'état de 1905, le cardinal Luçon dut abandonner l'archevêché (devenu musée depuis) Un particulier lui fit alors cadeau de l'hôtel du Corbeau pour y habiter. Toujours actuel .La rue donnait dans la rue Tire-Vit d’après le plan de 1843 de Brissart-Binet.
-2-A- Visitation, rue de la (baptisée au 16ème siècle) Sculpture représentant la visite de Sainte-Élisabeth à la Vierge.
-2-B- Maternité, rue de la - (baptisée en 1794)
-2-C- Visitation, rue de la - (rebaptisée en 1832 ) Le nom a été repris après la Révolution. La rue donnait rue de Lorraine.
-3-A- Lorraine, rue de - (créée en 1841) Regroupement des voies 1 et 2 ci-dessus. Elle donnait rue de l’école de médecine.
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- Lorrains, allée des (créée en 1972)
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- Louis XV, place – Voir Royale, place
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- Loup, rue Jean Le (créée en 1981) Architecte de la cathédrale -(13ème siècle)
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- Louvois, rue de ( baptisée en 1904)
Commune prés de Reims. En 1924 on trouvait au N° 53 l’œuvre diocésaine des retraités.
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- Luçon, place du Cardinal Louis Henri Joseph – (baptisée en 1931)
Archevêque de Reims (28/10/1841-28/05/1930) il fut d'abord évêque de Belley dans l'Ain en 1888. Il fut nommé archevêque de Reims en 1906 puis cardinal en 1907. il connut les malheurs de la ville pendant la première guerre mondiale. Il a été nommé chevalier de la légion d'honneur en 1917 puis officier en 1922. Pour perpétuer son souvenir, un comité fit établir un timbre à son effigie. La somme recueillie permit l'édification de l'église Saint louis dans le quartier Maison Blanche en 1931 qu'il avait désiré lui-même construire. Sur la place se trouve une statue de Jeanne d'Arc érigée en 1896 et qui a migré plusieurs fois : en façade de la cathédrale en 1910, puis dans la cour du palais du Tau puis actuellement dans le square du palais de justice à gauche de la cathédrale. Jusqu'en 1914, la statue était entourée d'une grille. Pendant la première guerre mondiale, cette statue avait été mise à l'abri au Louvre . Un premier projet établi en 1840 et qui prévoyait l'implantation d'une statue sur le terre-plein du Calvaire, dans l'axe de l'allée centrale des Promenades n'a pu voir le jour. Devant la porte centrale de la cathédrale on trouve une plaque commémorative de la réconciliation Franco-Allemande entre Conrad Adenauer, chancelier allemand et le général De Gaulle le 8 juillet 1962. Au cours de fouilles en 2009 on a trouvé les traces de plusieurs cimetières mérovingiens.
5 noms précédents successifs.
-1-A- Parvis, rue du
-1-B- Notre Dame, parvis . Il a été dégagé en 1885 des nombreuses maisons qui l'encombraient puis il a été agrandi en 1903. Pour la cathédrale, voir mon blog: Histoire des lieux de cultes à REims Sur un terrain donné par l'archevêque de l'époque fut édifié en 1750 une fontaine dédiée à Godinot. Elle était située près du pilier sud de la cathédrale. Elle était souvent sèche. Dégradée à la Révolution, elle fut démolie en 1868 quand on rallongea la grille du palais archiépiscopal . On avait préalablement démoli le pavillon des Suisses contre lequel elle était accolée. Il était prévu de la replacer rue du Barbâtre, projet non réalisé.
-1-C- Temple de l’Etre Suprême, parvis du - (baptisé en 1794) L'Être suprême succéda au culte de la Raison . C'était un élément de déchristianisation lancé par Robespierre, fêté de 1792 à 1794 ( en particulier le 8 juin 1794 )
-1-D- Parvis Notre Dame, place du - de nouveau, vu sur un plan de 1843.
Les bâtiments marquants de cette place étaient la prison, démolie pendant la première guerre mondiale. En 02/1778, on trouvait l'auberge de "Maison Rouge" au N° 2273 (Numérotation de 1766) puis Les hôtels du Grand et du Petit Moulinet qui furent regroupés dans l'hôtel du Lion d'Or au 19ème siècle. L'un ou l'autre de ces hôtels a reçu beaucoup de personnalités : le duc de Northumberland, le duc d'Orléans, Frédéric de Prusse, l'empereur Guillaume III, le duc de Wellington. En 1866, on a creusé des égouts sous la place. Lors de l'occupation de Reims du 6 au 14 septembre 1914, les allemands y avaient installé la Komandantur, le capitaine Lindig était le commandant de place. Lors de fouilles en 2007, on découvrit un cimetière du 9ème siècle qui devait s'étendre sous les tours de la cathédrale . Ces fouilles permirent aussi de confirmer la présence de l'Hôtel-Dieu.
Note
: Après la première guerre mondiale, il y eut des partisans de la non reconstruction de la cathédrale pour la présenter en exemple de la barbarie humaine. Elle avait été bombardée du 13/09/1914 à octobre 1918 et incendiée le 19/09/1914. Les Allemands la considéraient comme un point d'observation potentiel. Malgré un drapeau de la Croix Rouge sur les tours car 150 blessés allemands y étaient installés sur de la paille dont plusieurs furent brûlés vifs. En 1920, des baraques ont été installées sur le parvis pour accueillir des commerçants dont les magasins avaient été détruits. Une de ces baraques était tenue par la librairie Michaud qui proposait des livres et des cartes postales sur Reims car les touristes commençaient à revenir. Une autre baraque fut dévolue aux Postes et Téléphones. Une 3ème à l'enseigne " Les amis de la Cathédrale de Reims " vendait des objets religieux et des documents touristiques qui devaient aider à financer la reconstruction. Une autre ayant le même objet s'intitulait "Aux Sinistrés Rémois" On y voyait aussi une boutique du luthier Jean Mennesson. Après la Révolution , les fleurs de Lys implantées au faîte du toit de la cathédrale furent retirées. Elles furent rétablies à l'occasion des réparations après la guerre 1914/1918. Dans les années 1970, une galerie commerciale joignait la rue Chanzy (face au musée) à la place. Elle a été fermée quelques années après et en 2009, il est question de la rouvrir.
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- Lucrèce, place de – Voir Saint Nicaise, place
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- Ludes, rue de (créée en 1892) Village de la montagne de Reims. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1901.
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- Lulli, allée Jean Baptiste ( Gian Battista (ou Lully) (créée en 1961) Compositeur italien, naturalisé français en 1661 (28/11/1632-22/03/1687) Surintendant de la musique royale. Il était de tendance sodomite. A la suite d’un scandale avec un page, il a été éloigné de la cour. Mort de la gangrène.
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- Lundy, boulevard Jean Pierre - (baptisé en 1887)Négociant (18/10/1809-27/12/1886) Il fit don de tableaux au musée des Beaux-Arts. On a trouvé des traces de remparts du 5ème siècle sur ce boulevard qui a été construit après la destruction des remparts entre 1848 et 1869.
3 noms précédents successifs ou concomitants
-1-A- Petit Temple, boulevard du - (créé en 1839)
-1-B- Temple, boulevard du (baptisé en 1840) Depuis 1867, le temple protestant s'est établi sur ce boulevard dans une ancienne école d'équitation. Démoli le 14/09/1914 et a été reconstruit sur un style plus grandiose.
- Epiciers, boulevard des Surnommé par dérision car plusieurs hôtels particuliers de ce boulevard appartenaient à des administrateurs de grosses maisons d’alimentation ou de laines . Construction du 19ème ou début 20ème siècle : Hôtels de Brimont (en 10/2009 il est devenu le siège du champagne Jacquart) Mignot , Godbert , Werlé, de Bary , Krug, Hourblin, la salle Vanny devenue l'hôtel Lorin, Lüling, Lanson-Gerbaut, Pigeon, Gabreau, Louis Huet, Ernest Irroy, Radière, Tassotte, François. Au total, il y eut 19 hôtels de la grande bourgeoisie rémoise. Certains ont été démolis et remplacés par des immeubles de rapport, d'autre devenus des bureaux. Mais il y eut aussi en 1867, l'implantation d'un "fourneau économique" , une cantine ouvrière . Contre le mur du numéro 4 , on peut voir une croix en hommage à Saint Crépin et Saint Crépinien. Une vespasienne était installée au carrefour avec la rue Camille Lenoir.
Note : La ville a été envahie par les troupes allemandes du 4 au 12 septembre 1914. Refoulées par les Français, lls se vengèrent en bombardant la ville pendant 4 ans (jusqu'en octobre 1918.) La première maison détruite de ce fait se situait au numéro 8 du boulevard; il s'agissait de l'hôtel de la "Plume au Vent," auberge, départ des messageries vers les Ardennes. En 1923, l'emplacement vit la construction d'un immeuble de rapport.
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- Lundy, impasse - (baptisée en 1903) Elle ouvre 2 boulevard Lundy. Elle a été pavée en 1867
.4 noms précédents successifs ou simultanés.
-1-A- Tripes, cul de sac aux (ou ci-dessous)
-1-B- Tripes, impasse aux
-1-C- Esplanade, impasse de l’ - (baptisée en 1843) Parce qu’elle est érigée prés de l’esplanade Cérès et donnait dans la rue de l’Esplanade.
-1-D- Boulevard du Temple, impasse du
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- Lune, rue de la – Voir Berru, rue de
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- Lutetia Parisiorum, porte – Voir Soissons, porte de
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- Luthuli, rue Albert (ou Lutuli) (créée en 1978) Homme politique sud africain (1898-21/07/1967) mort dans un accident.
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- Luton, place Etienne Alfred - place privée donnée à la ville en 1899.
Baptisée à cette occasion. La rue et la place ont été données avec pour contrepartie la numérotation et l’installation de l’éclairage. En 1905 on y voyait un kiosque à musique. En 1910, une fontaine Wallace était installée en pointe du parking vers la rue emile Zola (toujours visible en 2009) Le docteur Luton (13/04/1830-16/04/1896) était directeur de l’école de médecine. Il fut l’un des premiers en France à pratiquer les injections hypodermiques. Il était également poète et amateur d’art. Il y eut deux noms précédents :
-1-A- Parmentier , place (Eugène Maurice) (1848-1903) entrepreneur de travaux publics qui construisit une rue et une place à ses frais en 1886.
-1-B- Neufchatel. Place de -Commune au nord de Reims.
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- Luxembourg, rue de - (- nom repris au 19ème siècle) Nos armées venaient de s’emparer de cette ville. C’est aussi le nom d’une famille en 1328. Elle traversait la cour Chalon. Sur la maison en face du 5 de la rue , on peut voir les restes d’une construction indéterminée. En 1869, on pouvait voir un cadran solaire dans la cour du N° 2.
Regroupement de plusieurs voies.
-1-A- Chalon, cour - (fermée) (ou ci-dessous)
-1-B- Châlons, cour (d’après Tarbé) encore fermée en 1665.
-1-C- Chalon, rue - après percement en 1684.
-1-D- Luxembourg, rue de baptisée en 1684
-1-E- Egalité, rue de l’ - (baptisée en 1794)
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- Luxembourg, rue Rosa (ou Luxemburg) (créée en 1978) Née en Pologne, Rozä Luksemburg. Socialiste allemande (1870-15/01/1919) assassinée.
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 Lycée National, rue du – Voir Université, rue de l’
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- Lycurgue, rue de – Voir Chanteraine, rue
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- Lyon, rue de (créée en 1930) Cette ville donna de l’argent pour la reconstruction de la ville après la première guerre mondiale.